Archives par mot-clé : chevaux

Rue des Moines et Square des Batignolles – Station des Omnibus

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Rue des Moines et Square des Batignolles – Station des Omnibus – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Rue des Moines et Square des Batignolles – Station des Omnibus 
éditeur A.C  – 165 rue de Rome
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Une station d’omnibus comme il en existait des centaines dans le Paris de la belle époque. Les chevaux souvent des percherons ou des Ardennais étaient attelés par deux ou trois, ce qui n’était pas de trop pour tirer ces omnibus pesant en charge souvent plus de 2 tonnes. Les Chevaux utilisés pour ce travail ne duraient que 4 à 5 ans à ce poste, parcourant par tous les temps jusqu’à 20 kilomètres par jour à vive allure dans les rue de Paris.  
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Saint-Ouen – Entrée du-Champ de courses – Ancien Domaine Seigneurial

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Saint-Ouen – Entrée du-Champ de courses – Ancien Domaine Seigneurial – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Saint-Ouen – Entrée du-Champ de courses – Ancien Domaine Seigneurial 
éditeur P Sudan, St Ouen – AB&C Nancy 
Dos séparé 
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C’est en 1881 que les propriétaires du domaine du château de Saint-Ouen autorisent l’aménagement d’un champ de courses dans le parc. En 1900 l’hippodrome de Saint-OUEN est un champ de courses à obstacles. Des trains spéciaux, étaient prévus à partir de la gare du Nord, il fallait compter 13 minutes pour le trajet, mais si le coeur vous en disait les tramways, omnibus et voitures étaient aussi un bon moyen pour se rendre sur l’hippodrome. Le champ de courses était établi directement dans Parc de St-Ouen et comprenait une piste de Courses de Haies et une piste de steeple-chase. Le plus gros prix donné à St-Ouen en 1900 est le steeple-chase dès trois ans, 20 000 frs. 3 200 m. au mois d’octobre. En 1900, 25 journées de courses étaient prévues et chaque journée comprenait 5 courses qui commençaient à 2 heures et à 1 h. 30 à partir du premier Novembre.

 

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Les Abattoirs de la Villette – La Criée

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Les Abattoirs de la Villette – La Criée – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Les Abattoirs de la Villette – La Criée
dos séparé – circulé à découvert en 1905 
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Avant d’être passées à la criée toutes les viandes étaient pesées. Chaque lot pesé était revêtu d’une étiquette détachée d’un livre à souche tenu par le préposé. Un receveur nommé aussi par la ville était chargé du recouvrement des droits. La viande vendue à la criée étant considérée comme vendue en entrepôt et devait acquitter à la sortie de l’abattoir un droit de 0,12 centimes par kilogramme à l’octroi. Des ouvriers appartenant aux courtiers étaient chargés de livrer aux bouchers les lots de viande qu’ils avait achetés. Ce travail etait rétribué à raison de 0,10 centimes par lot.

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Noiseau – La Ferme – Propriété de M. Le Prince de Wagram

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Noiseau - La Ferme - Propriété de M. Le Prince de Wagram

Noiseau – La Ferme – Propriété de M. Le Prince de Wagram – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Noiseau – La Ferme – Propriété de M. Le Prince de Wagram
éditeur V.P Paris – N° 2 
dos séparé – circulé à découvert en 1906 
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La ville de Noiseau est une petite commune située dans le département du Val-de-Marne à 19 kilomètres de Créteil et de 2 kilomètres de Sucy-en-Brie. En 1900 le maire  des 133 habitants de Noiseau est Monsieur Dupuis,  l’agriculteur et distillateur est Monsieur Godbert. Les épiceries sont tenues par M. Chipot et M. Palisse. A noter les 3 magnifiques attelages de boeufs sur cette cartes postale. 

Détail ferme de Noiseau - Attelages de Boeufs

Détail ferme de Noiseau – Attelages de Boeufs – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte Postale Ancienne de Clamart – Le Lavoir et l’abreuvoir d’hier à Aujourd’hui

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Clamart-Le Lavoir

Clamart – Le Lavoir – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Clamart-Le Lavoir 
éditeur G.I 
dos séparé – circulé à découvert 
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Arrondissement de sceaux canton de Vanves, la ville de Clamart en 1913 compte 11 217 habitants, le maire est Mr SIMON et le secrétaire de Mairie est Mr DUCHKSNE, le receveur Municipal est Mr FRANÇOIS. Cette carte postale est légendée simplement « Clamart le lavoir », mais à droite du lavoir se trouvait un abreuvoir que l’on retrouve signalé sur d’autres cartes postales éditées par d’autres éditeurs. J’ai cherché en vain l’endroit ou se trouvait ce lavoir, bien sûr si vous avez la réponse n’hésitez pas à me laisser un message.

Suite aux messages de Gérard, plus de doute possible le lavoir et l’abreuvoir se situaient bien à l’intersection de la rue de la fontaine et de se qui deviendra la rue Gathelot. Grace à google-Maps et un petit montage photo nous voici d’hier à Aujourd’hui….Encore merci à Gérard. 

Clamart-le-levoir et l’abreuvoir dhier-à-aujourdhui – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

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