La Normandie – La Ferté Macé – rue d’Hautvie – Bazar bon Marché

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La Normandie La Ferté Macé – rue d’Hautvie – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La Normandie – La Ferté Macé – rue d’Hautvie – Bazar bon Marché
éditeur ELD – dos séparé
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Située dans le département de l’Orne en région Basse-Normandie, la Ferté-Macé en 1910 compte 6488 Fertois et Fertoises administrés par le maire et docteur (E) Poulain. Au premier plan le « bazar bon marché » de veuve Morin. Ce style de magasin me rappelle un marchand de couleurs de mon enfance qui se trouvait rue de Charonne juste en face du palais de la femme. Ce magasin était la caverne d’Ali Baba, le sol en lino rouge était recouvert de centaines

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Porcelaine et Verreries – Mr Albert-Briatte au 163 rue de Charonne – Paris-11arrt

 

Paris-11arrt-Porcelaine-et-verrerie-163rue-de-charonne-Albert-Briatte

Paris-11arrt – Porcelaine et verrerie 163rue de Charonne – Mr Albert-Briatte

Carte publicitaire de la maison  Albert-Briatte intallée au 163 / 163 bis rue de Charonne à Paris dans le 11e arrondissement.

Pour les amoureux du XIe arrondissement de Paris (quartier de ma jeunesse) voici une carte dont la maison de Porcelaines et verreries se servait pour recevoir les commandes ou messages des clients ou futurs clients. Bizarre cette mention « Cette carte est Remboursable » cela voudrait dire qu’il fallait acheter cette carte publicitaire et certainement se la faire rembourser si l’on passait une commande ?? . Si vous avez une explication exacte de cette mention « Cette carte est Remboursable » ….merci de me laisser un commentaire.

 Voici le verso de la carte : 

carte postale ancienne-verso -albert briatte-porcelaine et verreries

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Tout Paris – Église St Germain de Charonne

Tout Paris – Saint Germain de Charonne – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Tout Paris – N° 339

Église St Germain de Charonne

Place St-Blaise (XXe arrt)

Collection Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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 Jusqu’à son annexion à la ville de Paris sous le Second Empire, le village de Charonne, loin du bruit et de l’agitation de la capitale, demeure un bourg campagnard que décrit Jean-Jacques Rousseau dans Les rêveries du promeneur solitaire.

Saint-Germain-de-Charonne se trouve au coeur de cet ancien village. D’après une légende, un oratoire aurait été bâti en mémoire du passage en cette localité, de Saint Germain, évêque d’Auxerre, dont il reçoit le nom. Sur son ancien emplacement s’élève l’actuelle église qui allie quelques vestiges du XIIe siècle (gros piliers de la tour) à une architecture des XVe-XVIIe siècles, fruit des remaniements successifs effectués, pour l’essentiel, en vue de parer aux exigences du culte ou de faire disparaître les traces des incendies auxquels elle est en proie à diverses époques.

C’est à partir de cette église que s’est développée l’urbanisation du village. Situé légèrement en hauteur, sur la pente d’un coteau, l’édifice, auquel on accède après trente et une marches, a constitué un véritable pôle d’attraction par son rôle de belvédère du village.

La rue Saint-Blaise, lui faisant face, en était la voie principale. Encore aujourd’hui, le promeneur qui remonte cette « grand’- rue » d’alors a l’impression saisissante de se trouver dans un petit village, auquel la menace des hautes tours voisines donne un charme un peu nostalgique.

Saint-Germain-de-Charonne est, en outre, l’unique église parisienne, avec Saint-Pierre-de-Montmartre, à encore posséder son petit cimetière paroissial. Ce type de nécropole est en effet interdit à Paris pour des raisons d’hygiène par un arrêté préfectoral daté du 2 ventôse an IX.

Sa présence contribue à accentuer le caractère pittoresque du site. Aussi, malgré les nombreuses transformations subies au cours des siècles et en dépit de l’urbanisation croissante du secteur, l’édifice garde-t-il, en raison de sa protection comme Monument Historique, quelque chose de l’église villageoise qu’il a été au milieu des vignes.

