CPA de Bourron-Marlotte – l’Hôtel de la Renaissance

Bourron Marlotte - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

692 – Marlotte

l’Hôtel de la Renaissance

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

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Cette grande maison, surnommée « le château », a été édifiée par le baron et grand financier Alfred de Niedermeyer (1832-1904), fils du musicien Suisse Louis de Niedermeyer .

A cette époque (1901) Marlotte est une commune de Bourron située à 8 km de Fontainebleau .

Voici ce que l’on peut lire dès 1901 sur l’hôtel de la Renaissance :

  Mallet, Pension depuis 6 Fr par jour tout compris ; 100 chambres au choix, grand jardin, salons et bosquets , voitures.

A Bouron, l’hôtel de la Paix est tenu par L.Poinsard , l’hôtel de la Gaité par Monsieur Rousseau.

Petit rappel sur cette  ‘ salamandre ‘ en bas à gauche de la carte , cette salamandre  portant un T sur son corps  était le sigle d’un des principaux éditeurs de Fontainebleau..

Cet éditeur fera sa réputation en  éditant  une grande quantité de  cartes de Seine et Marne.

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Une petite vue google maps 100 ans après

100 ans après l’hôtel de la renaissance

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Carte postale de Saint-Aquilin -Café- établisement G. Le Natur

Saint Aquilin - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Environs de Pacy-Eure : St-AQUILIN –  Établissement G. Le NATUR

éditeur G. Le Natur. St Aquilin

Phototypie C. Jeangette – Paris

Dos séparé – non circulé

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Toute la famille et quelques clients sont au rendez-vous du photographe, c’est un peu normal car l’éditeur et client de cette carte photo n’est autre que le patron de ce café.

Il n’était pas rare à l’époque que les petits commerçants se retrouvent éditeurs tellement le marché des cartes postales était fleurissant.

Le principe en général était très simple, le petit commerçant faisait imprimer le cliché du photographe par un « éditeur imprimeur » établi et le faisait repiquer à son nom étant le payeur de cette commande il en devenait l’éditeur.

C’est ainsi qu’aujourd’hui le nombre des petits éditeurs de cette belle époque est quasiment incalculable.

Mais ces petits éditeurs ne pouvaient rivaliser avec les grands de l’époque et c’est pour cette raison qu’une centaine d’années plus tard ces cartes de petits éditeurs sont recherchées et bien souvent  bien cotées sur le marché de la cartophilie.

Comme dit le dicton « ce qui est rare est cher et ce qui est cher est rare »… et bien voila une des raisons pour laquelle ces cartes sont appréciées des cartophiles.

Tout simplement parce que ces cartes étaient très souvent éditées en petit nombre n’intéressant à l’époque que les habitants de la petite ville ou quelques touristes de passage.

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Voici un agrandissement des personnages sur le devant du café G.NATUR

Détail des personnages du café de Saint Aquilin - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Faremoutiers – Hôtel de la Gare de Faremoutiers-Pommeuse

Faremoutiers - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Faremoutiers (S.-et-M.)

 Hôtel de la Gare de Faremoutiers-Pommeuse

Éditeur :  Tombe

Dos séparé – non circulé  ( J. Bourgogne,Imp-édit? Château-Thierry )

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L’hôtel de la gare de Faremoutiers-Pommeuse dans les années 1910, à mi-chemin de Pommeuse et de Faremoutiers.

À ma droite la ville de Faremoutiers en 1911, avec ses 895 habitants et son Maire Monsieur Bridou : 2405 habitants (recensement 2007).

A ma Gauche Pommeuse dans les années 1910, avec ses 985 habitants  et son Maire Monsieur Collinet  : 2674 habitants (recensement 2007). 

Si je regarde de prés le bottin de 1911, aucun hôtel n’était mentionné à Faremoutiers, il y a bien des 4 aubergistes : Foulon ; Fourré ; Charbonnier et Picard mais aucun hôtel en tout cas inscrit sur le bottin.

 Par contre à Pommeuse en 1911, pas moins de 3 hôtels sont mentionnés : Gobron ; Jacquot ; Lagarde .

Alors la question est posée à tous les Faremoutais, Faremoutaises et tous les Pommeusiens, Pommeusiennes qui pourraient me dire avec certitude : 

« De quelle commune faisait partie l’hôtel de la gare en 1911 (voir aujourd’hui), merci de me laisser un commentaire »..

Comme cette carte postale n’était pas d’une très grande qualité d’image, voici un gros plan sur les acteurs de ce cliché.

Détails de Faremoutiers - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Une petite Vue Google maps de l’hôtel 100 après 

Faremoutiers-Pommeuse 100 ans après

Et un petit montage photo pour le plaisir

Montage photo Faremoutiers-Pommeuse


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Tout Paris – La Rue des Pyrénées à la rue des Partants

Tout Paris – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris N° 1126

La Rue des Pyrénées à la rue des Partants (XXe arrt)

Collection F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Voici une carte qui m’a fait perdre la tête un bon moment (je sais c’était déjà fait ) .

Sur les plans d’aujourd’hui au moins 1 km sépare la rue des Pyrénées et la rue des Partants, alors ma première intention était de marquer que cette carte avait été mal légendée (comme cela arrivait souvent à l’époque).

Mais j’ai quand même regardé sur mes vieux plans de Paris de cette belle époque, et surprise la rue des Partants arrivait bien au niveau du 269 rue des Pyrénées.

Aujourd’hui la rue s’appelle rue Villiers-del’île Adam et a quasiment remplacé toute la rue des « Partants' » ne laissant plus qu’un petit morceau de rue coincée entre la rue Gasnier-Guy et la rue Sorbier..

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Le petit plus avec un détail du plan de Paris ou la rue des Partants arrivait rue des Pyrénées.

Plan-20arrt-Paris-rue-des-Partants –

 

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Carte Postale Ancienne -Tout Paris – Rue de Ménilmontant

Tout Paris - Rue Ménilmontant - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris

425 – Rue de Ménilmontant(XXe arrt) prise du Boulevard

Collection F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1908

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Le photographe à planté son trépied juste au  croisement du boulevard de Ménilmontant et de la rue du même nom .

Deux cafés brasseries se font face, mais les cafés, buvettes,brasseries, ne manquent pas dans le décor des rues Parisiennes en 1900 et le vin est la boisson la plus courante.

 Pour vous donner une idée, voila une statistique de 1900  : La consommation de vin à Paris en 1860 était de 2100000 hectolitres par an, 40 ans plus tard en 1900 la consommation de vin à doublée, passant à 4400000 hectolitres par an.

Cette quantité de vin était livrée soit par des négociants des entrepôts de Saint Bernard , de Bercy , de Charenton ou arrivait directement le vin des vignobles. 

Il y  avait aussi le petit plus dans certains cafés, comme celui sur la gauche de la carte postale qui annonce fièrement que téléphoner de son établissement est possible !

Quelques petits conseils que l’on pouvait lire en 1900 pour téléphoner , appuyer 2 ou 3 fois assez rapidement sur le bouton d’appel ; décrocher les récepteurs, les porter à l’oreille et écouter.Dés que le téléphone à répondu « Allô » , lui indiquer le numéro de l’abonné demandé.Attendre l’arrivée de celui-ci en maintenant le récepteur contre l’oreille.

Articuler très distinctement , sans élever la voix, en se tenant à 3 ou 5 centimètres de l’appareil.

La conversation terminée , raccrocher les récepteurs et appuyer 1 ou 2 fois sur le bouton d’appel pour avertir que la ligne est libre.

 

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