Chateauroux – Usine Balsan-Sortie des Ouvriers

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chateauroux – Usine Balsan-Sortie des Ouvriers

Balsan Manufactory ,coming out of the Worrken

G.G. éditeur -Chateauroux  – Phot ND

Dos séparé – circulé à découvert en 1922

§

Située au centre d’une région lainière importante, la ville de Châteauroux (Indre) possède une longue tradition de fabrication de draps.

Pendant la Première Guerre Mondiale, les établissements Balsan conçoivent notamment le drap bleu horizon destiné à remplacer les trop voyants pantalon garance de l’armée.

L’usine compta longtemps parmi les plus modernes et les plus importantes de France. Elle a largement influencé l’urbanisation de la partie ouest de la ville, en créant des maisons individuelles pour les ouvriers, des écoles et des rues organisées selon une composition orthogonale, pour relier ces équipements et ces logements à l’établissement. Le déclin de son activité traditionnelle, le drap cardé, et sa reconversion dans la production de non tissés engendrèrent une réduction progressive de la propriété et son morcellement.La fermeture de l’ usine, en 1991, entraîna la désertification d’ une grande partie de l’ilot !



Share Button

Les Vendanges dans le Var – Repas des vendangeuses

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

1338   Les Vendanges dans le Var – Repas des vendangeurs et Vendangeuses

Guenae (Guende) Phot . Marseille

Dos séparé – circulé à découvert

§

Je ne sais pas si le photographe est tombé amoureux de la vendangeuse, mais que cette femme au grand chapeau est belle !

Share Button

Les Sablons – prés Moret – la Maison Gascoin

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

38 .  Les Sablons – prés Moret – la Maison Gascoin

edit . de l’imp. med . J .Fégard ,a Moret ,cliché Collin

Dos séparé – circulé à découvert

§

On se repose à Sablons ,certainement un dimanche  après une longue semaine de travail difficile ,il faut se rappeler des conditions de travail à cette époque !!

§

Le 13 juillet 1906, le Parlement vote la loi Sarrier, instaurant le repos dominical obligatoire de 24 heures pour les ouvriers et les employés de commerce. Mais la bataille fut rude pour obtenir cette avancée, parfois même contre des personnes inattendues.

Ce combat se situe dans le contexte de l’abaissement du temps de travail. La loi du 30 mars 1900, appliquée à partir de 1904, instaure la semaine de 60 heures.

Nous sommes encore loin des quinze jours de congés payés de 1936, mais le dimanche chômé est le bienvenu, d’autant qu’il revient de loin. Ce repos dominical avait été précédemment instauré le 18 novembre 1814, sous la pression de l’Église qui souhaitait que les travailleurs puissent se rendre à la messe du dimanche matin. Mais, le 12 juillet 1880, cette loi est abrogée par des députés anticléricaux bornés qui n’ont pas compris qu’ils renvoyaient ainsi à l’atelier des ouvriers brisés par la fatigue.

Pourtant, le grand penseur anarchiste, Proudhon, peu soupçonnable de «jésuiterie curaillonne», avait publié une brochure au titre évocateur: «De la célébration du dimanche considérée sous les rapports de l’hygiène publique, de la morale, des relations de famille et de cité». Dans la même veine, le docteur Féré écrivait à cette époque: «Le repos hebdomadaire autorise une restauration des poumons, un rétablissement de la circulation sanguine et de l’activité sensorielle, un apaisement du système nerveux, une reviviscence des capacités d’attention et de raisonnement logique. Le respect du dimanche désamorce le surmenage.»

UNE LOI DÉTOURNÉE

Jaurès militait aussi pour le dimanche chômé et la CGT appelait à «la grève générale du dimanche».

En effet, de 1880 à 1906, les ouvriers devaient passer leurs dimanches matin à nettoyer leurs machines. Dès 1889, le député Nadaud a voulu supprimer la loi de 1880.

Pourtant, une fois votée, la loi Sarrier sera largement amputée. Les préfets autorisent 13 000 dérogations, surtout pour le petit commerce. Si des employeurs font travailler le dimanche sans dérogation, ils doivent payer une contravention de… un franc! Vingt-neuf mille contraventions ont été dressées en 1906; même nombre en 1907.


Texte : Force Ouvrière Hebdo n°2776



Share Button

PRECY – La Rue Chaude

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

J;Chatenay,photo-éditeur,précy – IMPR Réunies Nancy –

Dos séparé -circulé à découvert en 1908

§

Sans aucune certitude , un hôtel ,des belles femmes sur le trottoir ,des hommes groupés

la rue chaude

non, c’est pas ça, je me fais des idées  !!!

Share Button

Ollé – La Mairie

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Ollé – La Mairie

Fergant à Ollé

Dos séparé – circulé à découvert en 1908

§

Petite ville de l’Eure et Loir de 550 habitants , à l’époque la mairie de Ollé était aussi l’école du village

Share Button