Histoire de l’aviation – Juillet 1907- Bleriot exécute de beaux vols sur son appareil – La Libellule

Histoire de l'aviation - Juillet 1907- Bleriot exécute de beaux vols sur son appareil - La Libellule

Histoire de l’aviation – Juillet 1907- Bleriot exécute de beaux vols sur son appareil – La Libellule

Histoire de l’aviation – Juillet 1907- Bleriot exécute de beaux vols sur son appareil La Libellule
Carte N° 13 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le Blériot VI « la libellule » est un des premiers avions français construits par Louis Blériot. Les premières tentatives de vol ont lieu en juin1907, mais les résultats sont décevants. Il faudra attendre le 11 juillet 1907 et des modifications du fuselage pour le voir décoller de 2 mètres sur une trentaine de mètres. Les jours suivant la « libellule » réalisera des distances de vol de plus de 100 mètres à plus de 10 mètres d’altitude. Le mois suivant l’avion subira de nombreuses avaries et Blériot installera un moteur de 50 chevaux, en remplacement du moteur Antoinette des 24 chevaux. L’envergure du « Blériot VI Libellule » était de 7,0 m, sa longueur de 7,20et sa surface alaire de 20m². Ci-dessous un film d’époque ou l’on voit le Blériot VI décoller du sol de quelques centimétres..!

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Histoire de l’aviation – 1907 Blériot sur son Blériot V vole à Bagatelle

Histoire de l'aviation - 1907 Blériot sur son Blériot V vole à Bagatelle

Histoire de l’aviation – 1907 Blériot sur son Blériot V vole à Bagatelle – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Histoire de l’aviation – 1907 Blériot sur son Canara vole 5 à 6 métres à Bagatelle
Carte N° 12 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le Blériot V sort des ateliers de Neuilly le 20 mars 1907. Le fuselage devient plus moderne, les instruments de mesures sont de plus en plus nombreux , manomètre de pression d’eau et d’essence sont installés. Ce Blériot V est un monoplan de type canard, propulsé par le 24 chevaux Antoinette. Après plusieurs essais et de nombreux incidents, plusieurs modifications sont apportées sur l’appareil et le 5 avril 1907 l’aviateur Louis Blériot arrive enfin à voler.

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Le 22 Mars 1907 – Santos-Dumont essaie son second appareil à surface en acajou

Le 22 Mars 1907 - Santos-Dumont essaie son second appareil à surface en acajou

Le 22 Mars 1907 – Santos-Dumont essaie son second appareil à surface en acajou – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le 22 Mars 1907 – Santos-Dumont essaie son second appareil à surface en acajou
Carte N° 11 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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L’aviateur, Santos-Dumont en personne, bien entendu, est assis, les jambes étendues, sur une selle de tricar placée au niveau du sommet des surfaces inférieures des ailes et fixée à la branche inférieure du châssis trapézoïdal reliant les ailes à la queue, un peu en arrière du bâti quadrangulaire vertical sur lequel sont implantées les ailes. Un poids important se trouve donc ainsi appliqué très bas et le centre de gravité de tout le système se trouve notablement descendu, ce qui est de nature à accroître considérablement la stabilité. L’opérateur manœuvre à son gré, la queue arrière dans le sens vertical, en actionnant un

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Le 30 mars 1907 à Bagatelle – Le biplace Delagrange construit par Voisin et monté par Ch. Voisin, vole 60 mètres à 10 mètres de hauteur

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l’histoire de l’aviation – le 30 mars 1907 à Bagatelle – Le biplace Delagrange construit par Voisin et monté par Ch. Voisin, vole 60 mètres à 10 mètres de hauteur – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte N°10 sur l’histoire de l’aviation – Le 30 mars 1907 à Bagatelle – Le biplace Delagrange construit par Voisin et monté par Ch. Voisin, vole 60 mètres à 10 mètres de hauteur
Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le 30 mars 1907, l’aéroplane Léon Delagrange, monté par un de ses constructeurs, Charles Voisin, un mois à peine après la première expérience, remportait le succès éclatant et décisif, qui secoue les indifférences et surexcite les enthousiasmes, succès que faisaient prévoir les expériences antérieures et notamment celle du 16 mars, à Bagatelle. Sur cette même pelouse de Bagatelle, bien supérieure décidément, comme terrain de lancement, au polygone de Vincennes, s’étaient donc rendus dès le matin, beaucoup de sportsmen notoires parmi lesquels MM. Santos-Dumont, Robert Esnault-Pelterie, Henry Kapferer, Forestier, François Peyrey, André Fournier, Robert-Guérin, G. de Lafreté, etc. M. Delagrange fait orienter son appareil debout au vent, au bas de la Continuer la lecture

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L’histoire de l’aviation -1907 L’aéroplane – M.Vuia 1bis à Bagatelle

L'histoire de l'aviation -1907 L'aéroplane - Vuia 1bis à Bagatelle

L’histoire de l’aviation -1907 L’aéroplane – M.Vuia 1bis à Bagatelle – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte N° 9 – L’histoire de l’aviation -1907 L’aéroplane – Vuia 1bis à Bagatelle
Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le 27 mars, confirmant ses succès du 2 mars, M. Vuia réussit de nouveau au cours de deux essais à Bagatelle à 11 heures et 11 h. 25 du matin, deux envolées à 1 mètre du sol environ sur une longueur de 3 à 4 mètres. Il est certain que lorsque son moteur à acide carbonique liquéfié fonctionne bien. M. Vuia réussit assez aisément à s’arracher de terre, sous l’action énergique de la queue arrière brusquement abaissée. Mais le moteur paraît ensuite trop faible pour imprimer à l’appareil en pleine atmosphère, la vitesse nécessaire à sa sustentation continue. Nous croyons savoir que sans abandonner la mise au point du capricieux moteur inventé par lui, M. Vuia se dispose à acquérir un bon moteur léger de 24 chx, à essence, de caractère moins difficile et de fonctionnement régulier. Il le montera sur un nouvel aéroplane qu’il achève en ce moment et sur lequel nous reviendrons. Disons seulement que le nouvel engin se rapprochera beaucoup comme type de l’aéroplane Vuia actuel. La construction métallique du châssis porteur, si résistant depuis de longs mois, sera conservée ainsi que l’emploi de quatre roues porteuses. Des modifications seront apportées dans les organes d’équilibre et de direction. ( L’Aérophile 1907 )

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