La Traversée de Paris à la nage en 1907 – Les concurrents au départ

Traversée de Paris à la nage 1907-Les concurrents au départ

Traversée de Paris à la nage 1907-Les concurrents au départ – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Sports : Traversée de Paris à la nage 1907-Les concurrents au départ
éditeur ELD – ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – non circulé
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Pour la troisième fois, en trois ans, hier, en Seine, s’est disputée’ l’épreuve dite de la traversée de Paris à la nage. Comme par le passé, cette course a obtenu un succès des plus vifs. Les Parisiens, en foule pressée, se tenaient sur les quais, de Bercy à Auteuil, acclamant ferme les concurrents à leur passage. Et certes, cet enthousiasme était justifié. L’eau n’était pas chaude, hier matin : dix-sept degrés à peine, accusait le thermomètre. Ce qui n’empêcha point les vaillants nageurs de battre tous les records. On escomptait généralement que le premier ferait les Il kilomètres 600 du parcours en deux heures trois quarts.
Il se contenta de deux heures dix-huit minutes, réalisant une superbe prouesse. Ajoutons toutefois que le courant assez violent aidait beaucoup les nageurs. N’empêche que, couvrir près de 12 kilomètres à la nage, à une vitesse moyenne de plus de cinq kilomètres à l’heure, n’est pas à la portée de tout le monde, et il faut chaudement féliciter les Billington, les Estrade — surtout le dernier à peine âgé de seize ans — les Cattaneo, les Altieri, les Heaton, les Paulus, Ils donnèrent, hier matin, un bel exemple d’énergie sportive.
Le départ fut donné à huit heures du matin, au pont National. Malgré l’heure matinale, une foule nombreuse y assistait. Continuer la lecture

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Paris-Inondation de janvier 1910 – Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris-Innondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris – Inondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

5 – Paris-Inondation de janvier 1910
 Les Pontonniers rue de Bourgogne
éditeur M.M 
dos séparé – circulé à découvert
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Le Gaulois du 3 février 1910 par un article ‘Tout-Paris, rend hommage à ces Pontonniers, en voici le texte.

NOS PONTONNIERS
Les pouvoirs publics ont déjà rendu un éclatant Hommage au dévouement, à l’héroïsme simple dont nos petits troupiers ont fait preuve au cours des jours sinistres que nous venons de traverser;

Paris et sa banlieue leur conserveront une éternelle reconnaissance pour le secours qu’ils ont apporté sans compter aux sinistrés, pour les vies innombrables qu’ils ont préservées, pour les catastrophes plus épouvantables encore qu’ils ont conjurées. Partout, sur les joints les plus menacés de la grande ville et des environs, on les a vus à l’œuvre jour et nuit, alertes, infatigables, conservant malgré tout leur bonne humeur native, cette qualité nationale de notre armée qui l’a si heureusement soutenue en tant de circonstances difficiles.

Parmi les troupes qui ont pris part a la lutte, contre la terrible inondation, nous devons mettre au premier rang les pontonniers dont le dévouement a été au-dessus de tout éloge
A Alfortville, à Gennevilliers, dans les quartiers les plus atteints de Paris, ils ont fait merveille. Un habitant d’une des communes les plus éprouvées de la banlieue nous racontait hier avec quelle activité, quelle prestesse ils rétablissaient les communications, ils jetaient en une heure à peine des ponts de fortune que n’eût pas désavoués le plus habile des ingénieurs.

