Carte Photo Carrosserie et Sellerie Tortu à Saumur

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Carte Photo

Carrosserie et Sellerie Tortu

Dos séparé – non circulé

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Voila une carte Photo  qui me fait tourner en bourrique !

j’ai acheté cette carte à un collectionneur qui se posait la même question que moi ,mais ou se situe cette Sellerie TORTU .

Après avoir élaboré  plusieurs pistes ,la plaque de rue cassée qui pourrait être la rue de la gare (pas sur) , la recherche du  nom  TORTU dans plusieurs Bottin de l’époque , la recherche de cartes similaires sur des sites de ventes de CPA , rien à faire cette carte reste un mystère !!

Et c’est bien dommage , je vous avais expliqué l’importance de la localisation d’une carte photo ,aussi bien Pécuniaire que sentimentale .

Pécuniaire, car une carte non localisée perd plus de 50% de sa valeur marchande .

Sentimentale , car il y à certainement une famille TORTU en France qui aimerait bien reconnaitre,  le père , le grand père ou l’oncle sur cette carte .

Bien sur si vous reconnaissez ce lieu ou un de vos ancêtres laissez moi un petit commentaire et je me ferais un plaisir de vous envoyer  gratuitement un scan de cette carte en haute définition comme souvenir !!

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Suite de l’histoire et de la localisation de cette carte photo .

Bonjour à tous
Après avoir demandé conseil au créateur du site  Jadis de Saumur ,voici sa réponse.

Sur l’almanach de Saumur de 1913, je trouve « Charles Tortu, entreprise de voitures, 1 rue de la Grise ». Comme la petite rue de la Grise, dont je ne parle guère, est numérotée à partir du centre ville, cette maison est à l’angle entre la rue de la Grise, à droite, et la place Dupetit-Thouars, à gauche. Les rues de la ville sont toujours soigneusement pavées.
Je suppose que la photo a été prise avant 1913, époque où les lieux ont été totalement chamboulés. Plus à gauche, on a construit la nouvelle poste en style cubiste et en avant on a posé, peu après, le socle destiné à porter la statue de Dupetit-Thouars. J’en donne quelques images sur mon site en décrivant la place Dupetit-Thouars. L’immeuble, dont Tortu occupe le rez-de-chaussée, est appelé  » immeuble Dupont  » et la ville a décidé de le racheter pour agrandir la poste. L’affaire a traîné jusqu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, mais le pauvre Tortu, qui devait occuper des ateliers à l’arrière, a abandonné les lieux. Son grand magasin a changé plusieurs fois d’occupants et il est devenu un café pendant quelques années.
Aujourd’hui, tout est détruit et l’angle des deux rues est occupé par la nouvelle poste.
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La carrosserie Tortu était située approximativement à l’emplacement du point A sur ce plan google maps:

Carrosserie-Tortu-rue-de-la-grise à Saumur

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Voici un petit montage photo pour vous faire voir ou se trouverai  exactement  la Sellerie-Carrosserie TORTU si elle existait encore !

Montage rue de la grise à Saumur carrosserie Tortu - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte photo – Jeune filles Bénévoles de la Croix Rouge

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Jeune filles Bénévoles de la Croix Rouge

dos séparé – non circulé

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Une histoire de femmes

La Société de secours aux blessés militaires (SSBM), est affaire d’hommes, cependant, la base active va vite se constituer de femmes !
Marquées par le départ au combat de leurs fils et maris, ces femmes patriotes voient dans la Croix-Rouge l’occasion de participer à la défense de la France. En soignant les soldats blessés elles jouent ainsi un rôle à part entière.

Si elles ont leur place au sein des comités – au vestiaire et à la communication –, elles veulent surtout être actives et opérationnelles en cas de conflit. Or, face au manque d’hommes volontaires disponibles et aux lacunes en matière de formations aux soins, elles poussent à la création de l’enseignement sanitaire.

Cette volonté sera à l’origine des premières formations d’infirmières, dont le rôle sera salutaire pour les hôpitaux militaires en 1914-1918 !

Malheureusement, au lendemain de 1870, la proposition n’est pas entendue dans un premier temps par la SSBM. Les meneuses font donc sécession et créent leur propre association en 1879 : l’Association des Dames Françaises, première société de femmes à porter secours aux blessés militaires en France. Une seconde scission suit en 1882, donnant naissance à l’Union des Femmes de France. Ces trois associations composeront, jusqu’à leur fusion en 1940, la Croix-Rouge française.

