Verdelot – Le Pont de la Fée

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Verdelot  ( S et M )  –  Le Pont de la Fée

Phototypie Brindelet ,39,rue St – Nicolas,Ferté-s-Jouarre (S-et-M) Plaque Jougla

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Tu te souviens du pont qu’on traversait naguère pour passer la rivière tout près de la maison le petit pont de bois qui ne tenait plus guère que par un grand mystère et de piquets tout droit. ( Et non ce n’est pas le petit pont d’Yves Duteil).

Le pont est celui de la fée et les vaches dans la rivière sont la propriété des fermiers de la ferme de la fée située sur la commune de Verdelot ,petite ville en 1900 de 938 habitants située à 23 kilomètres de Coulommiers .

A cette époque le Maire de Verdelot est Monsieur Morigneau et le commandant des sapeurs pompiers est Monsieur Herbin .

Comme d’habitude à cette époque, les commerces et petits métiers ne manquent pas dans cette petite commune :

7 aubergistes , 1 boulanger (M.Navarre), 1 Charcutier (M.Devaux), 3 épiciers , 1 maréchal ferrant (M.Loubinoux ),1 médecin (M. Lemaire ), 2 Meuniers , 1 menuisier ( M.Royé ), et bien d’autres petits métiers et commerces !!


 

 


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Les Mureaux – Rue Maurice-Berteaux

 

Les Mureaux - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

13 . – Les Mureaux ( S.-et O.) – Rue Maurice-Berteaux

Phototypie L’abeille Paris

Dos séparé -non circulé

Dans les années 1910 ,les Mureaux est une ville d’environ  2,230 habitants ,située à 30 kilomètres de Versailles et 41 kilomètres de Paris.

En 1911 le Maire est Monsieur Auber et le lieutenant des sapeurs pompiers est Monsieur Marie.

Sur cette carte deux noms sont écrits sur la façade des maisons .

La maison ‘Gezequel’  était une épicerie  ,ce qui est incroyable c’est le nombre d’épiciers dans cette ville en 1911 ,pas moins de 14 épiciers pour 2,230 habitants, une épicerie pour 159 habitants !!

Le deuxième nom ‘L.Paré’ est l’une des trois boucheries des Mureaux à cette époque .

On aperçoit devant la boucherie L.Paré un cheval ,certainement un attelage de livraison .

A la différence des autres boutiques de l’époque , j’ai remarqué que les boucheries étaient  équipées de grilles métalliques d’environ 1 mètre de hauteur fixées devant la portes d’entrée .

je ne vois pas trop l’utilité de ces grilles ,à part le fait d’éviter que les chiens entrent dans la boucherie sans y avoir été invités !

Si vous avez une autre explication de l’utilité de ces grilles ,merci de me laisser un commentaire .


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Tout Paris – Rue Sorbier (XXé arrt)- Commérages

Rue Sorbier – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris N° 59

Rue Sorbier (XXé arrt) – Commérages

Collection F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert le 22 /10/ 1904

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Continuons notre balade dans le XXé arrondissement de Paris avec une carte  d’une série  « Tout Paris » exclusivement sur le  XXarrt.

Aujourd’hui un petit tour Rue Sorbier,cette rue a la même origine que celle qui fut ouverte ,en 1862 entre l’emplacement de la place Martin -Nadaud actuelle et le boulevard Mortier ,et à laquelle on donna en 1867,le nom du Général SORBIER (1762-1827).

Le photographe a profité d’un moment de discussion entre 2 femmes pour trouver la légende un peu racoleur de cette carte postale  « Commérages !!.

Sur la droite de la carte on aperçoit un Omnibus impériale à traction hippomobile ,à la différence des tramways hippomobiles l’omnibus circulait dans les rue de Paris sans être guidé par des rails et n’avait pas nécessairement  de points d’arrêts fixes .






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Paris-Station du Métropolitain des Couronnes et Boulevard de Belleville

Station des couronnes - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

531 Paris. – Station du Métropolitain des Couronnes et Boulevard de Belleville

éditeur J.L.C

Dos séparé – non circulé

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la station des Couronnes est située dans le XXéme arrondissement de Paris  et placée sur le terre-plein central du Boulevard de Belleville.

L’accès de la station est équipée d’un entourage Guimard à écussons et fond arrondi , à noter que ces candélabres sont toujours en place aujourd’hui .

Les marchés dans la vie parisienne ont toujours été des lieux importants aussi bien au point de vue économique que social,
dès le Ve siècle quand Paris s’appelait encore Lutèce  se tenait dans l’Ile de la Cité le marché « Palu ».

Vers 1860 ,pas moins de 50 marchés peuplaient Paris ,aujourd’hui presque le double de marchés existent .

Le marché de belleville fait toujours partie de ces marchés populaires ,comme le montre cette carte de 1900 la fréquentation y était déjà très importante .

l’éditeur ce cette carte est J.L.C ,éditeur que l’on voit assez rarement (par rapport aux grands éditeurs de Paris de l’époque) pour le noter .

Ces 3 lettres J.L.C  étaient accompagnées d’un petit bouquet de Gui ,ce qui composait le logo de cet éditeur .

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Une image tiré du Bottin Didot de Paris de 1907

éditeur JLC JULIEN




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Paris-Le ravitaillement en prolonge d’artillerie-Inondation 1910

Inondation 1910 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

59 – Paris-Le ravitaillement en prolonge d’artillerie

-Inondation de Janvier – Février  1910

éditeur ,Gondry-Paris

Dos séparé-non circulé

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Petit rappel des faits sur l’inondation de 1910 ,entre le 20 et le 28 janvier 1910, une crue exceptionnelle, appelée centennale, provoque l’inondation de Paris.

Dans la capitale, 20 000 immeubles sont touchés et 150 000 habitants sont sinistrés.

Paris est paralysé, l’eau envahit le métro, on ne peut se déplacer qu’en barque.

Les eaux ne cessent de monter, atteignant plus de 8 mètres à Paris, 500 hectares sont inondés au centre de Paris, ainsi que de nombreuses villes de banlieue.

Après une lente décrue qui durera 35 jours, les parisiens constatent des dégâts considérables.

Cette inondation de 1910 a été photographiée par des dizaines de photographes de l’époque et des cartes postales ont été éditées par milliers.

Parmi toutes ces cartes de cette inondation de 1910  ,seules quelques cartes sortent encore du lot et c’est le cas de cette carte éditée et par J.Gondry ,ce photographe et éditeur a été l’un des plus talentueux photographe Parisien du début du siècle.

Il habitait dans mon quartier préféré (le 11éme ) rue Roubo et avait un établissement à Montreuil-sous-bois , surtout grand spécialiste de la ville de Paris avec au moins *2000* clichés répertoriés ,il édita aussi quelques cartes sur la banlieue Parisienne.




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