Pyrénées-Ariegeoises-Massat-Place et Avenue de St-Girons

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 Pyrénées-Ariégeoises

364 — Massat – Place et Avenue de St-Girons

Phototypie Labouche Frères, Toulouse

Dos séparé – non circulé

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Massat, située à 650 mètres d’altitude et à 27 kilomètres de St-Girons est en 1911 une commune de 3267 habitants administrée par le Maire Monsieur Galy-Gasparrou (L.).

Rien ne manque dans cette ville où les magasins et artisans sont nombreux, pas moins de 6 cafetiers; Les maisons, Amiel, Claustre (L), Claustre (P), Dedieu (J), Espaignac et Piquemal.

4 boulangers, Icart, Laffont, Talieu et Troisrieux; 7 épiceries, L’épargne, Gally, Piquemal, Rougé, servat, la Veuve Soula et Vandernoot.

 2 pharmaciens, Grasset et Serva (A) attendent les clients du médecin Anel ou des deux Sages Femmes de Massat, Madame Garrabé et Madame Rivière.

  Bien sûr d’autres commerces sont installés dans la ville, mais cela me fera l’occasion de refaire un nouveau post avec une prochaine carte de la ville de Massat.

Un petit tour avec Google maps à Massat 100 ans après que le photographe ait pris ce cliché de cette carte postale.

Un petit montage photo d’avant et de maintenant ou de maintenant et d’avant ..?

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Carte postale – Mortery – Route de Provins à Saint-Hilliers

77-MORTERY-Route-de-Provins-à-Saint-Hilliers-Café Billard GUINAND

Mortery – Route de Provins à Saint-Hilliers

A.Vernant, éditeur

Dos séparé – circulé à découvert

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Mortery dans les années 1900 est une petite ville de 201 habitants située à, 6 kilomètres de Provins et administrée par Monsieur Proffit Maire de cette ville.

Le tabac (sur la carte postale) est la maison Guinaud, l’épicerie était tenue par la famille Guinaud et le maréchal-ferrant était Monsieur Sicre (L)

  Citons les agriculteurs qui ont travaillé les terres de Mortery et des alentours ; Mr Bourdon (A), Mr Larouse, Mr Marneau, Mr Montchaussé, Mr Paillard et Mr Proffit Roger.

je suis curieux de savoir le nombre d’agriculteurs que compte la ville de Mortery en 2012 ?

Voici l’endroit exact 100 après ou ce cliché des années 1900 a été pris.

C’est incroyable mais la façade de cette maison n’a pas bougé en plus de 100 ans, bien sûr le ravalement est dans un piteux état mais le nom de Guinaud est toujours en place.

Voici un petit montage photo fait à partir d’une image Google Maps et de cette carte postale ancienne

Mortery route de Provins à Saint-Hilliers 100 ans après – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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CPA de Paris-Montmartre- la Place-du-Tertre en 1900

18-arrt- Paris-Montmartre-place-du-Tertre – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

447  – Paris-Montmartre-place-du-Tertre

éditeur P.P.C Paris

Dos séparé – circulé à découvert en 1903

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Continuons notre balade dans le Montmartre de 1900 direction place du Tertre.

Je ne vais pas vous parler de l’histoire de cette place du Tertre et ce quelle est devenue aujourd’hui mais plutôt de sa petite histoire ! 

En 1904 à l’époque de ce cliché il y avait au N° 3 de la place du Tertre  la maison vins et liqueurs de Monsieur SPIELMANN, au 6 la crémerie de Madame FOREST et le Tabac débit de boissons de Monsieur Guillonx , aux 15 et au 17 les épiceries  VIGNERON et DRESLER.

À cette époque (1900) la vie sur la place est agréable et calme et ressemblait à une petite place de village, beaucoup de personnes sont persuadées que cette place était déjà le lieu où tous les grands peintres s’installaient avec leur chevalet.

Et bien non, c’est une idée reçue ! … car même si de grands peintres de l’époque venaient peindre un coin de la place … ce n’est que dans les années 1950 qu’un très grand nombre de peintres s’installeront sur la place et ne la quitteront plus !

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1920 – Soissons les maisons provisoires rue du commerce

Soissons-maisons- provisoires-de-la-rue-du-commerce – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

6. Soissons

Les maisons provisoires de la rue du Commerce

Édition Nougarède, Soissons

Dos séparé – non circulé

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Sur 841 communes que comptait le département de l’Aisne, seules six n’ont subi aucune destruction et sur 530 000 habitants en 1914, seulement 196 800 y demeurent encore en 1918.

Au lendemain de l’armistice du 11 novembre 1918, les populations qui avaient dû quitter les zones de front reviennent en masse dans leurs villes et leurs villages détruits.

Les loger devient alors l’un des problèmes les plus préoccupants pour l’État qui se lance dans la construction d’habitations provisoires.

Les départements envahis et occupés sont marqués à jamais par l’ampleur des dommages causés par la guerre.

Sur les anciennes lignes de front, tels le Chemin des Dames, la Somme ou Verdun, le bilan de la guerre est particulièrement dramatique.

Champs dévastés par les trous d’obus, sols défoncés, forêts arasées, maisons pulvérisées, tel est le spectacle qui s’offre à la vue sur ces territoires pilonnés pendant trois ans et demi. Face à cette situation, la République se devait d’aider ses citoyens, mais cela supposait de trouver de l’argent pour financer la reconstruction, de définir une politique et un cadre juridique précis tout en aidant les sinistrés à tenir matériellement et physiquement jusqu’à la reconstruction définitive.

Rentrés au pays, les sinistrés découvrent la disparition de la maison familiale, des souvenirs et des objets de leur vie d’avant guerre et prennent conscience de la tâche qui les attend.

Texte intégral sur : Chemins de Mémoire 
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Photographie de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – La Grande Rue

Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – La Grande Rue

Photographie G. Brindelet, 39 rue Saint Nicolas, Ferté-sous-Jouarre ( S.-et-M)

Dos séparé -circulé à découvert en 1907

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Restons dans le département de la Seine et Marne avec cette sympathique carte postale de la commune de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux.

Encore une fois les habitants de cette ville sont au rendez vous du photographe, les Saint-Jeannais et Saint-Jeannaises posent tranquillement pour la postérité.

Il faut dire quand 1900 Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux est une petite ville de 603 habitants et les visiteurs se font rares même si la ville se situe qu’à 10 kilomètres de Meaux.

Le Maire de cette époque est Monsieur Tronchon ; le Boucher Monsieur Beaudoin ;Les agriculteurs Monsieur Bilbille, Mr Billard, Mr Maciet (L), Mr Martin, Mr Renoult, Mr Robcy, Mr Tronchon; le Boulanger Monsieur Leclerc; le Bourelier  Monsieur Jouard; le Charcutier  Monsieur Chapuis; le Charpentier en bateaux Monsieur Chouteau; les Cordonniers Monsieur Gratiot , Mr Notrel, Mr Urbain; les Épiciers  Monsieur Gratiot (tabac), Mr Hébert, Mr Mathieu, Mr Rochon; les Hôteliers Monsieur Chapuis, Mr Coquillon; Instruments aratoires, Monsieur Eckert,Mr Leclerc,Mr Rochon; Le Maréchal Ferrant, Monsieur Leclerc et le Plâtrier Monsieur Taupin.

Toutes ces personnes vivaient à Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux dans les années 1900 et il n’est pas impossible que des descendants de ces personnes reconnaissent leurs ancêtres …….  Si c’était le cas merci de me laisser un commentaire !



 

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