Nos amoureux de 1900 devant la porte du Petit Salon

Les amoureux de 1900 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte fantaisie

éditeur M.F .Paris

Dos simple – non circulé

3 – Lui : Que je suis heureux de sentir votre cœur battre à l’unisson du mien.

§

La suite du feuilleton d’hier, après avoir monté les escaliers nous voila devant la porte du petit salon … mais que va-t-il donc se passer ?

La suite demain avec une nouvelle carte postale ….. !

Share Button

Les Amoureux de 1900 entre Samedi et Dimanche

Les amoureux de 1900 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Entre samedi et dimanche

Carte fantaisie

éditeur M.F .Paris

Dos simple – non circulé

1 – Lui : Pourquoi ce doux émoi ?

§

Il y avait longtemps que je n’ai pas posté des cartes postales style roman feuilleton pour les romantiques !

Alors, voici le feuilleton du mois avec ces deux premières cartes d’une série de cinq CPAs éditées avant décembre 1903.

Ajoutons que ces séries de cartes style « roman feuilleton » étaient déjà très appréciées et collectionnées dans les années 1900/1910.

Les amoureux de 1900 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

2 / Elle .C’est le bonheur d’etre avec vous, seule, loin du monde.

Share Button

Comptoir Nationale d’Escompte de Paris

comptoir d'escompte - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

151 – Paris Comptoir d’Escompte 

éditeur J.D et Cie Paris

Dos simple – circulé à découvert en 1903

§

Dès 1851 le Comptoir National d’Escompte de Paris (CNEP) s’installe dans l’Hôtel de Rougemont , avant de le racheter 10 ans plus tard. Entre temps, la banque acquiert progressivement nombres de terrains et bâtiments alentours. Cependant, la première phase des travaux de l’Hôtel du Comptoir ne commence vraiment qu’en 1878 pour s’achever en 1881 sous la houlette de Édouard Corroyer – élève de Viollet-le-Duc et toiletteur officiel du Mont-Saint-Michel .

Établi sur une surface de 3000 m², le bâtiment fait appel à un certain nombre de nouveautés technologiques, parmi lesquelles la verrière surplombant le hall ou encore le plancher de verres-dalles de Saint Gobain , premier exemple du genre. A noter également, le chauffage à la vapeur en circuit fermé, un système de réseau à air comprimé permettant la circulations des « pneumatiques » au travers du bâtiment ou encore la création du petit réseau ferré irriguant les sous-sols où sont installés les coffres-forts…

Des artistes reconnus sont retenus pour la décoration : Aimé Millet pour la statuaire, Villeminot pour les ornements ou encore Charles Lameire et Gian Domenico Faccin pour les mosaïques.

Édouard Didron réalise les vitraux tandis que l’orfèvrerie Christofle s’attèle aux lanternes extérieures… Une partie du bâtiment sera d’ailleurs inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1991 .

Par la suite la banque continue de s’étendre sur le secteur en faisant l’acquisition en 1899 de l’immeuble de la Compagnie des Glaces et Produits Chimiques de Saint-Gobain  situé à l’angle de la rue Bergère et de la rue du Conservatoire. L’immeuble « Bergère », sous sa forme actuelle, ne sera ainsi achevé qu’en 1913 avec l’adjonction de toute l’aile courant le long de la rue du Conservatoire.

Source et texte : http://www.pss-archi.eu

¤

Une image google maps 100 ans après du Comptoir d’Escompte et un petit montage photo BNP


Share Button

Paris 1900 – Attelage de 4 chevaux départ aux Courses

Attelage de 4 chevaux - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

996  Paris .- Départ pour les Courses .

éditeur LL. ( ( qui était les initiale de Lévy Lucien et Fils)

Dos séparé – circulé à découvert en 1907

§

Ils avaient quand même de la classe nos rues de Paris en 1900 !

Voici une carte postale nous montrant ce que l’on pouvait voir de mieux comme attelage dans Paris dans les années 1900.

Bien sur tous les attelages n’étaient pas aussi beaux et de nombreux Parisiens n’avaient pas les moyens d’avoir leur propre attelage et voiture .

Il existait donc un certain nombre de Compagnies de Petites Voitures, Fiacres et voiture de ‘places’.

Les plus considérables étaient  la Compagnie Générale ( 1  place du théâtre-Français) : ( 2  L’ urbaine  (59, Rue  Taitbout) et une troisième  L’abeille (230, Rue  Marcadet), et plusieurs autres entreprises particulières.

Il y avait en fonctionnement 11 150 voitures à 2 places (en réalité à 3 places, puisqu’elles étaient munies d’un strapontin) et 330 à 4 places (avec galerie pour les bagages) qui étaient mises journellement au service du public.

Une petite idée des tarifs des voitures en 1900
Pour les voitures prises aux Gares ou dans la rue, le prix de l’heure en journée était de 2 Fr pour 2 places et 2,50fr pour 4 places.

La nuit les prix passaient de 2,00 Fr à 2,50 Fr et de 2,50 Fr à 2,75 fr.

Hors Paris, les tarifs de l’heure étaient majorés de o fr. 50, plus 1 fr. d’indemnité de retour.

Dans Paris , le tarif de jour commençait en hiver (du 1er Oct. au 31 Mars) à 7 h.du matin  et en été  (du 1er Avril  au 30 Sept.) à 6 h. du matin, jusqu’à minuit et demi.

Hors Paris et en hiver les horaires étaient de 6 h. du matin à 10 h et l’été de 6 h à minuit.

Quelques petits détails de prix pour les bagages : 1 colis, 25 cent. ; 2 colis, 50 cent. ; 3 colis et plus, 75 cent.
La première heure se payait en entier et le temps excédant se payait par portions de 5 minutes,

le Pourboire pour une course : 25 à 50 c. suivant la course
la course A l’heure, minimum : 50

Pourboire : Course : 25 cent à 50 cent. suivant la course ; A l’heure, minimum 50 cent  (Usuel mais facultatif )

Share Button

CPA de Bourron-Marlotte – l’Hôtel de la Renaissance

Bourron Marlotte - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

692 – Marlotte

l’Hôtel de la Renaissance

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

§

Cette grande maison, surnommée « le château », a été édifiée par le baron et grand financier Alfred de Niedermeyer (1832-1904), fils du musicien Suisse Louis de Niedermeyer .

A cette époque (1901) Marlotte est une commune de Bourron située à 8 km de Fontainebleau .

Voici ce que l’on peut lire dès 1901 sur l’hôtel de la Renaissance :

  Mallet, Pension depuis 6 Fr par jour tout compris ; 100 chambres au choix, grand jardin, salons et bosquets , voitures.

A Bouron, l’hôtel de la Paix est tenu par L.Poinsard , l’hôtel de la Gaité par Monsieur Rousseau.

Petit rappel sur cette  ‘ salamandre ‘ en bas à gauche de la carte , cette salamandre  portant un T sur son corps  était le sigle d’un des principaux éditeurs de Fontainebleau..

Cet éditeur fera sa réputation en  éditant  une grande quantité de  cartes de Seine et Marne.

¤

Une petite vue google maps 100 ans après

100 ans après l’hôtel de la renaissance

Share Button