Denain – Groupe de Cafus

Denain-Groupe-de-Cafus

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Denain – Groupe de Cafus
E Cambay Editeur, Denain 
Dos simple – circulé à découvert en 1904 
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Après l’interdiction législative les femmes ne descendent plus au fond de la mine, mais leur sort n’est guère moins pénible. Elles sont pour la plupart occupées pour divers travaux dont celui de trieuses. On les appelle Cafus, Mahous selon l’endroit et les mines . Ces noms viennent de l’étoffe qui entourait leur coiffe. Cette étoffe était destinée à protéger des poussières et à maintenir la coiffure. Le travail était tellement poussiéreux que les trieuses ressortaient aussi noires que les mineurs de fond. Les mineurs les surnommaient  » les culs à gaillettes. Elles étaient sous la responsabilité d’un porion au jour qui ne les ménageait pas… Les trieuses où Cafus disparurent des carreaux miniers avec la création des criblages-lavoirs automatisés.
A lire la suite sur ce site très intéressant et très bien fait:  Mineurs de Fond  

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Lourches et Denain – Parc à Munitions Allemand

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3663  .   Parc à Munitions Allemand de Lourches et Denain – Dépôt de grenades

Dos séparé ,faisant la publicité de la société Jacques Marfan, 120 Rue Réaumur paris 2  (Prêts – ventes – Achats – Fermes et Cultures)

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On peut difficilement imaginer le nombre  des munitions utilisées pendant la grande guerre.

Juste quelques chiffres, environ 15 millions de tonnes de métaux et d’explosif

Environ 50 milliards de cartouches d’infanterie tirées.

66 millions de projectiles chimiques tirés .

Fautes d’archives le tonnage des projectiles de tranchés et projectiles lancés d’avions (grenade et bombes) n’a pas été estimé.

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