l’Histoire de l’Aviation – En1909 – Le Biplan Odier Vendome

l'Histoire de l'Aviation - En1909 - Le-Biplan Odier Vendome

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l’Histoire de l’Aviation – En1909 – Le Biplan Odier Vendome
Carte N° 58 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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On remarquera la forme spéciale des surfaces qui semble très étudiée. L’appareil était muni d’un moteur Turcat-Méry de 18 chevaux, du type courant sans allégement. Ce moteur actionnait une hélice à 4 pales de 2 m. 80 démultipliée, qui ne pesait avec le moyeu et les boulons que 7 kilogrammes. Les patins d’atterrissage étaient munis de galets orientables suspendus sur ressorts à lames. L’envergure était de 10 mètres pour une surface totale de 45 mètres carrés. L’appareil pesait 450 kilos monté. Les premiers essais contrariés par le mauvais temps avaient été néanmoins encourageants. Le 20 juin, le biplan Odier parvient à s’enlever à plusieurs reprises, mais casse une roue en atterrissant. Le 27 juin, l’appareil reprenait ses expériences de 5 à 8 h. du matin et réussissait pour la première fois un vol de 150 mètres, mais, au second essai, il piqua du nez, alors qu’il se trouvait à quelques mètres de hauteur, le moteur sera endommagé, les hélices et les longerons des ailes seront brisés mais l’aviateur sera indemne.( L’Aérophile 1909)     
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Histoire de l’aviation – Juin 1909 Hubert Latham sur Antoinette vole plus dune heure à Châlons

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Histoire de l’aviation – Juin 1909 Hubert Latham sur Antoinette vole plus dune heure à Châlons

Histoire de l’aviation – Juin 1909 Latham sur Antoinette vole plus dune heure à Châlons
Carte N° 57 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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M. Hubert Latham, qui débuta en locomotion aérienne par une superbe ascension effectuée les 11 et12 février 1905, avec son cousin Jacques Faure, de Londres à Aubervilliers , a conquis glorieusement le 5 juin après une quinzaine de séances d’entrainement, par 1 heure 7′ 37″, à bord du monoplan Antoinette IV, le record du monde du monoplan et le record français du vol mécanique. Voici les détails que l’on pouvait lire sur la mort tragique d’Hubert Latham, cette version sera remise en cause estimant plus vraisemblable que l’aviateur aurait été tué par l’un de ses nombreux porteurs, cette version des faits ne sera jamais prouvée. Le 25 juin 1912 à sept heures du matin, Latham se trouvait sur la rive droite du Chari, près des rapides de Kayes, au confluent du Bahr-Selamant. Il venait de blesser un

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Histoire de l’aviation en 1909 – Aéroplane Givaudan

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Histoire de l’aviation en 1909 – Aéroplane Givaudan
Carte N° 56 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Aéroplane Givaudan était formé de deux cellules à peu près semblables. Chacune d’elles comprenait deux tambours cylindriques, entretoisés ensemble par des plans rayonnants et reposaient sur la poutre armée centrale. La cellule arrière était fixe, la cellule avant était mobile autour de deux axes à 90° l’une de l’autre. Elle pouvait ainsi osciller dans deux plans, l’un vertical, l’autre horizontal, contenant chacun l’axe de la poutre armée. Il n’y avait pas d’autre manœuvre de direction. Une barre, convenablement démultipliée, permettait Continuer la lecture

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Histoire de l’Aviation en 1909 l’appareil militaire Dorand à Satory

Histoire de l'Aviation en 1909 l'appareil militaire Dorand à Satory

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L’Aéroplane militaire français du capitaine DORANT au camp de Satory
Carte N° 55 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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L’envergure de ce Biplan à cellules obliques stabilisatrices était de 11,50 pour un poids du châssis avec moteur de 2oo kilos et d’un poids poids total 3oo kilos.
La surface de sustentation était de 90 m2. Le Moteur
 était un Anzani 43 HP 135×160 échappement à fond de course. Les mouvements de
 montée et descente étaient obtenus en basculant à l’aide d’un levier la cage renfermant
 les organes moteurs faisant varier l’inclinaison de l’axe de l’hélice, 
type Renard de 2,70 de diamètre.

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Histoire de l’Aviation en 1909 Le Breguet Richet 2 Bis

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Histoire de l’Aviation en 1909 Le Breguet Richet 2 Bis
Carte N° 54 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Cet appareil a été entièrement étudié et construit à Douai, par M. Louis Breguet; il représente, au point de vue mécanique, ce qui a été fait de plus difficile depuis l’avion d’Ader. Le bâti de l’aéroplane est entièrement en tube d’acier de gros diamètre et de faible épaisseur avec des ailes portantes de 12 mètres d’envergure. Le gauchissement différentiel de Louis Bréguet permettait aux ailes d’aider aux virages et de servir d’équilibreur transversal automatique. Le Moteur Gobron-Brillié de 60 HP actionnait une hélice à deux branches de 2 m. 50 de diamètre, pesant 6 kilogrammes seulement et dont l’effort propulsif au départ était de 250 kilogrammes. La Vitesse normale prévue  de 70 kilomètres à l’heure pouvant aller à 90 kilomètres à l’heure. Quelques mots sur Charles Richet qui fut interne des hôpitaux de Paris en 1872, professeur agrégé de physiologie en 1878, élu à l’Académie de médecine en 1898, puis à l’Académie des sciences en 1914. Sa grande découverte , fut en 1902, l’anaphylaxie, et il obtiendra à ce titre le prix Nobel de médecine en 1913 et bien sur passionné par l’aviation. 

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