Cartes Postales Anciennes – Le circuit de la Sarthe en 1906 – Sortie de Berfay

Cartes Postales Anciennes - Le circuit de la Sarthe en 1906 - Sortie de Berfay

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 Le circuit de la Sarthe en 1906 – Sortie de Berfay
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Berfay est située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire. En 1906, la célèbre Coupe Gordon Bennett est remplacée par le Grand Prix de l’Automobile Club de France, la compétition a eu lieu les 26 et 27 juin 1906 sur le circuit de la Sarthe. De très nombreuses cartes postales seront éditées retraçant ainsi le parcours des voitures de course, certaines cartes comme celle-ci sans aucune voiture montrant simplement un virage et des habitants de Berfay. Le circuit de la Sarthe, avec les détours de Vibraye, de la Ferté-Bernard, et les routes planchéiées de Saint-Calais et de Vibraye mesurait exactement 103 kilomètres et 180 mètres. Le Grand Prix de l’A.C.F., comprenant douze tours de ce circuit, pour une distance totale de 1,238 kilomètres et 160 mètres. Les prix des places étaient fixés ainsi:  les loges de 6 places, 300 francs et la place de tribune, 30 francs. (Pour l’ensemble de la course). Loge de 6 places, 200 francs et place de tribune, 20 francs.(pour l’un des deux jours de l’épreuve). Les membres de l’automobile Club de France avaient une     Continuer la lecture

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St-Barthélemy-d’Argenais – Le départ des courses de vélos – Circuit du Barry

St-Barthélemy-dArgenais - Fête du Quartier du Barry - Le départ des courses de vélos - Circuit de Barry

St-Barthélemy-dArgenais – Fête du Quartier du Barry – Le départ des courses de vélos – Circuit de Barry

St-Barthélemy-d’Argenais  ( Lot-et-G)
Fête du Quartier du Barry – Le départ des courses de vélos – Circuit de Barry
édition Gerbaud – cliché A.Guignard, Duras 
Dos séparé – non circulé
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Commune du sud-ouest de la France, en région d’Aquitaine Saint-Barthélemy-d’Agenais est située dans le département de Lot-et-Garonne. Difficile de dater exactement cette carte postale de St-Barthélemy-d’Argenais, certainement dans les années 1920 /1930. la course la plus connue aujourd’hui de cette ville est le Grand Prix de l’Ascension, cette course date de 1932 et demande aux participants de parcourir 11 tours d’un circuit de 9 kilomètres.
Est-ce le départ de cette course que l’on voit sur cette carte postale ?
Si vous avez la réponse à cette interrogation, merci de me laisser un message.

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Circuit de la Sarthe 1906 – Tournant de la passerelle à Saint Calais

Circuit de la Sarthe 1906 - Tournant de la passerelle à Saint Calais - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Circuit de la Sarthe 1906 – Tournant de la passerelle à Saint Calais – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

7 – Circuit de la Sarthe 1906
Tournant de la passerelle à Saint Calais
éditeur L’Hirondelle, Paris
Dos séparé – circulé à découvert le 28 juin 1906
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Cette carte postale a été postée seulement 2 jours après que  les 32 concurrents  prennent le départ de la première manche du premier grand prix de l’automobile Club de France.

Abordons un coté technique pour les spécialistes d’automobiles de cette époque en lisant les pronostiques avant la course de l’envoyé spécial Max  AVENAY du petit Parisien.

Circuit-Sarthe, 25 juin. Les voitures, avant la «course, sont deja intéressantes.  Jetons rapidement un coup d’œil technique sur ces engins qui, demain seront aux prises. J’en profiterai pour tenter quelques pronostics dans « chaque écurie »
A   la   marque   doyenne, l’horreur : Les Panhard et Levassor ont un moteur à 4 cylindres séparés,  donnant environ 130 chevaux de force. La transmission se fait par cardan.   En  grande   vitesse,   la quatrième accélérée donne 170 kilomètres a l’heure, d’après Tart, soit environ 30 kilomètres plus vite que l’an dernier. La suspension est munie du nouvel amortisseur Panhard-Levassor. Les trois coureurs en sont enchantés. Les essais, disent-ils, ont été parfaits. Je prends Teste comme favori de l’équipe.
La Brasier de 1906 est la copie exacte, à quelques rares modifications près, de la Brasier de 1905 ; le moteur seul est un peu plus fort. On lui donne 110 chevaux. Très basse, la voiture colle bien à la route ; Baras sera mon favori pour cette équipe.

