Comme ça ,ça va tout seul.
STEEBBING ,Phot
Éditeur : (étoile à cinq branches) Qui était la marque des établissements Photographiques de Mr G. Piprot
Dos séparé -non voyagé – série N°1030
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La cinquième et dernière carte postale de cette série qui se finit très bien !
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Un petit plus sur l’éditeur et photographe de ces cartes postales (la marque à l’étoile à 5 branches )
(étoile à cinq branches) Qui était la marque des établissements Photographiques de Mr G. Piprot
(Bottin Didot Paris 1909)
Jack Abeillé – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Moyen Age
Jack ABEILLÉ – 981
éditeur J.W.H. à B.N° 23.1899.
Dos simple – non circulé
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Jacques ABEILLÉ dit Jack ABEILLÉ est né le 27 mai 1873 à la La-Varenne-Saint-Hilaire
Cet Illustrateur, affichiste, dessinateur humoriste collabore à de nombreux journaux illustrés de l’époque.
Il réalisera des cartes postales militaires pendant la première guerre assez courantes mais les cartes les plus recherchées sont signées et éditées avant 1900.(Exemple la carte ci-dessus) éditée en 1899.
Laissant plusieurs très belles séries de cartes très appréciées des collectionneurs d’illustrateurs de cette époque (Art Nouveau), l‘année du décès de Jacques Abeillé n’est pas connue, mais elle se situerait après 1936 ? … Bien sur si vous avez ce renseignement, merci de me laisser un commentaire …!
(Série La Parisienne, les sept péchés capitaux, les boissons de tous pays, ,les fleurs,vue de Paris , et bien d’autre encore)
28 – Paris-Jardin d’Acclimatation – Le chargement du Dromadaire
éditeur – Royer ,Nancy
Dos séparé – non circulé
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En 1854 Isidore Geoffroy Saint-Hilaire devient président de la fondation impériale zoologique d’acclimatation , L’empereur Napoléon III offre à cette fondation 19 hectares situés dans le bois de Boulogne.
Cette fondation se chargera de l’acclimatation et à la domestication d’espèces d’animaux et de végétaux et c’est en en 1860 que le jardin d’acclimatation ouvre les portes aux parisiens.
Situé au cœur du Bois de Boulogne porte des Sablons, on peut y admirer la faune exotique et des animaux venus de pays lointains, ours, chameaux, girafes vivent au cœur de ce jardin ce qui fait le bonheur et l’étonnement des Parisiens.
La guerre de 1870 avec la famine sera fatale à ces animaux, ils seront abattus afin de nourrir la population,et ce n’est que vers les années 1900 que le jardin retrouvera de sa splendeur et redeviendra un jardin de loisirs pour les Parisiens.
En 1909 , le directeur est Monsieur Porte , les collections du jardin son visibles tous les jours de la semaine au prix de 1Franc et le dimanche et fêtes ce prix est de 0,50 centimes.
Par contre je ne peux vous dire combien coutait le petit tour de dromadaire !
Carte photographique 'Oranotypie' - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Carte photographique ‘Oranotypie’
Reutlinger ,Paris
(5 cartes de cette série )
P.N.G – A.G Steglitz 1904
Dos séparé -non circulé
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L’oranotypie est un procédé d’impression rotatif au bromure en grande série créé par Arthur Black en 1904.
Sa société « Neue Photographische Gesellschaft » à Sterlitz (Berlin) développe le processus de pigment NPG.
Cette société imprimera des millions de cartes postales de 1894 à 1948.
Ce procédé est proche de ce que l’on appelle la *Photochromie*
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Carte photographique 'Oranotypie' - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
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Carte photographique 'Oranotypie' - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
La Fontaine saint Jean - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
316 . – Nemours – La Fontaine Saint-Jean
édition – G.B.N.G .Nemours
Dos séparé – non circulé
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Pas de Nemouriens sur cette carte mais des Nemouriennes en train de laver le linge dans le Loing.
Une fois le linge bien lavé ,toutes ces femmes vont se diriger vers le lavoir pour rincer draps et habits.
Le lavoir est un bassin public alimenté en eau détournée d’un court d’eau ou d’une source qui servait aux femmes pour rincer le linge après l’avoir lavé ou chez elles ou comme c’est le cas sur cette carte dans la rivière.
Le lavoir était aussi ,même si ce travail était pénible un lieu où les femmes de cette époque pouvaient se rencontrer et discuter ,voire même raconter les ragots du village !!