Paris Vécu –Sur les Quais – Les Bouquinistes (N°85)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos simple – non circulé
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Petite promenade sur les quais de Seine, où s’alignent sur les parapets les caisses en bois des bouquinistes.
Paris Vécu –Sur les Quais – Les Bouquinistes (N°85)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos simple – non circulé
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Petite promenade sur les quais de Seine, où s’alignent sur les parapets les caisses en bois des bouquinistes.
Paris Vécu –Le marché dans la rue (N°66)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos séparé – non circulé
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Aujourd’hui, c’est jour de marché, on y retrouve nos marchandes de quatre saisons préférées pour acheter fruits et légumes, tandis que la fleuriste demande d’admirer et d’acheter ses bouquets de fleurs multicolores.
Un peu plus loin dans la rue on est tellement fier d’avoir l’eau et le gaz dans l’immeuble qu’on le peint sur la façade.
Paris Vécu –Pêcheurs Parisiens (N°79)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos simple – non circulé
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Sur les quais de seine, les cannes de bambous sont sorties pour taquiner le goujons,
Oui oui j’ai bien dit goujons.
Après de nombreuses années ou la seine a été vraiment polluée ,la Seine de 2009 redevient poissonneuse même en plein Paris en pêchant sur les quais on y prend, des tanches, gardons, brèmes, brochets, et des carpes.
il est même encore possible d’attraper des truites voir des saumons mais c’est assez rare !
Paris Vécu – La Statue de Strasbourg (N°96)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos simple – non circulé
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Un homme salue la statue de Strasbourg située à la Concorde elle est drapée de noir et fleurie en permanence.
Strasbourg est encore occupée par les allemands , ville perdue en 1870 au profit de l’Empire allemand.
Paris Vécu – Dans la rue (N°94)
L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris
Dos simple – circulé sous enveloppe
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Il y a une bonne quarantaine d’années j’accompagnais souvent un vieux monsieur, tapissier de son métier qui travaillait au 95 rue de Charonne dans le Onzième arrondissement de Paris.
On partait avec sa voiture à bras, en direction du square Saint Bernard chercher du crin végétal, ressorts et bien d’autres fournitures de tapisserie, pour que Monsieur Larotte confectionne sièges , matelas et sommiers.
Je me rappelle encore du bruit que faisaient les roues sur les pavés de la cour du 95, et la force de cet homme tirant cette voiture pleine à ras bords de fourniture.
C’est ce Monsieur qui m’a appris les premières basses de mon métier.
Le jeudi pour quelques francs, je dégarnissais des sièges ou je cardais de la laine.
C’est lui le premier à m’avoir donné le goût pour ce métier de Tapissier.
Merci Monsieur Larotte .