Villeparisis – Etablissement café-Restaurant Micas en 1900

Villeparisis-etablisement Micas

Villeparisis – établissement Micas – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

6 – Villeparisis (S-&-M) – Etablissement Micas 
Edition Micas 
Dos séparé – circulé à découvert en 1904 
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Deux bonnes raisons de poster cette belle carte de Villeparisis, la première pour faire un petit clin d’oeil à un peintre équilibriste qui espère ne pas faire cela toute sa vie, et la seconde pour Christian qui est un collectionneur de cette belle ville de Villeparisis. En 1900 cette ville de Seine-et-Marne compte 858 habitants et est située à 20 kilomètres de Meaux et de 4 km de la gare de Sevran . Le maire de cette époque est Monsieur Parquin, le commandant des sapeurs-pompiers est Mr Lamotte. Bien sûr les commerces à Villeparisis sont en assez grand nombre comme la plupart du temps à cette époque, pour 850 habitants on ne compte pas moins de 3 boulangeries: ( David; Moiraud; Vaillant. 4 épiceries: Bergeret; Galpin; Laurent; Tamponnet. 5 cordonneries: Fonteyne; Justice; Laurent; Pellerin; Royer. À noter que les champs autour de la ville de Villeparisis sont l’affaire des agriculteurs: Baron Aîné; Baron (F) et famille Parquin. Petit détail supplémentaire sur l’endroit ou se situait ce café à cette époque, ces braves gens sont dans la rue de Paris qui deviendra par la suite la rue Jean Jaures.  

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Carte Postale Ancienne – Établissement Pénitentiaires de Fresnes en 1898

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Carte Postale Ancienne – Établissement Pénitentiaires de Fresnes – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Établissement Pénitentiaires de Fresnes – Arrivée d’une voiture Cellulaire 
Une surveillante 
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Voici ce que l’on pouvait lire en 1898 sur les nouvelles prisons de Fresnes-les-Rungis. Construite par l’architecte Henri Poussin entre 1894 et 1898, le Conseil général de la Seine a procédé le 19 juillet 1898  à la remise officielle des nouvelles prisons de Fresnes-les-Rungis à l’administration pénitentiaire. On sait que la loi du 5 juin 1875, en prescrivant l’application du régime cellulaire aux prisons départementales, a imposé, par cela même, au département de la Seine la reconstruction ou la transformation de presque toutes les prisons. Afin de se conformer à cette loi et pour remplacer les prisons de Continuer la lecture

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