Massat – Pyrénées Ariègeoises – Vue général

Massat vue générale-Pyrénées Ariègeoises – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Pyrénées Arègeoises

391 – Massat – Vue Générale

éditeur : Phototypie Labouche Fréres,Toulouse

dos séparé – non circulé

§

Massat vue des hauteurs, trois enfants du village de Massat on suivi le photographe de la célèbre maison d’édition « Labouche Frère » « maison créée en 1848 par « Lucien Labouche » domiciliée 10 place du Capitole à Toulouse, la maison Labouche sera l’édition de référence des paysages et coutumes des Pyrénées et du sud-Ouest de la France.

Massat dans les années 1910 est une ville de 3267 habitants située à 27 kilomètres de Saint Girons, les Massatois et Massatoises ont élu Mr Galy-Gasparrou (L) comme maire de leur bien belle ville.

Share Button

Carte Postale de Lieuvilliers – La rue de l’église en 1910

Lieuvilliers – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Lieuvilliers (Oise) – la rue de l’église

Photo J Hertog,Fitz-James,prées Clermont

Dos séparé – circulé à découvert en 1910

§

Nous voici aujourd’hui à Lieuvillier, petite ville située à 9 kilomètres de Clermont de 339 habitants en 1911.

À cette époque le maire est Monsieur Desmarest (Ch), la Boucherie est tenue par Monsieur Corniquet (A) et les épiceries tabac par ; Descamps, Martin et Madame (Vve) Woldier…

Les harnais et autres accessoires des attelages sont réparés ou vendus par les bourreliers; Minart Polle et Madoux..

Roues, charrettes, chariots, fourgons, carrosses etc etc  …. non plus de secrets pour le Charron de Lieuvilliers ; Monsieur Deboschere ( G).

§

Voici une vue Google maps 100 ans après de Lieuvilliers et un petit montage photo D’hier à Aujourd’hui pour le plaisir.

Lieuvilliers-100-ans-aprés

Share Button

carte postale de l’Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Église du Val de grâce - cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

21  – Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Dos séparé – non circulé

§

Voila ce que l’on pouvait lire en 1900 sur  l’hôpital militaire et école du  le Val-de-grâce
277 bis, R. Saint-Jacques

Fondé par Anne d’Autriche sous le nom de « Val de Grâce de Notre Dame de la Crèche à l’occasion de la naissance de Louis, XIV.

Bâti en 1645 par Mansard Il Sert d’abord de Couvent aux Bénédictins,
  l’Église est surmontée d’un Dôme peint par Mignard, et séparée de la rue St-Jacques par une cour où se dresse la statue de Larrey.

Très vaste et magnifique Jardin, l’École et l’Hôpital sont situés à droite au fond de LA Cour.

Même organisation que tous les Hôpitaux militaires, mais servant en outre d’École d’Application où viennent passer un an les Docteurs en Médecine ou Pharmaciens sortant de l’École de Santé Militaire de Lyon, avant d’être nommés Médecins ou Pharmaciens.

 

Share Button

Le Petit Cochon du Martinot – Église de St Martin-du-Tertre

Le petit cochon du Martinot - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Environs de SENS — Église de St-Martin-du-Tertre — Le Petit Cochon du Martinot

