En 1910 à Maintenon – Rue du Faubourg – Larue

28-Maintenon-Rue du Faubourg-Larue - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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30  – Maintenon – Rue du Faubourg – Larue

Ch. Foucault, éditeur – Dreux

Dos séparé – circulé à découvert

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La rue du Faubourg-Larue à Maintenon dans l’Eure et Loire semble bien tranquille , il faut dire que nous sommes dans les années 1910 et le cheval tire encore la charrue..!

100 ans après de nombreux Maintenonnais et Maintenonnaises se plaignent ou se plaignaient du bruit que font où faisaient les camions en traversant leur ville, une déviation était prévue … Où en est ce projet ?
Merci de me laisser un commentaire si vous êtes au courant.

Mais revenons en 1910, la ville de Maintenon est située au confluent de l’Eure et de la Voise à 19 kilomètres de Chartres, son maire est le Duc de Noailles et son juge de paix Monsieur Gautier.

Comme très souvent à cette époque les 2013 habitants de Maintenon ne sont pas en manque de commerces, pas moins de 4 boulangeries, 3 boucheries et 12 épicerie Merceries sont installées en ville

Sur cette carte postale le cheval et la charrue est au premier plan, bien sur à cette époque les paysans labourent encore leur terre à l’aide d’une charrue tirée par un ou deux chevaux de trait.

En 1911 les charrons de Maintenon sont Mr Launay et Mr Pichot, le marchand d’instruments agricoles est Mr Christen, les bourreliers sont Mr Clichy, Mr Delarue et Mr Peyé et bien sur citons les agriculteurs de cette époque Mr Pénelle et De Noailles.

Une photo google de la Rue du Faubourg-Larue à Maintenon 100 ans après l’édition de cette carte postale 

Maintenon-la-rue-du-faubourg-Larue-100-ans-aprés

Maintenon-la-rue-du-faubourg-Larue-100-ans-aprés


 

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Ouzouer sur Trézée – Rue Chaude – édition Poullain

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26 – Ouzouer sur Trézée – Rue Chaude – édition Poullain

éditeur, Poullain

Dos séparé – voyagé sous enveloppe

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Les tourments des deux guerres mondiales sont terminés et la carte postale a un peu perdu un peu de leur superbe, mais les clichés des meilleurs photographes sont toujours reconnaissables, même si le papier et la technique d’impression ne sont plus les mêmes qu’à la belle époque.

Petite commune du Loiret d’environ 1200 habitants, traversée par la Trézée et par le canal de Briare, Ouzouer sur Trézée est située dans la région naturelle de Puisaye à 150 km de Paris et à 80 km d’Orléans

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Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

28-Châteaudun-Phototypie Laussedat – Atelier des Machines – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

Dos séparé -non circulé

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Voici une carte peu courante et intéressante pour les collectionneurs de cet éditeur, on y voit l’intérieur de l’imprimerie Laussedat installée à Châteaudun.

Cette imprimerie a participé à de nombreuses éditions de cartes postales, certaines d’entre telles sont bien cotées.

À cette époque de l’âge d’or de la carte postale, les imprimeries spécialisées dans ce domaine ne chôment pas, c’est par millions que ces petits bouts de cartons de 14 cm par 9 cm vont sortir des ateliers.

Les cartes postales étaient constituées de 3 feuillets, le papier utilisé le plus souvent pour la phototypie était un papier laminé à grain ou à demi-grain;

La majorité des cartes postales de cette époque ont été imprimées par ce procédé aujourd’hui quasiment abandonné …!  Bien dommage ..  le résultat était pourtant si beau. Le principe avait été trouvé par Alphonse Poitevin en 1860 sous le nom de « photolithographie », le principe reposait sur la sensibilité à la lumière de la gélatine associée au bichromate de potasse.

je ne vous détaillerai pas toutes les étapes de ce procédé, mais pour simplifier on utilisait une plaque de verre recouverte d’une couche de gélatine bichromatée, le procédé consistait ensuite à mettre un cliché photographique sur verre en contact avec la plaque gélatinée et le passer sous une lumière ultraviolette. Après un long rinçage à l’eau et un bain de glycérine, la plaque passait sous un rouleau d’encre grasse avant d’être mise sur le plateau de la presse. Cette technique permettait rarement de produire plus d’un millier de cartes postales par plaque de verre.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Bourré – Les Rochers – Entrée d’une champignonnière

Bourré-Les Rochers-entrée d’une champignonnière – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Bourré-Les Rochers-entrée d’une champignonnière

éditeur H.B 8

Dos séparé – circulé à découvert en 1913

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 Restons à Bourré dans  les sous-sol qui ont fourni la pierre blanche des châteaux de la Loire, par la suite les anciennes carrières sont devenues des champignonnières grâce au légendaire champignon de Paris.

La France à été très longtemps le premier producteur mondial de ce champignon…. mais comme toujours la concurrence a ruiné cette filière.

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Carte postale de Bourré – La Champignonnière de la Cure

Bourré-La Champignonnière de la Cure – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Bourré – La Champignonnière de la Cure

Imprimerie Blondeau Montrichard

dos séparé – circulé à découvert

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Hier l’alose et aujourd’hui le champignon de Bourré

Le sous-sol de Bourré a fourni la pierre blanche des châteaux de la Loire, ensuite les anciennes carrières sont devenues des champignonnières grâce au légendaire champignon de Paris.

La France à été très longtemps le premier producteur mondial de ce champignon…. mais comme toujours la concurrence a ruiné cette filière.

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