Les voitures Darracq sont, cette année, particulièrement bien présentées. Toutes les pièces sont polies, nickelées, cuivrées. Le moteur, de luxe, est émaillé au four. Ce moteur, à 4 cylindres couplés par deux, donne 125 chevaux. Les soupapes d’aspiration sont commandées par le dessus ; une seule came agissant sur l’admission, et l’échappement transmission à cardan, le différentiel et le changement de vitesse sur l’axe arrière ; pas de capot.
Ces voitures sont les plus légères du lot. Je donne comme favori de 1’équipe : Hemery, mais serré de près par Wagner.
Les Renault, comme aspect extérieur, ressemblent fort aux voitures de tourisme de la marque. Le moteur est de 100 chevaux, la transmission à cardan, le refroidissement par thermo-siphon, le radiateur sans ailettes, la tuyauterie multiple en cuivre. La voiture est très basse, ni trop longue ni trop courte. Sur les trois pilotes, je sélectionne Edmond.

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Juin 1912 – Angers-1er grand prix d’aviation de l’aéro-club de France – Départ de Labouret sur son Navire aérien – Biplan Astra

Angers-1er grand prix d'aviation de l'aéro-club de France - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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13 – Circuit d’Anjou 
Angers – 1er Grand Prix d’Aviation de l’Aéro-club de France
Angers – Cholet – Saumur ( 16 &17 juin 1912)
L.V – Phot. – Édition Officielle 
Départ de Labouret sur son Navire aérien – Biplan Astra – Moteur Renault – 100 HP – 12 cylindres

Voici la folle histoire du grand Prix d’Aviation de l’Aéro-club de France le 16 et 17 juin 1912 , comme on pouvait la lire sur le Petit Parisien au lendemain de ce grand prix.

Le sort en est jeté ! Le Grand Prix d’aviation de l’Aéro-Club de France est commencé. Comment et quand se terminera-t-il ? C’est, à l’heure où j’écris, le secret de l’avenir, de l’avenir qui n’est à personne.  
Je m’explique :
Depuis des années, avec l’aviation, après l’automobile, j’ai vécu des Instants qui marquent, éprouvé des émotions fortes, admirer des audaces inouïes! Ce furent des heures parfois tragiques ; mais jamais encore je n’ai ressenti peut-être d’aussi, fortes secousses morales que celles éprouvées ce matin.
Après une aube claire, petit à petit, et montant avec le soleil, le vent s’est levé, augmentant de force au fur et à mesure que les minutes coulaient. A huit heures, à l’aérodrome, sous un ciel bas, tourmenté, sombre à désespérer, les nuages fuyaient; les grands peupliers sur la route se courbaient dans la rafale ; drapeaux et toiles de hangars claquaient
Certes, en de semblables circonstances, on ne partirait pas : c’était l’avis presque unanime.
M. Deperdussin déclarait :
— Mes hommes restent ici !
M. Esnault-Pelterie prenait la même décision.
Mais c’était compter sans les audacieux, les « risque-tout », que tout à la fois on admire et on critique.
Bientôt, en effet, le bruit se répandait « . les Blériot vont partir et les Morane et les Nieuport
Et c’est ainsi que, quelques instants après, nous vivions les grands émois.
Les départs
Sur l’herbe rase et rare, dans les nuages de poussière blanche soulevés par la violence du vent, et qui viennent nous aveugler, Garros a fait amener son appareil. Tous ceux qui sont la, la cinquantaine de constructeurs, de journalistes autorisés à venir sur la piste, se regardent. Des contractions se voient sur les visages ; d’aucuns osent parler et ne cachent pas leurs sentiments. Des accusations dures sont portées, dans la nervosité ambiante, contre ceux qui osent donner le départ.
Et pourtant, il n’en peut être autrement : les commissaires ne peuvent refuser le départ à un concurrent alors que celui-ci le demande, conformément à un règlement connu et accepté jusque dans ses conditions les plus draconiennes. Ainsi, des braves vont partir.
. Garros, chaudement couvert de maillots — car il fait froid — la tête enveloppée d’un passe-montagne blanc, est monté sur son monoplan et vérifie ses commandes. Le moteur, à cet instant, est toujours au repos.
Placé près de l’aile droite de l’appareil, j’entends le vent siffler dans les haubans du Blério, que quatre hommes retiennent; et ce sifflement a quelque chose de sinistre.
Personne ne dit mot. Le chronométreur, seul dans le silence poignant, annonce à Garros qu’une minute seulement le sépare de son heure de départ.
Alors, en route !
Le moteur est mis en marche et, sur un signal du pilote, les hommes lâchent prise.
En quelques mètres, pris par ce vent terrible, sous l’effort de l’hélice, Garros a décollé. A dix mètres, une rafale l’abat ; il remonte, saute d’une aile sur l’autre ; l’appareil se cabre, pique du nez, mais il s’en va et monte, monte toujours.
A 500 mètres environ d’altitude, dans un vent plus régulier, Garros vire et prend la direction de Cholet. Peu à peu, il disparaît au loin dans le plomb du cieL C’est une inoubliable vision

