Archives par mot-clé : Draveil
La ville de Draveil – La Grande Rue en 1900
Draveil – ( seine et Oise) – La grande Rue
éditeur ND Phot.
Dos séparé – non circulé
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Draveil, ville d’adoption de mon ami Éric. Nous sommes place de la République, au croisement de la rue du Général de Gaulle et de la D448. En 1900, on compte 3 boulangeries pâtisseries à Draveil, Mr Cochoneau, Mr Jumeau et Mr Longuet, qui de ces trois boulangers étaient installés place de la République « anciennement place de l’église » ? À cette époque la ville de Draveil compte 2329 habitants administrés par le maire Mr Jégu. Au loin sur cette carte, on distingue un café-restaurant et je me pose la même question, qui en 1900 des 5 cafés de cette époque étaient installés sur cette place… Mr Bardol, Mr Fauraz, Mr Lefort Mr Richet ou Mr Tricot …? Bien sur si vous avez les réponses, laissez moi un commentaire.
Villa Draveil – Villa Pécoul – l’Avenue de Beaumont – l’Avenue Jean-Jacques-Rousseau
Villa Draveil – Villa Pécoul
éditeur – Bauthamy – Café restaurant, Juvisy
dos séparé – circulé sous enveloppe
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Difficile d’imaginer cet endroit aujourd’hui tellement l’endroit a changé. Au loin et sur la gauche de cette carte postale on peut distinguer une maison assez particulière, dotée d’une tour et d’une grange terrage en guise de toit, cet endroit est aujourd’hui l’avenue de Beaumont. Difficile par contre de situer exactement l’endroit ou l’homme au premier plan pose fièrement devant le photographe, peut être ce qui est maintenant l’avenue Jean-Jacques-Rousseau ou l’avenue des Lilas. Bien sur si vous avez la réponse exacte n’hésitez pas à me laisser un commentaire.
Draveil – La Drague
Draveil ( S.&-O) – La Drague éditeur – A.V. à Draveil , T.D.R Dos séparé – non circulé §
Un petit clin d’oeil à mon Steven Spielberg de Draveil avec cette carte postale de la drague de Draveil. Cette importante exploitation occupait de nombreux ouvriers et était l’une des plus intéressantes de la contrée. Chaque année la drague extrayait dans l’ancien lit de la Seine des millions de mètres cubes de sable qui étaient ensuite dirigés sur Paris. Jour et nuit ces puissantes machines qui ressemblaient à des bateaux faisaient entendre le bruissement des sables et donnaient aux passants le spectacle de leur activité inlassable.
91-Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
7 – Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
édition EM
Dos séparé – non circulé
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L’inondation de 1910 n’a pas épargné non plus la banlieue sud de Paris et la situation à été dramatique aussi pour les essonniens.
Mais passons les durs moments du mois de janvier et voyons le commencement de la décrue au début du mois de février.
Dans la vallée de l’orge, depuis Dourdan jusqu’à Juvisy, la situation est bien meilleure, sauf à Perray-Vaucluse, où la route et plusieurs chemins sont encore envahis et impraticables. L’orge et l’Yvette sont à peu près rentrés dans leurs lits.
À Ris-Orangis, Athis-Mons, Ablon, Viry-Châtillon, Draveil et Juvisy, la baisse de la Seine dans les dernières vingt-quatre heures n’a été que de dix centimètres ; le beau persistant, on s’attendait à mieux. La baisse précédente dans le même laps de temps avait été de quinze centimètres. Les chemins de halage, tout en n’étant pas tout à fait dégagés, sont praticables.
Dans la plaine, les lacs laissés par la crue diminuent sensiblement. Port-Aviation est en très grande partie dégagé.