Les roses de Catharina Klein un jour de canicule

Publié le 1 juillet 2015 par Pascal

Aquarelle – Les roses de C. Klein
Edition « STZF » Suisse N° 1245 . Dos séparé, non voyagé.
§

De cette chaleur caniculaire, n’oubliez de boire beaucoup d’eau et n’oubliez pas d’arroser ce soir vos rosiers et autres plantes du jardin.

Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de Catherine Klein. Son nom ayant été anglicisé en dehors de l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale pour éviter toute réticence à acheter son travail. De très nombreux éditeurs de cartes postales de l’époque ont reproduit plusieurs centaines de ses oeuvres. On lui attribue au moins 200 types de cartes et plus d’un million de cartes encore en circulation aujourd’hui. À noter Qu’elle est parfois à tort appelé «Christine». Tous les passionnés de ce thème des « fleurs » connaissent cette signature qui accompagne habituellement ses peintures. Catharina Klein est décédée à Berlin en 1929.

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

Publié le 8 juin 2015 par Pascal

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Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

§

Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

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Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Publié le 4 juin 2015 par Pascal

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Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de
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Les Oeillets de Catharina Klein

Publié le 28 mai 2015 par Pascal

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Les Oeillets de Catharina Klein – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Les Oeillets C. Klein
Edition HWB SER. 2164. Dos séparé, non voyagé
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Ne demandez pas des oeillets au rosier ni à la pêche le goût de la fraise. Acceptez la lune avec son hémisphère caché. Regardez le mauvais côté de la pomme à acquérir, et mordez le bon de la pomme acquise. Qui ne le sait ? mais qui le fait ? « Henri-Frédéric Amiel »

∫

La passion des Fleurs de Catharina Klein

Publié le 26 mai 2015 par Pascal

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La passion des Fleurs de Catharina Klein – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La passion des Fleurs de Catharina Klein
Edition HWB – Ser 2163 . Dos séparé, non voyagé.
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Cartes Postales Anciennes

Cartes Postales Anciennes de Bastille91

Archives par mot-clé : aquarelle

Les roses de Catharina Klein un jour de canicule

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

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Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Les Oeillets de Catharina Klein

La passion des Fleurs de Catharina Klein

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

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Un soir, vaincu par le labeur Où s’obstine le front de l’homme, Je m’assoupis, et dans mon somme M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle Pensée ; elle voulait s’ouvrir, Et moi je m’en sentais mourir : Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet : A mesure que ses pétales Forçaient les ténèbres natales, Ma force à moi diminuait.

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf, Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun Arôme, et la beauté sereine de ton corps Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins Exhalent celles-là qui vont fanant les foins, Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur, Elève sans orgueil sa tête sans odeur, Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !