Châlons sur Marne l’école d’Arts et métiers promotion 1908-1911

Chalons sur Marne école d'Arts et métiers - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

École d’Arts et métiers de Chalons-sur-Marne Promotion 108-111   ( 1908 / 1911)

G.Durant, Photo, Chalons-sur-Marne

Dos séparé circulé à découvert en 1909

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Au verso de cette carte postale un conscrit de la 108-111 écrit à un camarade de l’école nationale d’Arts et Métiers à Lille.

 L’histoire des Arts et Métiers commence à Châlons en 1806, mais La première école des arts et métiers est fondée en 1780 à liancourt par   le duc de la Rochefoucauld-Liancourt.

De  nombreux ‘Gadz’Arts ou Gadzarts’ ( nom donné aux élèves)  laisseront leur nom dans l’histoire en révolutionnant l’industrie française par leur génie.

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Texte sur le site de l’association des élèves de l’école de Châlons en Champagne

« Châlons sur Marne en 1806

Vers la fin de 1805 Napoléon 1er allant visiter les camps de Compiègne et de Boulogne sur Mer, s’arrêta au château de Compiègne où il avait fait installer, quelques années auparavant, l’Ecole de Liancourt devenue alors Ecoles d’Arts et Métiers. L’Empereur examina avec intérêt le casernement de l’Ecole, assista aux exercices des élèves dans les classes et dans les ateliers, il se promena sur la magnifique terrasse qui domine la forêt. Considérant la résidence de Compiègne, il se dit que l’Ecole n’était pas à sa place dans un palais et que le château lui-même avec sa forêt mérovingienne, son site enchanteur, ses environs admirables devrait souffrir de la présence de cette école industrielle.

Aussi, dès le 5 septembre 1806, l’ancien grand séminaire de Châlons, le couvent de la Doctrine et le couvent de Toussaint furent mis par décret à la disposition de l’Ecole qui devait s’y transporter rapidement et qui s’y installa dans le courant du mois de décembre de la même année.

Les bâtiments de l’ancien séminaire furent affectés au casernement des élèves et à l’installation des études et des classes. Les annexes du couvent de la Doctrine furent consacrés en grande partie aux ateliers, aux communs et aux magasins de l’Ecole. Enfin les constructions du couvent de Toussaint reçurent les bureaux de l’Administration et furent aménagés, pour servir d’habitation aux principaux fonctionnaires de l’Ecole. »

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Carte postale ancienne – Saint-Dizier – La Marina et le Kiosque

Saint Dizier - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Saint Dizier – La Marina et le Kiosque

Edition des galeries Réunies de l’Est

Dos séparé – circulé à découvert le 21 /05/1909

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Le maire de cette époque est Monsieur Mougeot et le responsable  des pompiers est le capitaine Gallet, le travail ne doit pas manquer pour s’occuper des 14 communes et des 20116 habitants du canton de Saint-Dizier.

Après l’accord donné pour l’exploitation des eaux de la fontaine Marina pour l’usage médical , M. Victor Legrip exploite à ses frais et risques la source minérale appelée « Fontaine Marina « .

Mais l’affaire tourne court et la fontaine Marina reste abandonnée de très nombreuses années, devenant un bourbier et un lieu privilégié des animaux de la forêt.

Quelques années avant 1900, le docteur Chaussinant qui dirige l’asile départemental a l’ idée de remettre en état les sources de la Marina,en faisant participer les pensionnaires de l’asile.

Après plusieurs mois de tractations avec la Municipalité, il obtint le droit de remettre en état les sources de la Marina, et commence les travaux en 1902.

Les bassins seront surmontés de rocailles aux formes étranges qui rappellent vaguement des animaux fantastiques et des têtes humaines grotesques.

Des bancs et d’énormes sièges formés d’un seul tronc d’arbre seront installés autour de la Marina, devenant ainsi  un endroit d’attractions et de rendez-vous bucoliques.

