Carte photo – Duvy – Vive la classe 1928

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Carte photo – vive la classe  1928 – Duvy

Dos séparé – non circulé

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Vive la classe, il était de coutume de fêter ou d’enterrer la classe.

La classe était l’ensemble d’un groupe né la même année appelé sous les drapeaux, le conseil de révision étant le premier jour de la classe.

A cette occasion les jeunes appelés défilaient dans les villes ou villages accompagnés souvent d’une petite fanfare pour fêter leur classe.

Sur cette carte photo les jeunes gens fête leur classe 28, mettant ainsi symboliquement la classe 27 à la porte.

Ce passage de flambeau donnait lieu pour la classe mise à la porte de faire aussi la fête en fêtant l’enterrement de leur classe.

Toutes ces fêtes étaient comme le montre cette carte photo un bon moyen de boire un bon coup et de fraterniser à la camaraderie et à l’amitié !

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – Atelier de Finissage

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 6 – Atelier de Finissage

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Dernière carte de la série de six  , l’atelier de finissage .

Le cuir a été tanné , tracé ,coupé ,assemblé , formé, cousu et maintenant dans les mains des finisseuses !

Si vous connaissez l’histoire de La maison « Blassier,Beaussang et H.Dauteuil » ou si vous avez de la documentation sur cette maison de Mouy en picardie !

N’hésitez pas à me laisser un commentaire .

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –Atelier des Piqueuses

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 5 – Atelier des Piqueuses

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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l’atelier des piqueuses , peu ou pas de machines à piquer apparentes dans l’atelier .

les ouvrières de Mouy devaient certainement coudre les tiges et les semelles à la mains.

Pourtant la machine  à coudre les tiges et les semelles  existait déjà à cette époque avec l’invention dès 1856 de l’américain Lyman Reed Blake qui inventera de nombreuses machines pour aider à accélérer le processus de la fabrication des chaussures.

Aujourd’hui quand on voit le prix d’une paire de chaussures cousues main, cela me laisse rêveur !



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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – La Coupe

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 4 – La Coupe

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Les peaux brutes de bœufs, vaches, veaux, taureaux, porcs, chèvres, chevreaux, agneaux et moutons  sont devenues des cuirs prêts à être coupés par les ouvriers de l’usine !

La qualité du cuir dépend de plusieurs facteurs, la première est l’origine de l’espèce animale qui fournit la peau, des conditions de la vie de l’animal, des bonnes conservations des peaux en attendant le tannage et bien sur le tannage qu’il soit végétal ou minéral.

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – La Broche

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 3 – La Broche

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Dans les années 1900,l’industrie de la chaussure à MOUY est encore en plein essor, hommes, femmes et enfants de la même famille travaillent dans ces ateliers chauffés par un simple poêle à charbon, placé au beau milieu de l’atelier.

Les journées sont longues et l’horloge rythme le temps !

On est loin des 35heures d’aujourd’hui puisque les 10-12h de travail par jour sont de rigueur.

Après la guerre de 1914, les industries s’affaiblissent peu à peu et  sonne  le commencement des fermetures unes à unes de ces usines de fabrication de chaussures !



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