Circuit d'Anjou-Angers-1er grand prix d'aviation de l'aéro-club de France-1912

Circuit d’Anjou-Angers-1er grand prix d’aviation de l’aéro-club de France – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Très simple, presque inaperçu, Bedel s’installe sur son siège. Léon Morane, très grave, regarde son pilote.
A 9 h. 10, à son tour, il s’envole ; mais l’impression est mauvaise. Plus que celui de Garros encore, son appareil est bousculé. Léon Morane est furieux.
— Pourquoi avez-vous laché ? crie-t-il à ses mécaniciens. Vous voyiez bien que le moteur ne tournait pas à son régime.
Il est maintenant trop tard : pris dans la vague aérienne, terriblement houleuse, Bedel n’a plus qu’à se défendre de son mieux.
Bientôt vaincu, d’ailleurs, à deux kilomètres du départ, il est plaqué à terre par le vent arrière et l’audacieux atterrit, brisant son appareil et, par une chance inespérée, ne se faisant aucun mal.
Mais voici mieux :
Legagneux, riant, blaguant, l’œil clair, suivi de Martinet plus sérieux, arrive à son tour, accompagnant son appareil ; et, a 9 h. 20, tous deux s’envolent.
L’admiration et l’émotion sont à leur comble. Très joliment, sur le nouvel appareil Zens, tous deux disparaissent
AH. 45, Espanet, sur son Nieuport, part à son tour. Puis, c’est Helen ; et puis Hamel avec un passager, M. Sassonne.
Et c’est tout pour ce matin. Les plus audacieux sont partis ; les autres demeurent, attendant l’accalmie.
Cette attente est, du reste, vaine ; ce n’est qu’assez tard dans l’après-midi, et alors que tout espoir de boucler en temps utile les trois tours réglementaires est perdu, que le vent tombera enfin.
Entre temps, un autre audacieux, Brinde-jonc des Moulinais, s’était décidé à affronter lui aussi la tempête, et avait, à midi 15, quitté l’aérodrome d’Avrillé.
Anxieusement, les spectateurs de l’aéro-drome d’Angers, après avoir vu s’éloigner Hamel, attendirent des nouvelles. Elles ne tardèrent pas à arriver, excellentes d’abord. C’est ainsi qu’on apprit le passage successif à Cholet, de Garros, à 10 h 28 ; Espanet, à 10 h. 29 ; Hamel, a 10 h. 58.
Puis, brusquement, vers onze heures l’on nous annonça que Legagneux avait fait une terrible chute.
Fort heureusement, la réalité était beaucoup moins grave
Legagneux, drossé par la tempête, avait été déporté à l’ouest de la ligne du circuit. Alors qu’il arrivait en vue de Montrevault, à la Salle-Aubry, il voulut atterrir. Plaqué durement au sol par une rafale, sa descente fut une véritable chute. L’appareil fut endommagé, mais l’aviateur n’eut pas grand mal : une légère luxation de la jambe et une bénigne foulure du poignet.
Quant à Martinet, le passager de Legagneux, il s’en tira avec de légères contusions
D’autres incidents sans aucune gravité du reste  se produisirent et obligèrent quelques-uns des concurrents à s’arrêter. C’est ainsi qu’Helen, le champion du Nieuport, fut arrêté par une légère panne de moteur à Doué-la-Fontaine, au cours de son premier tour. Son camarade Espanet fut victime du même accroc au second tour, à Cholet.
Ces incidents furent particulièrement regrettables, car on avait beaucoup remarqué les envolées merveilleuses de ces deux aviateurs et la tenue impeccable de leurs Nieu-port dans le vent. Leurs appareils, qui avaient fait une Impression énorme, méritaient un meilleur sort.
Enfin, Hamel, qui avait accompli merveille
son premier  tour, fut contraint de s’arrêter à Cholet lorsqu’il y atterrit pour une seconde fois.

LA MERVEILLEUSE COURSE DE GARROS : Des six aviateurs partie le matin, seul Garros restait donc en course

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Circuit de la Sarthe – Entre Ardenay et le Camp d’Auvours

Circuit de la Sarthe de 1906- Ardenay – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 3  – Circuit de la Sarthe de 1906

Ligne droite entre Ardenay et le Camp d’Avours

éditeur ND phot

Dos séparé – circulé à découvert

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C’est certainement sur cette ligne droite que le pilote Ferenc Szisz à été Chronométré à 148 km/h.

C’est sur une voiture Renault type AK de 90 chevaux que ce pilote Hongrois de 32 ans va gagner cette course de 1906 en parcourant les 1239 kilomètres avec une moyenne de 101 km/h.   

Bien sur l’automobile sur cette carte postale n’est pas l’une des 32 voitures de course ayant pris Le mardi 26  juin 1906 le départ le de cette grande course sur le Circuit de la Sarthe.

 

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