Avec l’aide des patients de l’asile psychiatrique de Saint-Dizier, le docteur Chaussinant redonnera vie à cet endroit qui sera pour beaucoup un lieu de poésie et d’amour.

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je vous recommande ce :  SITE  pour en savoir encore beaucoup plus sur la Marina :

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Paul Durand Jean Dupont .









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Carte postale – Manœuvre du Ballon de siège – La Voiture-Treuil

La voiture treuil - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Manœuvre du Ballon de siège – La Voiture-Treuil

Librairie Militaire Guérin, Mourmelon – le-Grand

Dos séparé – circulé à découvert en 1909

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Cette carte montre les manœuvres  faites par des militaires d’un ballon siège au camp de Mourmelon ,ce camp a été créé en 1856 par décret de Napoléon III, et inauguré par l’empereur en 1857.

Connu aussi sous le nom de ‘Camp de Chalon’ il était conçu pour accueillir 25 000 militaires et 6 000 chevaux en manœuvre.

A droite du ballon sur la carte on distingue une voiture-treuil de siège avec sa chaudière à vapeur


*Destinée au transport du ballon normal captif, la voiture porte un treuil à toueurs qui permet de faire monter et descendre le ballon, une chaudière à vapeur qui fournit la puissance .

Elle porte un ventilateur et une pompe à vapeur, utilisée pour l’alimentation en eau de la voiture à hydrogène.

L’eau sert à la fabrication du gaz, au nettoyage de l’usine Renard après gonflement, à la sécurité.

La voiture porte un coffre à outils des pièces de rechange pour les mécanismes. Il sert de siège à trois mécaniciens.

Elle porte un bac à eau, la Chaudière, une pompe à vapeur, le tambour avec 1 000 mètres de câble, un enrouleur automatique, un compteur et un appareil téléphonique.

La voiture pèse de 2 670 kg à 2 840 kg selon qu’elle circule chaudière vide ou pleine.*

(Voiture-treuil de siège)


*Source : L’aérostation militaire française par Gérard Hartmann*



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Somme-Py – La Reconstruction de l’église

 

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Somme-Py – La Reconstruction de l’église

Phototypie J.Bienaimé ,Reims

Dos séparé -circulé à découvert en 1923

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Aux XIXe,  Somme-Py et SommePy sont les deux orthographes utilisés dans des textes officiels.

En 1950 le nom du village de Tahure qui avait été  détruit pendant la guerre de 1914-1918 sera rattaché au nom de Sommepy .

La guerre de 14-18 a marqué profondément et douloureusement le village.

Anéanti sous le feu constant des canons, occupé par les Allemands dés le 2 septembre 1914 jusqu’au 28 septembre 1918, la population s’est dispersée et en majeure partie déportée.

Au lendemain de la guerre, la population revint peu à peu.

Toutes les maisons avaient été détruites, les champs étaient sillonnés de tranchées, remplis d’obus, de mines et de restes humains déchiquetés.

Lentement, péniblement, la localité resurgit de ses ruines.

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le Site officiel de : Sommepy-Tahure

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Somme-Py – Restaurant de la Gare

 

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Somme-Py – Restaurant de la Gare

Larase éditeur ,Somme-Py

dos séparé -circulé à découvert

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Aux XIXe,  Somme-Py et SommePy sont les deux orthographes utilisés dans des textes officiels.

En 1950 le nom du village de Tahure qui avait été  détruit pendant la guerre de 1914-1918 sera rattaché au nom de Sommepy .

3 ans avant la première guerre mondiale ,Sommepy est une petite ville de 831 habitant administrée par le Maire Monsieur Thiébault .

A signaler  les épiciers : Ansiot , Beaudart , Chatel ,  Collard , Joannés , Lambourg  et  Thiébault qui ne faisaient peut-être pas leur beurre ,mais ce qui est sur c’est que Monsieur Jacquart (L) Apiculteur de son métier  faisait lui, son miel !!

l’éditeur de cette carte était commerçant à Somme-py ,mais la carte est une phototypie de J.Bienaimé de Reims .


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