Carte postale Ancienne – Les Cris de Paris – le marchand à La charrette à Bras

Les-Cris-de-Paris

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Les Cris de Paris 9 . 2e Série 
éditeur J.Gerson 17 rue des petites écuries Paris
Dos simple
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Terminons cette série de cartes postales des cris de Paris avec cette CPA et ce marchand tirant sa charrette à Bras en chantant  » C’est moi qui les fais, C’est moi qui les vends, C’est ma femme quem-po-che la ga lett, Voi là l’Marchand. 

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Les Cris de Paris – La raccommodeuse de paniers

Les-Cris-de-Paris-

Les-Cris-de-Paris-

Les Cris de Paris 3 . 2e Série  – La raccommodeuse de paniers 
éditeur J.Gerson 17 rue des petites écuries Paris 
Dos simple 
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Continuons notre petit tour des petits métiers de Paris avec aujourd’hui la raccommodeuse de paniers. Même si nous sommes à la Belle Époque les temps sont durs pour prés d’un quart des Parisiens . Difficile aujourd’hui d’imaginer un Paris des années 1900 avec dans ces murs prés de 3 millions d’habitants soit plus de Parisiens qu’aujourd’hui. Les indemnités chômages, le RSA et les aides en tous genres ne sont pas encore vraiment d’actualité pour ces pauvres gens qui essayent de survivre dans cette France d’avant-guerre. Sur cette carte postale c’est une raccommodeuse de paniers qui arpente les rues de Paris en criant « Raccommodeuse » »raccommodeuse ». Il faut quand même préciser que le début du XX siècle est l’âge d’or de la vannerie, et les paniers de toutes les formes sont très utilisés dans tous les moments de la vie des Français et donc par ce fait souvent abimé.   

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Les Cris de Paris – Le Quotidien – Le Petit Bleu de Paris

Les-Cris-de-Paris

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Les Cris de Paris 8 . 2e Série  – Le Quotidien – Le Petit Bleu de Paris
éditeur J.Gerson 17 rue des petites écuries Paris 
Dos simple 
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Cette série de éditeur J. Gerson nous montre les Gagne Petit et les petits métiers du Paris de 1900. Grâce à ces notes de musique, Il nous fait aussi quasiment entendre les cris que l’on entendait dans les rues de ce Paris de la belle époque. Sur cette carte postale un vendeur de journaux et plus particulièrement du journal le  » Petit Bleu de Paris ». Voici l’air  que l’on pouvait chanter sur ce Petit Bleu de Paris;

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Paris Mondain – Nos élégantes au Bois

Nos-élégantes-au-Bois

Nos élégantes au Bois – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

416 – Paris Mondain – Paris Mondain – Nos élégantes au Bois
Collection ND Phot 
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Voici un magnifique attelage auquel les spécialistes du site de l’attelage Français pourraient donner un nom. Ce qui est sur c’est que cette jeune femme a l’air de bien s’amuser à conduire cet attelage (sans nom pour instant). Les routes du Paris de 1900 ne sont pas toujours appropriées pour les sabots des chevaux et c’est bien souvent grâce aux maréchaux-ferrants si ces jeunes femmes conduisent si facilement leurs chevaux. On compte en 1900 à Paris environ 160 maréchaux-ferrants. Leurs Forges sont généralement installées dans les quartiers où la population chevaline est nombreuse. Quelques-uns de ces Établissements (15 à 30) sont dirigés par des vétérinaires qui y donnent des consultations. Le prix de la ferrure est de 5 frs. à 7 frs. suivant la perfection du travail. Les fers en caoutchouc de 6 à 8 frs. les 2 pieds, suivant la qualité et la forme de la matière employée. Les fers peuvent être payés à la pièce, mais les maréchaux font aussi des abonnements pour l’entretien de la ferrure, à des prix qui varient avec le service des chevaux, qui amène une usure plus ou moins rapide.

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Fête Foraine – Le Marchand de Coco bien frais

La Fête Foraine Le Marchand de Coco.

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30  – Fête Foraine Le Marchand de Coco
éditeur MS&Cie 
Dos séparé – non circulé 
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Nous sommes dans les années 1900 et les enfants qui s’amusent à la fête foraine se désaltèrent en buvant du Coco. Pour les très jeunes et moins jeunes, n’imaginez pas que ce coco était le jus de la noix de Coco que l’on trouve maintenant un peu partout dans les supermarchés…Que nenni, en fait cette boisson était le résultat tout simplement de la macération de bois de réglisse dans de l’eau citronnée que l’on servait bien frais. À cette époque le verre de coco était bon marché et se vendait environ 5 centimes, ce qui était à la Belle Époque encore accessible à beaucoup. Bien souvent le marchand de coco de la belle saison se transformait en hiver en vendeur de tisane bien chaude, en passant de… » Venez boire le Coco.. Le Coco.. Le Coco.. bien frais » À… Venez boire ma tisane…elle est chaude très chaude ma tisane…!       

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