La Seine à travers Paris – la Seine à Passy

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La Seine à travers Paris – la Seine à Passy

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos séparé –  circulé a découvert en 1905

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Cette carte est du même  éditeur que la célèbre série « des 105 cartes des Paris vécu » ,

Laroche-Joubert aurait pu la choisir   ,mais le sort en a décidé autrement !


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Le Cantal – Riom-ès-Montagnes – la Grande Rue

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Le Cantal pittoresque  – Rion-ès-Montagnes – la Grande Rue

E. F — L.U

édition Séguy -Dapon

Dos séparé – circulé à découvert

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Encore un fois le photographe est la distraction du jour pour le canton de Riom-ès-Montagnes .

En 1911 , ce canton de 8 communes abrite 10 228 habitants le député  et Maire est Monsieur Brun.

Les petits commerces de bouches  ne manquent pas  à Riom-ès-Montagnes  , 6 bouchers , 4 boulangeries , 11 épiceries , fromagers , charcutiers ,  etc etc .

Mais  surtout 16 cafés pour désaltérer les 10 228 Riomois et Riomoises de cette époque !

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Haras du Pin – École des Haras – Leçon de Guides

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Haras du Pin – École des Haras – Leçon de Guides

E.Roussel,édit ;Argentan- cliché D.

Dos simple – voyagé à découvert  le 28/11/1903

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Le Haras du Pin est le lieu historique de l’élevage des chevaux de Normandie surnommé le Versailles du cheval.

L’École nationale professionnelle des Haras créée au XIXème siècle, fut réputée pour la formation des « Petits Pin ». Elle est devenue le centre de formation des Haras nationaux.


Allez découvrir le Haras du Pin


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Villeneuve-l’Archevêque ( yonne ) Rue Gambetta

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Villeneuve-l’Archevèque ( yonne ) Rue Gambetta

André , photo ,éditeur

Dos séparé -circulé à découvert en 1920

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Belle animation sur cette carte de  la commune de Villeneuve-l’Archevêque .

les Villeneuviens prennent la pose pour être immortalisés sur une carte postale .

Regardez bien le curieux fagot de branches accroché à la potence à droite sur la carte , à votre avis a quoi pouvait-il bien servir !!

Cette question avait été posée sur le site cparama et la réponse est arrivée 160 jours plus tard .

Voici le texte qui explique tout sur ce qu’on appelle « le bouchon »

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Une ordonnance royale. Historiquement, le « bouchon » dont l’appellation provient du vieux français « bousche » (petite botte, petite gerbe) est le nom donné généralement au branchage que tout débiteur de boisson se devait de mettre à la façade de sa maison. Dès le XIVe siècle, nous trouvons trace de cette obligation. En 1680, une ordonnance royale dicte encore plus clairement à tout vendeur de vin « à huis coupé et pot renversé » : « Nul ne pourra tenir taverne sans faire déclaration, ni mettre bouchon. » Le bouchon ne serait donc que l’ancêtre de l’actuel droit de licence de nos débits de boisson instauré en 1816.

Dans de nombreux villages, la pose du bouchon avait lieu la veille de la fête du pays. Les « jeunes gens » (groupe d’âge pouvant aller des conscrits à tous les hommes non mariés) allaient déposer l’ancien « bouchon » (le brûlant parfois) et suspendre le nouveau de café en café, en échange de quoi le patron de chaque établissement se devait de l’arroser. Les bouteilles vides étaient alors accrochées au « bouchon ».

Du genévrier ou du sapin. Le bouchon devait être choisi dans une essence d’arbre à feuillage persistant. Dans notre région, c’était généralement le genévrier qui faisait les frais de cette tradition, et parfois le sapin. L’arbuste ou la branche était alors décoré de rubans de couleurs (dits « fleurets ») et accroché indifféremment cime en l’air ou en bas. Un inventaire réalisé à partir des cartes postales anciennes a permis de dénombrer 183 communes différentes dont les cafés, au début du XXe siècle apparaissent ornés d’un « bouchon ». Cela représente plus de 52 % des 349 communes que comptait alors le Loiret.

Ces communes à bouchon se situaient essentiellement en Beauce, Gâtinais occidental, Orléanais et Puisaye. Dans ces secteurs, la coutume a perduré encore assez longtemps. En 1962, Jean Driard déclare à propos du Gâtinais de l’Ouest : « On voit également dans ma contrée le bouchon de genévrier au-dessus de la porte des petits cafés de village, mais cela tend à se perdre ». On en trouve cependant encore trace, dans les années 1970, dans une dizaine de communes. Aujourd’hui rares sont celles, à l’exemple de Charmont-en-Beauce, Guignonville ou Gondreville-la-Franche, à maintenir la tradition.


 (texte pris sur le site "Loiret.com")


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Rambouillet – la Gare

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87   –   Rambouillet –  la Gare

éditeur L.L.( Levy Fils & Cie,Paris)

Dos séparé – non circulé

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Bien calme cette gare de Rambouillet !

Remarquez, de 1900 à 1920 la population était d’environ 6 000 Rambolitains aujourd’hui ce n’est plus la même histoire avec  une population avoisinant  les 26 000 habitants .

La gare de Rambouillet va faire peau neuve ,Les travaux  ont débuté en mai 2010 pour une durée de 8 mois, pour un montant de travaux  estimé à  793 000 euros .


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