Nos pontonniers n’en sont pas, on le sait, a leur coup d’essai. Il a un siècle a peine qu’ils existent en tant que corps spécial.et pourtant nul corps de troupe ne peut présenter un historique plus glorieux, plus abondant en actions d’éclat !  il nous faudrait un gros volume pour en refaire même succinctement, les annales. On a vu des pontonniers pendant les grandes guerres de la Révolution et de l’Empire, aux fameux.passages du Rhin, du Danube, de la Vistule, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Russie. C’est pendant cette dernière campagne qu’ils nous donnèrent les preuves  les plus éclatantes de leur indomptable courage et de leur savoir faire, comme l’atteste le nom glorieux de la Bérézina inscrit en lettres d’or sur leur drapeau  

 

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Paris 1910 – La grande crue de la seine – Rue Bellechasse – Secouristes militaires portant secours aux habitants

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La grande crue de la seine- secouristes militaires portant secours aux habitants

Paris 
La grande crue de la seine  (janvier 1910)
Inondation de la rue Bellechasse – Secouristes militaires portant secours aux habitants
éditeur ND Phot. 
Dos séparé – circulé à découvert
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Les militaires portent secours aux habitants de la rue de Bellechasse, le 28 janvier 1910 le Petit Parisien nous retrace les péripéties de nombreux Parisiens pris par les eaux de la Seine.

L’immeuble portant le numéro 15 de la rue de Solférino qui fait face au ministère de la Guerre a dû être évacué dans la matinée. Une excavation profonde s’est en effet produite devant la porte d’entrée de la maison. L’eau s’y engouffre avec un bruit effrayant.
Le  spectacle  est   vraiment  tragique.
On entend, en effet, dans le lointain, des cris angoissants.
Ce sont les locataires d’un hôtel de la rue Bellechasse qui, à leur réveil, se sont vus bloqués par les eaux. Depuis le matin — il est alors près de deux heures de l’après-midi — ils n’ont rien mangé.
 
On les entend crier : « du pain ! Au secours ! »
Enfin, une barque peut parvenir jusqu’à eux. Un agent arrive les bras encombrés de longues miches de pain. Les « affamés » l’acclament longuement et battent en son honneur un triple ban d’allégresse.
Le lieutenant-colonel Lenfant arrive bientôt sur les lieux avec une compagnie d’infanterie, il essaye de réquisitionner auprès d’un chef de chantier plusieurs paires de bottes d’égoutier. Mais on lui répond qu’il faut… l’autorisation de la Ville de Paris… le visa du préfet, l’enregistrement dû… etc…Bref l’officier supérieur comprend qu’il n’aurait peut-être l’autorisation que dans une huitaine de jours.

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Paris – Crue de la Seine – Le 30 janvier janvier 1910 – Rue du fer à Moulin

Paris - Crue de Seine- le 30 janvier janvier 1910 - Rue du fer à Moulin

Paris – Crue de Seine- le 30 janvier janvier 1910 – Rue du fer à Moulin

Paris – Crue de la Seine
Le 30 janvier janvier 1910 – Rue du fer à Moulin
éditeur ELD (Ernest Louis le Deley)
dos séparé – circulé à découvert
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Laissons un peu les cartes d’illustrateurs et revenons à Paris le 30 janvier 1910 avec cette carte de l’éditeur Ernest Louis le Delley .
Après quelques jours où la Seine a été mesurée à 8,61 mètres au pont d’Austerlitz, la Seine baisse lentement, et comme cette décroissance du niveau des eaux s’est accentuée en amont et aussi sur la Marne, c’est avec un grand soulagement que l’on peut espérer en date du 30 janvier 1910 une nette diminution du volume du fleuve.
Il faudra encore attendre plus de 30 jours et une lente décrue pour que les Parisiens ne soient plus les pieds dans l’eau et pour constater les dégâts considérables de cette crue de 1910 appelée encore aujourd’hui « crue centennale »

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Paris – La Seine – Tout va bien – La vie est belle

Paris-La Seine-tout va bien-la vie est belle

Paris-La Seine-tout va bien-la vie est belle

08 – Paris- La Seine – Tout va bien-la vie est belle
éditeur L.B
séparé – non circulé
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Carte humoristique N° 08 d’une série comprenant 20 cartes postales qui nous racontent plusieurs petites histoires d’hommes et de femmes dans le Paris des années folles.
 
Sur cette Carte Postale : Tout va bien-la vie est belle 

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