De plus, l’une des mémorables scènes du film Les tontons flingueurs (Georges Lautner, 1963), a été tourné dans ce lieu.

Source et texte : 
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Carte Postale Tout Paris – Rue Richard Lenoir en 1900

Tout Paris – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris 

1330  – Rue Richard-Lenoir  – Prise de la rue de Charonne  ( XIe arrt )

Collection F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1908

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Me voila dans ma rue Richard lenoir, la rue de mon enfance .
Le photographe s’est placé au beau milieu de la rue de Charonne , dans son dos le palais de la femme de l’armée du salut.
Un petit mot sur ce palais de la femme qui s’est appelé le palais de l’homme et servait d’hôtel aux hommes célibataires.
En 1914 le lieu se vide et les hommes sont mobilisés, le bâtiment servira d’hôpital jusqu’en 1918 et de bureaux de 1919 à 1924.
L’armée de salut se portera acquéreur des lieux en 1926 pour fonder officiellement le Palais de la Femme.
Mais revenons à cette carte postale, bien sûr, cette ambiance n’est pas exactement la même de mon enfance des années 1960, mais cela y ressemble quand même beaucoup.
Les immeubles étaient les mêmes,comme si de 1900 à 1960 rien n’avait bougé, le café de droite existait mais la salle de billard était devenue une salle de restaurant.
En 1900 la rue était en double sens (mais est-ce que les sens interdits existaient en 1900 ?), en tout cas à mon époque la rue était en sens unique ne pouvant être descendue en voiture que du boulevard Voltaire à la rue de charonne.
Un peu plus loin sur le même trottoir que le café se trouvait un hôtel et entre les deux une toute petite mercerie ou maman achetait de la laine à tricoter .
En parlant de cette mercerie, je me rappelle que maman avait dans une boite en fer une sorte d’œuf en bois, longtemps je me suis posé la question : mais à quoi peut bien servir cet œuf en bois ?
La réponse me fut donnée un jour en voyant ma mère raccommoder une paire de chaussettes, et oui cet œuf se plaçait dans la chaussette et servait de support pour passer et repasser l’aiguille afin de faire ce raccommodage ; Je me demande bien qui aujourd’hui raccommode encore ses chaussettes ?
À peine 100 mètres après cette mercerie vous arrivez au 10 rue Richard Lenoir, mon chez moi pendant plus de 20 ans avec cette cour des miracles où j’ai passé certainement les plus beaux moments de ma jeunesse.
Eh oui que de souvenirs, un jour une personne proche m’a dit la  « nostalgie c’est le plaisir d’être triste », sur ce point au moins… il avait raison !
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Je ne retourne plus dans mon quartier, mais voila quand même une image google maps 100 ans après le cliché de cette carte postale et 45 ans après ma petite mercerie !
Il y a comme ça des quartiers de Paris ou le temps n’a vraiment pas arrangé les choses !

100 après la rue Richard- Lenoir

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Carte postale – Tout Paris – Le métropolitain station Avron

Tout-Paris métro Avron - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris

608 Le Métropolitain ,station Avron 

(XIe et XXe arrt)

Boulevard de Charonne

Collection  F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Même si cette carte n’est pas un gros plan de la station Avron, cette Cpa est tout de même très appréciée par les collectionneurs du métro Parisien . 

 la station métropolitaine ‘Avron’ sera ouverte le 2 avril 1903 et ne comportera qu’un seul accès doté d’un entourage Guimard à écussons et fond arrondi que l’on peut toujours admirer.

La ligne 2 chemine à cet endroit sous le boulevard de Charonne, la station est donc en limite des XIème et XXème arrondissements de Paris.

Un index géant sur la façade du bâtiment à gauche sur la carte postale nous montrent qu’il y a une pharmacie très proche et oui , ils étaient malins nos anciens.   

Le livreur de la maison Roy a laissé sa petite carriole calée dans le caniveau, peut être pour aller se désaltérer au café du coin ? 


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