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Aquarelle – Un bouquet de roses de Catharina Klein

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Aquarelle - Un bouquet de roses de Catharina Klein

Aquarelle – Un bouquet de roses de Catharina Klein – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Aquarelle – Les roses de C. Klein
Edition « STZF » STEHLI Suisse N° 1245. Dos séparé, non voyagé.
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Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de Catherine Klein. Son nom ayant été anglicisé en dehors de l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale pour éviter toute réticence à acheter son travail. De très nombreux éditeurs de cartes postales de l’époque ont reproduit plusieurs centaines de ses oeuvres. On lui attribue au moins 200 types de cartes et plus d’un million de cartes encore en circulation aujourd’hui. À noter Qu’elle est parfois à tort appelé «Christine». Tous les passionnés de ce thème des « fleurs » connaissent cette signature qui accompagne habituellement ses peintures. Catharina Klein est décédée à Berlin en 1929.

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Carte Postale Ancienne – Bouquet de fleurs du peintre Catharina Klein

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Carte Postale Ancienne – Bouquet de fleurs du peintre Catharina Klein – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Aquarelle – Bouquet de fleurs du peintre C. Klein
Edition « STZF » STEHLI Suisse N° 502. Dos séparé,  non voyagé.
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Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de Catherine Klein. Son nom ayant été anglicisé en dehors de l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale pour éviter toute réticence à acheter son travail. De très nombreux éditeurs de cartes postales de l’époque ont reproduit plusieurs centaines de ses oeuvres. On lui attribue au moins 200 types de cartes et plus d’un million de cartes encore en circulation aujourd’hui. À noter Qu’elle est parfois à tort appelé «Christine». Tous les passionnés de ce thème des « fleurs » connaissent cette signature qui accompagne habituellement ses peintures. Catharina Klein est décédée à Berlin en 1929.

 

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Aquarelle – Les roses de Catharina Klein

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Aquarelle – Les roses de C. Klein – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Aquarelle – Les roses de C. Klein
Edition « STZF » STEHLI Suisse N° 1267. Dos séparé, non voyagé.
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Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de Catherine Klein. Son nom ayant été anglicisé en dehors de l’Allemagne pendant la Première Guerre mondiale pour éviter toute réticence à acheter son travail. De très nombreux éditeurs de cartes postales de l’époque ont reproduit plusieurs centaines de ses oeuvres. On lui attribue au moins 200 types de cartes et plus d’un million de cartes encore en circulation aujourd’hui. À noter Qu’elle est parfois à tort appelé «Christine». Tous les passionnés de ce thème des « fleurs » connaissent cette signature qui accompagne habituellement ses peintures. Catharina Klein est décédée à Berlin en 1929.

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Carte Postale Ancienne à̀ Peindre soi-même – Les Roses

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Carte Postale à̀ peindre soi-même - cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Carte postale ancienne à peindre soi-même

N° 18 lavis à Canson

Dos séparé – circulé sous enveloppe

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Au début du XXe siècle la production de cartes postales est phénoménale et se compte par millions, quasiment tous les thèmes ont été abordés.

Mais comme si cela ne suffisait pas, des éditeurs et grandes marques de papier se lancent dans la vente de cartes à peindre ou à orner soi- même.

La plupart du temps les cartes à peindre sont vendues en pochettes d’une dizaine ou douzaine de cartes pré-imprimées au verso des formules habituelles de l’époque accompagnées du nom de la marque du papier ou de l’éditeur des pochettes.

Pour cette carte le papier utilisé est un lavis Canson.

Très souvent ces artistes amateurs de talent ou pas signaient leurs cartes, ce qui nous amènent très souvent à cette question posée par leurs propriétaires : connaissez-vous l’illustrateur de cette carte postale ?

la réponse est à 95% … Non, à part des illustrateurs très connus qui ont laissé leurs noms à la postérité, les autres resteront des peintres inconnus pour toujours.
Combien de cartes à peindre ont été envoyées par des poilus pendant la Grande guerre, combien d’amoureux transis ont peint ces cartes pour déclarer leurs flammes, les enfants aussi se sont servis de ces cartes pour envoyer des petits mots d’amours à leurs parents.

Il est quasiment impossible de savoir le nombre de ces cartes qui ont circulé, mais ce qui est sûr c’est que parmi ces cartes vous trouverez des merveilles la plupart du temps uniques au monde …!

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Voici une image d’emballage de cartes à peindre soi-même ,bien sur il y avait de nombreuses autres marques à l’époque qui vendaient ces cartes.

Carte à peindre moi-même


 

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2 Cartes postales aquarelles -Guerre russo-japonaise

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Guerre russo Japonaise - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cartes postales aquarelles -Guerre russo-japonaise

éditeur Union Postale Universelle

Dos simple

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Guerre russo Japonaise - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cartes postales aquarelles -Guerre russo-japonaise

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Cette Guerre russo-japonaise qui s’est déroulée de 1904 à 1905 a inspiré de nombreux éditeurs et illustrateurs ,très souvent ces cartes avaient un coté satyrique et ironique sur ce conflit.

Voici deux autres cartes ,les traits de dessins sont fins et les couleurs pastel d’une réelle douceur .

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Deuxième partie et suite d’hier de cette guerre russo-japonaise .

Au mois d’octobre 1904, une offensive de secours fut tentée par le général Kouropatkine pour dégager la ville. Cette offensive se solda par un nouvel échec. Le 2 janvier 1905, Port-Arthur capitulait.
Reprenant l’offensive, les Japonais obligèrent les troupes de Kouropatkine à faire retraite au-delà de Moukden, où elles étaient retranchées derrière une puissante ligne de fortifications.
Ces déboires de l’armée russe furent à l’origine d’une révolte sanglante à Saint-Pétersbourg le dimanche 22 janvier 1905. L’autocratie russe était sévèrement ébranlée de l’intérieur. Le Japon avait déjà presque gagné la guerre quand la flotte russe de l’amiral Rojdestvenski arriva enfin dans ses eaux. L’amiral Heihashiro Togo lui coupa la route le 27 mai 1905 à Tsushima et l’anéantit au terme d’une bataille de deux jours.
Sur les 45 navires russes engagés, seuls deux destroyers et un croiseur réussirent à s’échapper et à gagner le port russe de Vladivostok. Six petits navires se réfugièrent dans des ports neutres où ils furent désarmés. Les autres furent coulés ou capturés par les Japonais. Plus de 5 000 Russes furent tués et 6 000 faits prisonniers.
Les Japonais n’eurent eux-mêmes à déplorer que la perte de trois destroyers et 700 hommes. Le tsar était condamné à ouvrir les négociations pour une paix humiliante qui sera signée à Portsmouth.

Texte intégral tiré du site : les dossiers HistoQuiz

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