Soisy-sous-étiolles – Bords de la Seine – Une lavandière

91-Soisy-sous-étiolles-Bords de la Seine

91-Soisy-sous-étiolles-Bords de la Seine

 

Soisy-sous-étiolles – Bords de la Seine
éditeur Touret – Photo Peinture A. Breger Freres, 9 rue Thénard, Paris. Déposé 
dos séparé – circulé à découvert
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La carte postale a un peu jauni mais sa texture façon toile de peintre est toujours bien marqué.
De nombreux éditeurs ont édité ce genre de carte postale qui se voulait ressembler le plus possible à un tableau… la maison A. Breger désignait ces cartes avec ces simples mots  » photo-peinture » qui pour moi est très commode comme définition à utiliser pour désigner ce genre de carte, d’autres cartophiles utiliseront les mots « cartes toilées »  » cartes vernis » etc. etc.

La ville de  Soisy-sous-étiolles a été rebaptisée en 1934 Soisy-sur-Seine, située entre la Seine et la foret de Sénard, proche de Draveil, Evry et Ris Orangis dans le département de l’Essonne. 

Bien sur sur cette carte le plus important est cette femme qui lave et rince son linge dans la Seine le dos cassé, il faudra encore attendre quelques décennies  pour entendre sur nos téléviseurs  » Ca c’est ben vrai ça !  Ces quelques mots devenus culte qui ont fait de la Mère Denis la star de la publicité en France et de la marque « vedette » durant les années 80.

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Breuillet-Village – l’église – Un attelage et une vache

91-Breuillet-Villages-l'eglise avec attelage et vache - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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91-Breuillet-Villages – l’église
 Ménard à Breuillet – Simi-Aquarelle A. Breger, 9 rue Thénard, Paris 
Dos séparé – non circulé
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Voici une carte bien sympathique de la ville de Breuillet.
En 1910 Breuillet est une petite ville de 700 habitants située à 30 kilomètres de Rambouillet et 41 kilomètres de Paris.
Son maire à cette époque est Monsieur Hallé et l’éditeur de cette carte n’est autre que le propriétaire d’un des deux débits de tabac de Breuillet, l’autre tabac étant tenu par Monsieur Mouroux.
Sur cette carte une belle vache blanche et rousse attend tranquillement attachée à une charrette qui aurait pu appartenir à l’un de ces agriculteurs; Mr Broust, Mr Dubois, Mr Dupont, Mr Lepére ou Mr Ravet.
À citer aussi la fabrique de tuiles et de briques de Musmacques frères et Cie et la pisciculture de Monsieur Cavalier.
À noter les deux châteaux de Breuillet; le Chapitre appartenant à Mr Hallé (A) et celui du Colombier de madame Veuve Guilbert.

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91-Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte

91-Villa draveil-inondation 1910-terrasse du restaurant Lapreuvotte  - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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 7 – Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
édition EM  
Dos séparé – non circulé
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L’inondation de 1910 n’a pas épargné non plus la banlieue sud de Paris et la situation à été dramatique aussi pour les essonniens.
Mais passons les durs moments du mois de janvier et voyons le commencement de la décrue au début du mois de février.
Dans la vallée de l’orge, depuis Dourdan jusqu’à Juvisy, la situation est bien meilleure, sauf à Perray-Vaucluse, où la route et plusieurs chemins sont encore envahis et impraticables. L’orge et l’Yvette sont à peu près rentrés dans leurs lits.
À Ris-Orangis, Athis-Mons, Ablon, Viry-Châtillon, Draveil et Juvisy, la baisse de la Seine dans les dernières vingt-quatre heures n’a été que de dix centimètres ; le beau persistant, on s’attendait à mieux. La baisse précédente dans le même laps de temps avait été de quinze centimètres. Les chemins de halage, tout en n’étant pas tout à fait dégagés, sont praticables.
Dans la plaine, les lacs laissés par la crue diminuent sensiblement. Port-Aviation est en très grande partie dégagé.

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Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe

Varenne-Jarcy - La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe Thibault, éditeur, Mandres.
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Au restaurant du Lapin qui se rebiffe… rien que la légende de cette carte postale nous fait rêver.
En 1900 la ville de Varennes-Jarcy est une petite ville de Seine-et-Oise (aujourd’hui en Essonne) de 248 habitants située à 11 kilomètres de Corbeil et à 4 Km de Mandres.
Le maire de cette époque est Monsieur Bosquillon, Monsieur Dauvergne (L) est l’agriculteur, Monsieur Vinatier est Maçon, Monsieur Chalin (L) est polisseur d’acier et Monsieur Lamber est restaurateur à Jarcy.

Voici une vue google-maps de cet endroit plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale, la rue du restaurant du Lapin qui se rebiffe est devenue la rue de la Libération et le restaurant une belle maison d’habitation.

Varennes-Jarcy- 100 ans après l'edition de cette carte postale

Varennes-Jarcy- 100 ans après l’édition de cette carte postale

 

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Les Belles Fontaines de la nationale 7 – Juvisy-sur-Orge

Juvisy sur orge - Les belles Fontaines-éditeur ND phot - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Juvisy sur orge – Les belles Fontaines-éditeur ND phot – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

21  Juvisy – sur – Orge  –  Les Belles Fontaines

éditeur ND Phot

Dos séparé – non circulé

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Si aujourd’hui vous voulez prendre la même place que ce Monsieur admirant les fontaines, je vous recommande de prévenir une ambulance et les pompiers avant .. car cette petite route de Fontainebleau pavée et tellement agréable est en fait aujourd’hui la nationale 7 où des milliers d’automobilistes passent chaque jour.

Au XVIIIe siècle, Louis XV décide de détourner la route Royale, qui relie Paris à Lyon en traversant le bourg de Juvisy.

La côte est si raide que les calèches y patinent et pour réaliser cette déviation, il faut remblayer le coteau et construire un pont pour franchir l’Orge.

L’ouvrage, bâti entre 1725 et 1728, est hors du commun, en plus de l’arche supérieure, sept petites arches assurent la solidité de l’ensemble sur un secteur très pentu.

Sur le pont, deux magnifiques fontaines donnent son nom à l’ouvrage, en haut de ces fontaines un globe aux armes de France, soutenu par un groupe d’enfants, avec trophées à la gloire du roi.

Ce monument sera restauré en 1813 sous le règne de Napoléon le grand, elles seront déplacées en 1970 pour permettre l’élargissement de la nationale 7, pour se retrouver installées dans le parc Ducastel de la Mairie de Juvisy.

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