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la Croix-Rouge française.


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Carte photo – Duvy – Vive la classe 1928

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Carte photo – vive la classe  1928 – Duvy

Dos séparé – non circulé

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Vive la classe, il était de coutume de fêter ou d’enterrer la classe.

La classe était l’ensemble d’un groupe né la même année appelé sous les drapeaux, le conseil de révision étant le premier jour de la classe.

A cette occasion les jeunes appelés défilaient dans les villes ou villages accompagnés souvent d’une petite fanfare pour fêter leur classe.

Sur cette carte photo les jeunes gens fête leur classe 28, mettant ainsi symboliquement la classe 27 à la porte.

Ce passage de flambeau donnait lieu pour la classe mise à la porte de faire aussi la fête en fêtant l’enterrement de leur classe.

Toutes ces fêtes étaient comme le montre cette carte photo un bon moyen de boire un bon coup et de fraterniser à la camaraderie et à l’amitié !

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Carte photo – la Journée du 75 du Touring Club de France

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la Journée du 75 du Touring Club de France

Dos séparé – non circulé

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Le Touring Club de France Organise le dimanche 7 février 1915 la « Journée du 75 ». Médailles et insignes à la gloire du canon de 75 seront  vendus dans toute la France, au bénéfice de  ‘l’œuvre du soldat au front’.

L’argent récolté par cette journée servira à envoyer à nos soldats divers objets de nature à améliorer leur bien-être sur le front.

Devant le succès de cette journée organisée au profit des soldats, cette action sera prolongée durant l’année 1915, la vente de médailles et  d’insignes rapporta plus de 5 millions de francs de l’époque.

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‘Et ce ne sont pas seulement nos soldats qui l’aiment, le 75, mais tous les Français ! Aussi, lorsque

Baudry de Saunier proposa au Touring-Club de France d’organiser pour ce puissant artisan de la victoire une journée d’apothéose, la « Journée du 75 », son idée obtint-elle le succès le plus vif

Maintenant, grâce à la popularité de notre canon, « l’OEuvre du Soldat au Front » du Touring-Club de France peut arroser les tranchées françaises de bien-être et de joie ! Oui, le 75 arrose bien !…

( Antoine Borrel (député de la Savoie), partie du discours à l’occasion de la Journée du 75, 7 février 1915.)

( partie du discours à l’occasion de la Journée du 75, 7 février 1915.)
 d'Antoine Borrel "député de la Savoie".

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Médaille vendue lors de ces campagnes de collecte de fonds elle représente un canon de 75 , marquée  » Journée du 75  »  « 1914 1915 « ,

avec le sigle T.C.F entre les deux dates (Touring-Club de France)

médaille de la Journée du 75, 7 février 1915

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Carte Photos – Enfants bénévoles de la Croix Rouge

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Le premier bénévole de la Croix-Rouge est son fondateur, Henry Dunant, ce suisse fonde le Comité international de secours aux blessés de guerre « la Croix-Rouge »

L’idée de fonder une organisation destinée à secourir impartialement les blessés vient du spectacle terrifiant auquel assista Dunant lors de la bataille de Solférino, le 24 juin 1859.

La première convention de la Croix-Rouge se réunira en 1864. Elle accordera l’immunité au personnel de secourisme et sera reconnue par 14 pays.

Le philanthrope suisse recevra le prix Nobel de la paix en 1901.

Les premiers à adhérer aux idées de Dunant en France et à s’investir pour la réalisation de ses projets font partie d’une élite aristocratique de l’époque. C’est auprès d’eux que le fondateur a prospecté pour constituer un réseau influant, en mesure de consacrer du temps mais aussi des moyens.

C’est véritablement après 1940 que la Croix-Rouge à travers ses membres devient un microcosme de la société française. La guerre a suscité un grand élan de solidarité national. Chacun donne de son temps à sa manière, de la confection de colis et de lainages pour les prisonniers de guerre au secours des victimes des bombardements, en passant par l’accueil des rapatriés des camps…

Aujourd’hui, La Croix-Rouge française, c’est à la fois une association de 52.000 bénévoles engagés depuis plus de 140 ans sur de nombreux fronts de la lutte contre les précarités et une entreprise à but non lucratif de services dans les champs sanitaire, social, médico-social et de la formation avec 17 000 salariés dans plus de 550 établissements.


« Lien de la Croix rouge française »

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