Cartes Peintes – Chevaux et chasse à courre

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Postkarte  – Carte Postale

édition P.F.B  N°  3027 / 3038

dos séparé – voyagé sous enveloppe

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Les amis d’ hellène et de Paul  savaient comment leur faire plaisir

des chevaux et toujours des chevaux !

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« Si une personne connait l’illustrateur ,laissez mois un commentaire ,merci !! »

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Haras du Pin – École des Haras – Leçon de Guides

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Haras du Pin – École des Haras – Leçon de Guides

E.Roussel,édit ;Argentan- cliché D.

Dos simple – voyagé à découvert  le 28/11/1903

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Le Haras du Pin est le lieu historique de l’élevage des chevaux de Normandie surnommé le Versailles du cheval.

L’École nationale professionnelle des Haras créée au XIXème siècle, fut réputée pour la formation des « Petits Pin ». Elle est devenue le centre de formation des Haras nationaux.


Allez découvrir le Haras du Pin


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Villeneuve-l’Archevêque ( yonne ) Rue Gambetta

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Villeneuve-l’Archevèque ( yonne ) Rue Gambetta

André , photo ,éditeur

Dos séparé -circulé à découvert en 1920

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Belle animation sur cette carte de  la commune de Villeneuve-l’Archevêque .

les Villeneuviens prennent la pose pour être immortalisés sur une carte postale .

Regardez bien le curieux fagot de branches accroché à la potence à droite sur la carte , à votre avis a quoi pouvait-il bien servir !!

Cette question avait été posée sur le site cparama et la réponse est arrivée 160 jours plus tard .

Voici le texte qui explique tout sur ce qu’on appelle « le bouchon »

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Une ordonnance royale. Historiquement, le « bouchon » dont l’appellation provient du vieux français « bousche » (petite botte, petite gerbe) est le nom donné généralement au branchage que tout débiteur de boisson se devait de mettre à la façade de sa maison. Dès le XIVe siècle, nous trouvons trace de cette obligation. En 1680, une ordonnance royale dicte encore plus clairement à tout vendeur de vin « à huis coupé et pot renversé » : « Nul ne pourra tenir taverne sans faire déclaration, ni mettre bouchon. » Le bouchon ne serait donc que l’ancêtre de l’actuel droit de licence de nos débits de boisson instauré en 1816.

Dans de nombreux villages, la pose du bouchon avait lieu la veille de la fête du pays. Les « jeunes gens » (groupe d’âge pouvant aller des conscrits à tous les hommes non mariés) allaient déposer l’ancien « bouchon » (le brûlant parfois) et suspendre le nouveau de café en café, en échange de quoi le patron de chaque établissement se devait de l’arroser. Les bouteilles vides étaient alors accrochées au « bouchon ».

Du genévrier ou du sapin. Le bouchon devait être choisi dans une essence d’arbre à feuillage persistant. Dans notre région, c’était généralement le genévrier qui faisait les frais de cette tradition, et parfois le sapin. L’arbuste ou la branche était alors décoré de rubans de couleurs (dits « fleurets ») et accroché indifféremment cime en l’air ou en bas. Un inventaire réalisé à partir des cartes postales anciennes a permis de dénombrer 183 communes différentes dont les cafés, au début du XXe siècle apparaissent ornés d’un « bouchon ». Cela représente plus de 52 % des 349 communes que comptait alors le Loiret.

Ces communes à bouchon se situaient essentiellement en Beauce, Gâtinais occidental, Orléanais et Puisaye. Dans ces secteurs, la coutume a perduré encore assez longtemps. En 1962, Jean Driard déclare à propos du Gâtinais de l’Ouest : « On voit également dans ma contrée le bouchon de genévrier au-dessus de la porte des petits cafés de village, mais cela tend à se perdre ». On en trouve cependant encore trace, dans les années 1970, dans une dizaine de communes. Aujourd’hui rares sont celles, à l’exemple de Charmont-en-Beauce, Guignonville ou Gondreville-la-Franche, à maintenir la tradition.


 (texte pris sur le site "Loiret.com")


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Rambouillet – la Gare

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87   –   Rambouillet –  la Gare

éditeur L.L.( Levy Fils & Cie,Paris)

Dos séparé – non circulé

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Bien calme cette gare de Rambouillet !

Remarquez, de 1900 à 1920 la population était d’environ 6 000 Rambolitains aujourd’hui ce n’est plus la même histoire avec  une population avoisinant  les 26 000 habitants .

La gare de Rambouillet va faire peau neuve ,Les travaux  ont débuté en mai 2010 pour une durée de 8 mois, pour un montant de travaux  estimé à  793 000 euros .


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Tout Paris – Boulevard Voltaire et Richard Lenoir

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Tout Paris – Boulevard Voltaire et boulevard Richard Lenoir (XIé arrt)

Statue du Sergent Bobillot ,mort glorieusement au Tonkin à la défense de Tuyen-Quan contre les Chinois (1860-1885)

Collection  F.Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

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On s’éloigne un peu  du quartier de ma petite enfance, mais j’ai  des souvenirs d’adolescent  du croisement des deux grands boulevards.

Tout droit  les copains de république , le Gibus  et les conne….s , ou demi tour droite, l’ado bien sage qui rendre au 10 rue Richard Lenoir.

Ne cherchez pas je prenais la  direction de république , et la boite de nuit du Gibus  !!

Par contre je n’ai jamais vu la statue du sergent Bobillot , normal elle a été enlevée et fondue pendant l’occupation .

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