A. Moiriou, éditeur à Sens

Dos séparé -circulé à découvert en 1926

§

  • Un jour de fouêr’ que j’nons trouvions
  • A Sens an café de la Simone,
  • Raid’ corn m’ balle, v’la ben qne j’ voyons
  • Entrer L’mari de la Minochonne,
  • I portait dans Son Hotteriau
  • Un p’tit cochon gras comm’ un mouène
  • Et dru comme vrai ‘Morvandiau,
  • C pauv’ petit ami d’Saint Antouène.
  • Son mait’, quêtait un Martinot,;
  •  Met L’ hotterian dans la cuisine :
  • Pendant c’temps In j’nons donnions l’mot
  • Pon’ y fair’ bouer’ pus d’eun’ chopine.
  • Après avouer » bu comm’ un viau,
  • Vlà qui i s’en sauv’ chez l’pé Philippe
  • En disant : « (je r’ ven’rai bientôt ;
  • J’vas qu’iri du tabac pou’ ma pipe.
  • J’perdons point d’temps: j’enl’vons l’cochon,
  •  J’faisons cuire dans la vinée;
  • A sa place on met L’chien Bichon,
  • Qu’je recouvrons d’eun’’toile ben ficelée.
  • L’ Martinot r’vient, met sur son dos
  • Son hotteriau, et v’la qu i file
  •  A Saint-Martin, mais les chaos
  • Empêchaient l’pauv chien d’ètr tranquille
  • Y jappe et r japp’as-tu, c bichon
  • Ah jappe ou n’jappe pas, qu’a dit l’bomme
  • « ‘l’es pas un chien, t’es t’’un cochon
  • « Et tu frais bien mieux dé faire un somme
  • En arrivant à Saint-Martin
  • De l’hotterio j’enlevons la ficelle
  •  Et l’pauv’ chien s’essauv’ su’ L’ chemin
  • Pou’ rentrer chez eux pa’ la ruelle.
  • «Galvaad, gourmand, ivrogne, vaurien!
  • «Qui dit la femme, tu n’ pens’qu’à boère!
  • «C’est pas un cochon, c’est un chien
  • «Qu’tu nous as rapporté d’la fouère. »
  • « Bon sang de bon sang! qu’dit Minochon,
  •  J’co ben,c’est l’chien d’la mé Simonne,
  •  il aura dévoré not’ cochon :
  • « J’vas m’expliquer au café d’Yonne. »
  • V’Ià donc qu’y r’vient, not’ Martinot,
  • Comm’ j’ découpions sa pauv’ bête.
  • « Fais comme nous, renipli’-toi L’ jabot,
  • « Oue j’ dis, trinquons, tu s’ras d’ la fête.
  • J’on remboursé L’prix du cochon.
  • Mais j’en n’ons pas laissé eun’ miette.
  •  Li était si soû l’ pé Minochon, „_
  • On j’lons reconduit dans n’eu’ berouette.
  • PP

Recherche un traducteur du patois des environs de Sens comme le dit la légende de cette carte postale.

Qui pourrait nous traduire l’histoire du petit cochon du Martinot en français, si vous connaissez ce patois merci de laisser un commentaire.


Share Button

Tout Paris – Église St Germain de Charonne

Tout Paris – Saint Germain de Charonne – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Tout Paris – N° 339

Église St Germain de Charonne

Place St-Blaise (XXe arrt)

Collection Fleury

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

§

 Jusqu’à son annexion à la ville de Paris sous le Second Empire, le village de Charonne, loin du bruit et de l’agitation de la capitale, demeure un bourg campagnard que décrit Jean-Jacques Rousseau dans Les rêveries du promeneur solitaire.

Saint-Germain-de-Charonne se trouve au coeur de cet ancien village. D’après une légende, un oratoire aurait été bâti en mémoire du passage en cette localité, de Saint Germain, évêque d’Auxerre, dont il reçoit le nom. Sur son ancien emplacement s’élève l’actuelle église qui allie quelques vestiges du XIIe siècle (gros piliers de la tour) à une architecture des XVe-XVIIe siècles, fruit des remaniements successifs effectués, pour l’essentiel, en vue de parer aux exigences du culte ou de faire disparaître les traces des incendies auxquels elle est en proie à diverses époques.

C’est à partir de cette église que s’est développée l’urbanisation du village. Situé légèrement en hauteur, sur la pente d’un coteau, l’édifice, auquel on accède après trente et une marches, a constitué un véritable pôle d’attraction par son rôle de belvédère du village.

La rue Saint-Blaise, lui faisant face, en était la voie principale. Encore aujourd’hui, le promeneur qui remonte cette « grand’- rue » d’alors a l’impression saisissante de se trouver dans un petit village, auquel la menace des hautes tours voisines donne un charme un peu nostalgique.

Saint-Germain-de-Charonne est, en outre, l’unique église parisienne, avec Saint-Pierre-de-Montmartre, à encore posséder son petit cimetière paroissial. Ce type de nécropole est en effet interdit à Paris pour des raisons d’hygiène par un arrêté préfectoral daté du 2 ventôse an IX.

Sa présence contribue à accentuer le caractère pittoresque du site. Aussi, malgré les nombreuses transformations subies au cours des siècles et en dépit de l’urbanisation croissante du secteur, l’édifice garde-t-il, en raison de sa protection comme Monument Historique, quelque chose de l’église villageoise qu’il a été au milieu des vignes.

De plus, l’une des mémorables scènes du film Les tontons flingueurs (Georges Lautner, 1963), a été tourné dans ce lieu.

Source et texte : 
Share Button