Carte Postale Ancienne de Champoulet – Rue de l’église

45-Champoulet - rue de l’église - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Champoulet – rue de l’église

édition.  Morier

Dos séparé – circulé sous enveloppe le 8 août 1915

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Changeons un peu d’air et prenons la direction du Loiret avec cette bien sympathique carte de Champoulet.

Champoulet dans les années 1910 est une petite ville de 204 habitants administrée par monsieur Delapierre (A), située à 28 kilomètres de Gien et à 5 kilomètres de la gare de Bléneau.

La fête patronale était organisée le 16 août, l’aubergiste et l’épicerie ..Delapierre (auguste) et Langlois étaient sur le pied de guerre pour recevoir les Champoulois et Champouloises.

Pour les attelages, le Charron était Monsieur Dusoulier et le Maréchal ferrant ,Monsieur Savonnet (A)

A citer aussi le Château de Champoulet appartenant en 1911 au Vicomte de Reviers de Mauny .

Une petite vue google-Maps de cet endroit de  Champoulet… la rue de l’église 100 ans après l’édition de cette carte postale  

la rue de l'église à Champoulet 100 ans aprés

la rue de l’église à Champoulet 100 ans aprés

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Le Neubourg – Rue de l’hôtel de Ville prise place Gambetta

Neubourg-rue de l’hôtel de ville – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Neubourg – Rue de l’hôtel de Ville prise de la place Gambetta

Hamel ,Tabac, Le Neubourg

Dos séparé – circulé à découvert par les « Postes des armées » en 1915

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Sur cette carte postale de Neubourg le photographe a mis en scène les Neubourgeois et Neubourgeoises.
Tout y est, l’automobile, les charrettes à bras, l’attelage hippomobile et le vélo … le tout devant l’épicerie avec sa publicité pour le café Javanais.

Il y a aussi sur le verso de cette carte une correspondance intéressante que j’aimerai vous partager .. peut être qu’un descendant des protagonistes de cette histoire trouvera quelques renseignements utiles.

Le 16 avril 1915, l’infirmier Chef David du centre d’instruction de « le Neubourg  » écrit Ch. Massard ‘ Caporal de la 27e compagnie du 119 Régiment d’infanterie à Lisieux’. 

Mon cher Massard, merci pour votre carte .
Il est inexact que 40 de nous soient partis de Lisieux . Quant à l’accident … c’est le caporal Lejeau de la 29e qui est tombé à un chemin de Bernay-Serquigny.
je suis allé à la relève, il a l’extrémité du pied droit broyé… conduit à l’hôpital de Bernay l’amputation a été faite immédiatement, mais le talon est conservé, en plus quelques contusions sans gravité.
Le Neubourg est très coquet et le soldat est bien vu, ça va-t-il durer ? … moi j’espère bien filer en permission dimanche, la santé est excellente, il est vrai que j’habite à la campagne et le temps est superbe.
Mon meilleur souvenir et ma plus cordiale poignée de main.

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Une petite vue Google-Map 100 ans après de la rue de l’hôtel de ville.  

Le-Neubourg-rue-de-l’hôtel-de-ville-100-ans-aprés

Et si c’était possible de revenir 100 ans en arrière avec un petit montage photo …on peut imaginer …!

Le Neubourg 100ans après -montage photo – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

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Carte Postale de Soissons – La Gare de Soissons – Port

02-Soissons-La Gare de Soissons-Port – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

33  Soissons – La Gare de Soissons – Port

éditeur  LL ( Lévy Lucien fils)

Dos séparé – circulé à découvert en 1908

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Soissons est calme dans ces années 1900, personne ne peut encore se douter que la Première Guerre mondiale va arriver et que Soissons va devenir une ville martyre de cette Grande guerre.

Très ancienne ville Soissons est située dans un vallon agréable et fertile, sur la rive gauche de l’Aisne, à 32 kilomètres de Laon et à 105 kilomètres de Paris.

En 1910 Soissons compte 14334 Soissonnais administrés par le maire Monsieur Becker.

Sur cette carte postale la locomotive à vapeur attend le long du port, sur la gauche on aperçoit le bâtiment de la gare « Soissons – Port » et à gauche le bâtiment de la salle des ventes.

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Voici une vue Google-Maps de la gare de Soissons-le Port 100 ans après l’édition de cette carte postale… seul le bâtiment de la salle des ventes est encore là pour nous rappeler que cet endroit a vraiment existé…!

Soissons la gare du port 100 ans après

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Échampeu – D’hier à Aujourd’hui – La rue Rocquemont en 1900

77-Echampeu-la-rue-Rocquemont – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Échampeu (S-et-M) – La rue Rocquemont

Cliché Henry – Édition Menut – Bazar-de-l’Hôtel de Ville

(Henri, éditeur, 2 rue St Nicolas – Meaux )

Dos séparé – non circulé

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Voici une carte postale très peu courante d’Échampeu et très appréciée des collectionneurs, où le peu d’habitants se sont regroupés pour que le photographe Henri immortalise cet instant. 

Situé à une quinzaine de kilomètres de Meaux en Seine et-Marne, Échampeu est une ancienne commune de 180 habitants (recensement de 1836) qui a été absorbée en 1840 par la ville de Lizy-sur-Ourcq.

Par cette fusion en 1840 avec Lizy-sur-Ourcq, il m’est impossible de vous donner précisément les noms des habitants d’Échampeu, mais peut-être que certaines personnes citer ci-dessous habitaient à Échampeu ou se rendaient dans ces commerces

Lizy-sur-Ourcq : les Epiceriers, Bedeu, Boulanger, Comble, Familistere Rémois, Fouque, Garnier, Level, Marchal Mathe, Noel ; Les Cafetiers, Carré, Dollé, Malingue, Meyer, Moritz.

En 1901 une société importante était déjà implantée à Lizy-sur-Ourcq, il est très probable que de nombreux habitants d’Échampeu travaillaient pour cette société « Le FERRO-NICKEL » .

  Cette société avait son siège social 10 rue de Louvois et son dépôt 17 rue du pont aux choux à Paris.

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Allons faire un petit tour à Échampeu à l’aide de Google-maps et remontons le temps avec un petit montage photos…!

Echampeu -d’hier à d’aujourd’hui – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

 

 

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Agonges – La Grande-Rue et le Puits en 1900

03-Agonges-La-Grande-Rue – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Agonges – La Grande-Rue

F. Desvaux , éditeur

Dos séparé -circulé à découvert en 1907

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Située à 17 kilomètres de Moulins dans le département de l’Allier et dans la région de l’Auvergne, Agonges en 1901 est une charmante commune de 831 habitants administrée par le maire Monsieur Riant (D).

Pour manger du bon pain c’est à la boulangerie Durot, le café du matin est à boire chez Mr Alasseur, le tabac à rouler est à acheter chez la veuve Bouard, les chaussures et godillots sont en vente chez le bottier Mr Durot.

Les bonbons des enfants et la laine à tricoter sont disponibles dans les épiceries et merceries , Brillaud, Limpot, Senet (S) et Chaux.

Pas de blé et de bons légumes sans les cultivateurs, Chalmin, Clique, Dumont, Giraud (Frères).

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Un petit tour avec Google Maps à Aronges une centaine d’années après l’édition de cette carte postale

Vous remarquerez que le puits est toujours en place .. Ouf !

Agonges-la grande rue 100 ans après


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