Saint-Nazaire – Lancement du Cuirassé FRANCE

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627  –  Saint-Nazaire – Lancement du Cuirassé « FRANCE » (7 novembre 1912)

long .168 m,Larg 27m ,déplacement : 23.500tonnes,tirant d’eau : 8,70 .

Le Lancement ,le cuirassé prend possession de son élément.

Collection Morel,St Nazaire

Dos séparé – Non circulé

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Le Naufrage à La Teignouse (Baie de Quiberon)

Le 26 Août 1922 à 0h57, revenant d’une campagne d’exercices devant Belle-ile, il talonne une roche dans le passage de la Teignouse.
Le commandant ordonne de stopper les machines. Mais voyant que le navire paraît déséchoué, et qu’il conserve son erre, il fait remettre les machines à 10 noeuds et poursuit sa route sur l’alignement du feu blanc de Port-Navalo. En même temps, il fait inspecter le fond du navire. Vers 1h10, les machines et dynamo stoppent faute de vapeur, privant le navire d’énergie et de lumière. Il ne peut même plus mettre les embarcations de secours à l’eau. Peu à peu le courant se lève et pousse la « France » vers les hauts fonds. Pour éviter toute nouvelle voie d’eau, le commandant ordonne de mouiller. Le cuirassé ne peut plus manoeuvrer se remplit rapidement d’eau et prend de la bande sur bâbord.
Il est 1h49, quand le cuirassé le « Paris » alerté par le télégramme de la « France », vient mouiller à proximité. L’évacuation commence dés l’arrivée des premières embarcations du « Paris ». A 3h15, le « Strasbourg » et le « Metz », deux autres navires de l’escadre, arrivent sur zone et mettent leurs embarcations à l’eau, accompagnant celles du « Voltaire » déjà là. Le commandant Guy, chassé de la passerelle par la gîte, est tombé à la mer. Il est récupéré légèrement blessé. La « France » chavire sur bâbord et fait un tour en quelques secondes. Il n’y aura que trois disparus dans le naufrage.
Le commandant Guy sera jugé et relaxé par le Tribunal Maritime de Lorient, le 13 décembre 1922. La roche qui avait causé la perte de son navire n’était pas mentionné sur les Instructions Nautiques . Elle sera ainsi nommé « Basse nouvelle « …
Après une vaine tentative de renflouage, faite par la société Pasquet & Bons, des entreprises se succèderont à la démolition des tonnes d’acier de l’épave. De mai 1935 à février 1952, l’entreprise Neptune, puis pour finir la société Armor de Nantes finira le chantier en 1958.

Les vestiges du naufrage sont aujourd’hui exposés au Musée de Quiberon


Texte tiré d’un site pour tout savoir sur les navires ayant naufragés sur les côtes Atlantique et Manche


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Sens – La Fausse Rivière et les Bateaux-Lavoirs

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Sens – La Fausse Rivière et les Bateaux-Lavoirs

Collection P.R.-S

Dos séparé – circulé à découvert en 1914

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Les bateaux-lavoirs étaient, toute proportion gardée notre laverie automatique  d’aujourd’hui !

Ce bateau était équipé d’un grand espace pour laver le linge et d’un autre pour le faire sécher.

Souvent à l’étage supérieur, un gros poêle servait à chauffer l’eau, un espace était équipé comme cabinet d’aisance et le reste de l’étage servait souvent  de logement à son propriétaire.

Les bateaux-lavoirs étaient le lieu des histoires et ragots colportés par les lavandières aux langues bien pendues.

Beaucoup de ces bateaux ne bougeaient pas de place pas mais quelques uns  se déplaçaient le long des voies d’eau pour proposer leurs services.

Même à l’époque une réglementation avait été prévue pour ce genre de prestation, le propriétaire du bateau–lavoir devait se soumettre à des normes bien précises, et  surtout de s’acquitter d’une patente pour exercer ce métier.

L’arrivée du lave linge dans les foyers a fait disparaître doucement ces bateaux de nos rivières, mais il reste quelques rescapés de ces bateaux que l’on peux visiter aujourd’hui comme un musée.

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Ris Orangis – la Seine près du Pont

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5    –   Ris Orangis – la Seine près du Pont

M.Mulard ,éditeur ,Yerres

Dos séparé – circulé à découvert

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Certainement dimanche , jour de repos pour ces pêcheurs, le soleil doit taper fort à voir l’homme dans la barque qui s’est protégé la nuque d’une serviette.

Cela me rappelle mon père qui me racontait qu’il partait de la Bastille en vélo pour aller pêcher à la campagne, et oui à l’époque Ris Orangis était la campagne pour un titi parisien.

Dans les sacoches, casse croûte et 2 à 3 litres de vin rouge étaient nécessaires pour tenir la journée.

En fin de journée, le retour vers Paris était souvent difficile, certainement le soleil ou peut être  les trois litres de vin ou alors les deux !!!!


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Billancourt – Bords de seine

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Billancourt – Bords de seine

P.Marmusse,Paris

Dos séparé – non circulé

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Tout naturellement une petite ballade en petit  voilier sur la seine ,elle est pas belle la vie !!!

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Paris-Port saint Nicolas

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119 . – Paris-Port saint Nicolas

Dos simple – circulé à découvert

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La navigation pour traverser Paris était rendue périlleuse par l’étroitesse de la rivière encombrée de ponts aux nombreuses piles. C’est pourquoi la grande majorité des ports se situaient en amont de l’île de la Cité. Le Port Saint Nicolas a été le seul port important à l’aval de la Cité pendant des siècles. Il recevait essentiellement des produits alimentaires divers et le foin destiné à la nombreuse cavalerie royale.

Il a été aménagé en agréable promenade depuis 1942.

source:Lefildutemps
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