Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

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Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

Dos séparé -non circulé

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Voici une carte peu courante et intéressante pour les collectionneurs de cet éditeur, on y voit l’intérieur de l’imprimerie Laussedat installée à Châteaudun.

Cette imprimerie a participé à de nombreuses éditions de cartes postales, certaines d’entre telles sont bien cotées.

À cette époque de l’âge d’or de la carte postale, les imprimeries spécialisées dans ce domaine ne chôment pas, c’est par millions que ces petits bouts de cartons de 14 cm par 9 cm vont sortir des ateliers.

Les cartes postales étaient constituées de 3 feuillets, le papier utilisé le plus souvent pour la phototypie était un papier laminé à grain ou à demi-grain;

La majorité des cartes postales de cette époque ont été imprimées par ce procédé aujourd’hui quasiment abandonné …!  Bien dommage ..  le résultat était pourtant si beau. Le principe avait été trouvé par Alphonse Poitevin en 1860 sous le nom de « photolithographie », le principe reposait sur la sensibilité à la lumière de la gélatine associée au bichromate de potasse.

je ne vous détaillerai pas toutes les étapes de ce procédé, mais pour simplifier on utilisait une plaque de verre recouverte d’une couche de gélatine bichromatée, le procédé consistait ensuite à mettre un cliché photographique sur verre en contact avec la plaque gélatinée et le passer sous une lumière ultraviolette. Après un long rinçage à l’eau et un bain de glycérine, la plaque passait sous un rouleau d’encre grasse avant d’être mise sur le plateau de la presse. Cette technique permettait rarement de produire plus d’un millier de cartes postales par plaque de verre.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – Atelier de Finissage

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 6 – Atelier de Finissage

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Dernière carte de la série de six  , l’atelier de finissage .

Le cuir a été tanné , tracé ,coupé ,assemblé , formé, cousu et maintenant dans les mains des finisseuses !

Si vous connaissez l’histoire de La maison « Blassier,Beaussang et H.Dauteuil » ou si vous avez de la documentation sur cette maison de Mouy en picardie !

N’hésitez pas à me laisser un commentaire .

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –Atelier des Piqueuses

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 5 – Atelier des Piqueuses

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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l’atelier des piqueuses , peu ou pas de machines à piquer apparentes dans l’atelier .

les ouvrières de Mouy devaient certainement coudre les tiges et les semelles à la mains.

Pourtant la machine  à coudre les tiges et les semelles  existait déjà à cette époque avec l’invention dès 1856 de l’américain Lyman Reed Blake qui inventera de nombreuses machines pour aider à accélérer le processus de la fabrication des chaussures.

Aujourd’hui quand on voit le prix d’une paire de chaussures cousues main, cela me laisse rêveur !



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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – La Coupe

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 4 – La Coupe

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Les peaux brutes de bœufs, vaches, veaux, taureaux, porcs, chèvres, chevreaux, agneaux et moutons  sont devenues des cuirs prêts à être coupés par les ouvriers de l’usine !

La qualité du cuir dépend de plusieurs facteurs, la première est l’origine de l’espèce animale qui fournit la peau, des conditions de la vie de l’animal, des bonnes conservations des peaux en attendant le tannage et bien sur le tannage qu’il soit végétal ou minéral.

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – La Broche

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 3 – La Broche

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Dans les années 1900,l’industrie de la chaussure à MOUY est encore en plein essor, hommes, femmes et enfants de la même famille travaillent dans ces ateliers chauffés par un simple poêle à charbon, placé au beau milieu de l’atelier.

Les journées sont longues et l’horloge rythme le temps !

On est loin des 35heures d’aujourd’hui puisque les 10-12h de travail par jour sont de rigueur.

Après la guerre de 1914, les industries s’affaiblissent peu à peu et  sonne  le commencement des fermetures unes à unes de ces usines de fabrication de chaussures !



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