Gisors – Les Bords de l’Epte
Une Vue du Vieux Gisors
A .Bourgeix;lib,édit,Gisors (Eure)
Dos séparé – Circulé à découvert
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Gisors – Les Bords de l’Epte
Une Vue du Vieux Gisors
A .Bourgeix;lib,édit,Gisors (Eure)
Dos séparé – Circulé à découvert
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Environs de Nantes – les bords de l’Erdre
120 – Héliotypie Dugas et Cie ,Nantes
Dos séparé – circulé sous enveloppe
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On taquine les gardons sur les bords de l’Erdre, et on prépare une ballade en petit voilier.
Baptisée comme la plus belle rivière de France par François Ier, les Nantais y ont fait construire sur les rives de somptueuses maisons, manoirs et châteaux.
Cette carte est du type héliotypie, nettement moins belle à mon avis et surtout moins nette que les cartes en phototypie.
A partir des années 1920 cette technique a beaucoup été utilisée aux détriments de la phototypie qui malheureusement a fini par succomber aux sirènes de la rentabilité !
» Un petit clin d’œil à Cédric pour voir un jour cette carte sur son site » : Rétrovilles
156 . Noirmoutier – Barque naufragée sur la Plage des Dames.
J.Nozais
Dos séparé – non circulé
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Barque naufragée sur cette plage des Dames qui comptent parmi les sites les plus beaux de cette ville, ce lieu a accueilli dès les années 1860, les tous premiers visiteurs et touristes qui arrivaient en train de Paris ou de Nantes en prenant le bateau à Pornic.
La tradition balnéaire des années vingt y a installé des cabines de plage dans lesquelles les élégantes se changeaient.
Sens – La Fausse Rivière et les Bateaux-Lavoirs
Collection P.R.-S
Dos séparé – circulé à découvert en 1914
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Les bateaux-lavoirs étaient, toute proportion gardée notre laverie automatique d’aujourd’hui !
Ce bateau était équipé d’un grand espace pour laver le linge et d’un autre pour le faire sécher.
Souvent à l’étage supérieur, un gros poêle servait à chauffer l’eau, un espace était équipé comme cabinet d’aisance et le reste de l’étage servait souvent de logement à son propriétaire.
Les bateaux-lavoirs étaient le lieu des histoires et ragots colportés par les lavandières aux langues bien pendues.
Beaucoup de ces bateaux ne bougeaient pas de place pas mais quelques uns se déplaçaient le long des voies d’eau pour proposer leurs services.
Même à l’époque une réglementation avait été prévue pour ce genre de prestation, le propriétaire du bateau–lavoir devait se soumettre à des normes bien précises, et surtout de s’acquitter d’une patente pour exercer ce métier.
L’arrivée du lave linge dans les foyers a fait disparaître doucement ces bateaux de nos rivières, mais il reste quelques rescapés de ces bateaux que l’on peux visiter aujourd’hui comme un musée.
5 – Ris Orangis – la Seine près du Pont
M.Mulard ,éditeur ,Yerres
Dos séparé – circulé à découvert
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Certainement dimanche , jour de repos pour ces pêcheurs, le soleil doit taper fort à voir l’homme dans la barque qui s’est protégé la nuque d’une serviette.
Cela me rappelle mon père qui me racontait qu’il partait de la Bastille en vélo pour aller pêcher à la campagne, et oui à l’époque Ris Orangis était la campagne pour un titi parisien.
Dans les sacoches, casse croûte et 2 à 3 litres de vin rouge étaient nécessaires pour tenir la journée.
En fin de journée, le retour vers Paris était souvent difficile, certainement le soleil ou peut être les trois litres de vin ou alors les deux !!!!