Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique en 1910

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Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – vue panoramique – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

42  Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique 
éditeur FF Paris ( F.Fleury ) 
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Erreur dans la légende de cette carte postale ou découpage de secteurs avec le temps, en tout cas en cherchant cette rue avec Google Maps je me retrouve à Clamart. Il faut bien choisir, alors parlons de la ville de Fontenay-aux-Roses située dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. En 1910 la ville est un arrondissement et canton de Sceaux et compte 4023 habitants administrés par le maire et Docteur Monsieur Soubise. À cette époque la poste et télégraphes se situent place Carnot, l’asile Ledru-Rollin est au 2 rue de Bagneux et l’École Normale Supérieure d’institutrice dirigée par Madame Dejean de la Bâtie au 1,3et 5 de la rue Boucicaut.

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Villers Cotterets -Le parc-Passage des Châtaigniers

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Villers Cotterets -Le parc-Passage des Châtaigniers

Risse ,Lib ,éditeur .

Dos simple -circulé en 1904

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On prenait son temps en 1900, la route est peu fréquentée mais le gardien est toujours à son poste.

Le métier de garde barrière n’était pas de tout repos, Il fallait être présent toute la journée, dimanche compris.

Manœuvrer la barrière n’était pas toujours facile, il fallait tirer à la force des bras une lourde barrière qui se déplaçait sur de grosses roulettes, la tache devenait encore plus dure quand il neigeait ou gelait.

Charrettes, fiacres, voitures et troupeaux étaient les usagers privilégiés de cette barrière, pour les piétons il existait des portillons libres d’accès

Indépendants à la barrière.

Par la suite on passa à un système beaucoup moins pénible pour manœuvrer les barrières  grâce un treuil actionné par une manivelle.

Ensuite les barrières manœuvrées électriquement, et aujourd’hui les barrières automatiques.

Finis le sourire de la garde barrières ou du garde, et la petite conversation qui suivait en attendant le train.

Vive le progrès !!

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