Fontainebleau – Avenue du chemin de Fer

77-Fontainebleau-Avenue du chemin de fer

77 – Fontainebleau-Avenue du chemin de fer

 

Fontainebleau-Avenue du chemin de fer
édition, Fourcade, Fontainebleau 
dos séparé – circulé à découvert en 1908
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Ce cliché qui était au départ en noir et blanc a été édité par plusieurs éditeurs et en particulier par le célèbre éditeur ELD ( Ernest Louis le Delley) mais cette carte colorisée est vraiment très agréable à regarder par le fait qu’elle a été particulièrement bien coloriée.
L’éditeur de cette carte « Fourcade » avait cette particularité d’éditer des cartes colorisées de très belles factures et aujourd’hui très reconnaissables, ce qui n’était pas toujours le cas chez d’autres éditeurs qui utilisaient des couleurs mal appropriées et très mal appliquées sur la carte.
La colorisation des cartes postales vers 1900 était très appréciée et beaucoup d’éditeurs ne manquaient pas l’occasion d’appliquer ce coloriage. Il y avait plusieurs méthodes de colorisation ou de coloriage des cartes postales la première et la plus belle était le coloriage à la main, ce qui donnait des exemplaires uniques et bien sûr il y avait aussi le coloriage au patron ou coloriage au pochoir qui était le plus souvent employé.

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Royan – La rue Gambetta – photographe et papier Kodaks

17-Royan-La rue Gambetta - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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97 –  
éditeur LL. 
Dos séparé  – circulé à découvert en 1910
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Bien sur cette carte ne fait pas partie de ce que l’on peut appeller « cartes rares ou encore mieux Top cartes », mais encore une fois même dans ce que l’on appelle les petites cartes on trouve toujours un détail qui fait que ce bout de carton devient une source de renseignements de cette époque des années 1900 /1920.

L’expéditeur de cette carte à dessiner une croix sur le store du salon de coiffure pour bien indiquer qu’Émile était installé rue Gambetta.
Juste à coté du salon de coiffure se trouve le magasin du photographe, sur son store et sur la façade de la Maison Kodaks fait sa publicité.
En regardant de plus près cette carte (ou en agrandissant l’image) on peut lire que le photographe Marpo vous donne l’occasion de vous faire photographier sur les cartes postales pour la somme de 4,50 francs.

Cette pratique de se faire photographier sur un support de carte postale a été très utilisée à cette époque, le système en était très simple … le cliché de cette carte photo était un tirage bromure sur du papier photographique ( Kodaks en l’occurrence ) sur lequel on avait imprimé au verso les mots « carte postale, adresse, correspondance  » .
Mais cette technique permettait surtout de commander au photographe un tirage en petite quantité (1/5/10 à 20 cartes) ce que l’on ne pouvait pas demander aux imprimeurs pour qui une fabrication au-dessous de 500 à 1000 cartes n’était pas rentable, où devenait trop chère pour le particulier. Ces cartes photos de famille étaient ensuite expédiées par la poste à découvert ou sous enveloppe sans aucun problème.

 

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Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe

Varenne-Jarcy - La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe Thibault, éditeur, Mandres.
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Au restaurant du Lapin qui se rebiffe… rien que la légende de cette carte postale nous fait rêver.
En 1900 la ville de Varennes-Jarcy est une petite ville de Seine-et-Oise (aujourd’hui en Essonne) de 248 habitants située à 11 kilomètres de Corbeil et à 4 Km de Mandres.
Le maire de cette époque est Monsieur Bosquillon, Monsieur Dauvergne (L) est l’agriculteur, Monsieur Vinatier est Maçon, Monsieur Chalin (L) est polisseur d’acier et Monsieur Lamber est restaurateur à Jarcy.

Voici une vue google-maps de cet endroit plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale, la rue du restaurant du Lapin qui se rebiffe est devenue la rue de la Libération et le restaurant une belle maison d’habitation.

Varennes-Jarcy- 100 ans après l'edition de cette carte postale

Varennes-Jarcy- 100 ans après l’édition de cette carte postale

 

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Chaumont-sur-Loire – Hotel de l’avenue du Château en 1905

41-Chaumont-sur-Loire-Hotel de l'avenue du Château - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

41-Chaumont-sur-Loire-Hotel de l’avenue du Château – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chaumont-sur-Loire – Hotel de l’avenue du Château 
éditeur G.H Phot 
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
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Aujourd’hui L’avenue du Château s’appelle l’avenue du Marechal Leclerc, dans les années 1900 Chaumont-sur-Loire est une petite peuplée de 1092 habitants et située à 20 kilomètres de Blois et 2 kilomètres d’Onzain.

Sur cette carte postale on aperçoit en premier plan l’hôtel-café de l’avenue de la gare, mais en 1900 on compte déjà un bon nombre de cafés avec les maisons Berthelin-Abon; Levain-Soudé; Marcadet-Rouleau et Méchain-Deschamps. Le maire à cette époque est Monsieur Châlons (C) et le propriétaire du château de Chaumont est le prince de Broglie-Say.  

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Carte Postale Ancienne de Bernay-Marché aux légumes

carte postale ancienne de Bernay-Marche aux légumes - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

carte postale ancienne de Bernay-Marche aux légumes – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails  

Bernay-Marché aux légumes
Collection  Walter, Bernay 
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Encore une carte pour les collectionneurs des petits marchés de France, avec cette carte postale du marché aux légumes de Bernay dans les années 1900.

Située dans le département de l’Eure en région de haute Normandie, à la limite du Pays d’Ouche et du Lieuvin .

Arrosée par la Charentonne, Bernay en 1900 est une ville de 7966 habitants à 48 kilomètres de d’Evreux et de 152km de Paris, administrée par le maire Mr Puel (Léon).

A cette époque, Foires et Marchés sont nombreux et très attendus par les Bernayens et Bernayennes surtout la Foire  appelée « Fleurie » qui dure 8 jours et se déroule en avril ou mai (elle était renommée pour ces ventes de Chevaux.)
Le 8 juillet c’est la foire de la laine, le 9 septembre et le 25 octobre c’est le tour des ventes des poulains et enfin les samedi c’est le marché aux bestiaux gras.
A noter à cette époque les  nombreux commerces et manufactures installés à Bernay, comme la manufacture  Masselin qui tisse des rubans de fil de coton, de molleton, flanelles, etc, les commerces de papiers, de fer, de graines, de cidres, de bestiaux , de cuir, de bougie et la fabrique de casquettes et chapeaux de paille « Rousseau ». 

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