Carte postale Ancienne de Fontenouilles par Charny ( Yonne) – Place Publique

 

Fontenouilles par Charny (Yonne) – Place Publique

Bonjour à tous, la balade continue….

Nous voici arrivés sur la place de Fontenouilles dans les années 1910. À cette époque, le maire est M. Lugue (A) et les habitants sont au nombre de 501. Le sous-lieutenant des sapeurs-pompiers est M. Juquet, le boulanger M. Héricher et M. Moreau l’agriculteur. À noter sur la commune le château Gruerie appartenant à Mme Vve Précy et le château de Richebois à la famille Faisans.

Pour ceux qui s’étonnent du nombre de commerces à Chevillon dans les années 1940, voici quelques noms des commerçants et petits métiers que l’on pouvait trouver à Fontenouilles pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le bureau de tabac et café était l’affaire de M. Cheneau, M. Chocat était le cordonnier et les trois épiceries étaient tenues par M. Abraham, Mme Morin et M. Pillard (R).

Pour l’achat de vélos et motos, il fallait s’adresser à M. Guillemard. Pour le battage, on pouvait appeler la famille Bordier et pour le ferrage des chevaux    M. Cheneau maréchal-ferrant de son métier.

Revenons à cette carte postale pour s’apercevoir encore une fois que les enfants sont au rendez-vous, bien sages et les mains jointes à la demande du photographe. Cette demande du photographe lui permettait d’avoir un cliché le plus net possible évitant ainsi au maximum un flou que l’on pourrait avoir avec des enfants en mouvement comme on peut le voir très souvent sur des cartes postales de cette époque.

À bientôt, pour une nouvelle balade dans le passé…

Pascal 

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Carte postale Ancienne de Chevillon – Entrée – Route de Joigny

Chevillon – Entrée – Route de Joigny – Collection Geste, Tabac

Le photographe a posé quasiment son trépied sur la terrasse de ce qui a été pendant longtemps l’hôtel-restaurant de la Gniasse.

Je me rappelle très bien du patron, un homme d’assez forte corpulence et des bons petits plats traditionnels qu’il préparait et que l’on dégustait dans la salle arrière du café.

Mais revenons à la belle époque avec cette carte postale datant des années 1910. À cette époque, le maire est M. Paitard et les Chevillonnais sont au nombre de 483. 

Pour changer un peu des années de la belle époque et des années folles, citons quelques noms des années 1940 et commençons par M. Bertrant l’aubergiste, M. Maure le boucher, M.M Foulon et Mérel les boulangers, M. Moutarde le charron, M. Fougére le Bourrelier, M. Robin le cordonnier, M. Quenaudon l’épicier et terminons avec M. Michaud le bureau de tabac.

À bientôt avec d’autres cartes postales
Pascal

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Environs de Grandchamp St-Denis sur Ouanne – La Halte

La Halte de Saint-Denis sur Ouanne Aujourd'hui

La Halte de Saint-Denis sur Ouanne Aujourd’hui

Environs de Grandchamps – St-Denis sur Ouanne – La Halte. 

Continuons notre petite balade dans le passé à travers nos communes de Charny Orée de Puisaye.

Attention, Attention … Le train en provenance de Triguères arrive en halte de St-Denis sur Ouanne. Elles me manquent ces petites gares de campagne que j’ai bien connues adolescent quand j’allais dans le Morvan et plus particulièrement à Dirol.

Mais revenons dans l’Yonne en 1910 à St-Denis sur Ouanne. À cette époque, on compte pas moins de 282 habitants administrés par le maire M. Carré (F).

Le train ( compagnie P.L.M ) de cette ligne Triguéres-Clamecy avait une grande importance pour les Dionisiens et Dionisiennes qui pouvaient se rendre à Toucy en à peine une heure et un peu plus de trois heures pour arriver à Clamecy. Pour les ferrovipathes et amateurs d’horaires des trains, départ de Triguères à 4 h 35 et arrivée à la halte de Saint-Denis à 5 h 27..Et oui, il fallait se lever tôt, car c’était le seul de la journée en direction de Toucy et Clamecy et pour le retour 16 h 15 à Clamecy arrivé à Saint-Denis à 19 h 30.

Le temps du trajet paraît très long aujourd’hui, mais imaginez-vous le voyage en attelage hippomobile.. ! Les années 1930 verront les premières suppressions de ces petites gares qui seront remplacées par des arrêts d’autocars.

L’arrivée en grand nombre des cars, bus et automobiles donnera le coup de grâce des haltes et petites gares qui fermeront les unes après les autres pour arriver aujourd’hui à la quasi disparition de toutes ces gares de nos campagnes. Pour les promeneurs une petite image pour situer exactement la halte et pour les voyageurs les horaires des trains. 

À Bientôt avec d’autres cartes postales. 

Pascal

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Marchais-Beton par Charny – La place d’Hier à Aujourd’hui

Marchais beton par Charny – La place

Marchais Beton par Charny – La place d’Hier à Aujourd’hui

Marchais-Beton par Charny – La place – Imprimerie Ruet, Châtillon Coligny .
Continuons notre balade dans le passé en parcourant nos communes de Charny-Orée-de-Puisaye .
Qu’il semble bon de vivre à la belle époque dans cette petite ville administrée par le maire M. Maison (Ch). À cette époque, les Marchaisiens et Marchaisiennes sont au nombre de 272 habitants. Citons quelques noms de commerçants en 1910 et commençons par les épiciers M. Béguine (Th) et M. Léger sans oublier les petits métiers comme les maréchaux-ferrants M. Béguine Fils et M. Verpy. N’oublions pas la briqueterie tuilerie de M. Deslin, qui fera l’objet avec une autre carte postale d’une belle histoire commerciale et d’amour.
Mais revenons à un fait divers qui avait bouleversé Marchais-Beton dans les années 1900. En allant chercher de l’herbe pour les bêtes, Mme Marie-Françoise Boulet, veuve Simon, âgée de soixante-dix-sept ans, sans profession, demeurant à Marchais Beton, est tombée accidentellement dans un ruisseau dit de la Pense-Folie, et c’est malheureusement noyée. M. François Delapierre, cultivateur au hameau de Chambeugle, passant quelques instants après aperçut Mme Boulet et prévint aussitôt le maire de Marchais-Beton. Ce triste accident de plus de cent ans, nous rappelle qu’il n’est jamais trop prudent de se promener ou de travailler seul.. !
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DICY – Entrée du Pays – Route de Villefranche d’hier à Aujourd’hui

DICY – Entrée du Pays Route de Villefranche – Allons faire un petit tour à Dicy pour voir les premières maisons en arrivant de Villefranche. Dicy en 1900, est déjà une petite ville tranquille comptant pas moins de 466 habitants administrés par M. Déniot. Les petits commerces et les petits métiers ne manquent pas à cette époque. M. Divert, M. Meunier et Mme veuve Michot tiennent les épiceries. Bien sûr dans ces années-là, les sabots sont encore très utiles aussi bien pour travailler dans les champs que pour aller faire des courses en ville et rien qu’à Dicy trois sabotiers se partagent le travail, M. Chotard, M. Fèvre et M. Giroux. Gardons les noms des autres commerces et petits métiers pour d’autres cartes postales de Dicy. Quand j’écris que Dicy était une ville bien tranquille, il ne faudrait pas croire  cependant que rien ne se passait de grave de temps à autres, comme cette tentative Continuer la lecture

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