Carte Postale Ancienne – Dans un tendre baiser

Publié le 21 avril 2016 par Pascal

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Carte-Postale-Ancienne-les-amoureux

Dans un tendre baiser donnez moi votre coeur.

Et l’amour nous fera une vie de bonheur !

éditeur M.F Paris

§

Cinquième et dernière cpa de cette série de 5 cartes postales des années 1900. Enfin le baiser sur la bouche… Et oui dans ces années 1900 il fallait au moins 5 cartes postales avant d’arriver au baiser… Aujourd’hui, très souvent 2 SMS suffissent.

Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi, je t’en prie,
Presse-moi, serre-moi ! À ce coup je me meurs !
Mais ne me laisse pas en ces douces chaleurs :
Car c’est à cette fois que je te perds, ma vie.

Mon ami, je me meurs et mon âme assouvie
D’amour, de passions, de plaisirs, de douceurs,
S’enfuit, se perd, s’écoule et va loger ailleurs,
Car ce baiser larron me l’a vraiment ravie.

Je pâme ! Mon ami ! mon ami, je suis morte !
Hé ! ne me baisez plus, au moins de cette sorte.
C’est ta bouche, mon cœur, qui m’avance la mort.

Ôte-la donc, m’amour, ôte-la, je me pâme !
Ôte-la, mon ami, ôte-la, ma chère âme,
Ou me laisse mourir en ce plaisant effort !

Rémy Belleau.

Un baiser – Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

Publié le 20 avril 2016 par Pascal

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Le baisé – Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

éditeur MF Paris

§

Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour…Voici la quatrième carte de cette série de 5 cartes postales…

Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanouit le rire,
Frais calice du souffle et rose du baiser,
Où, malgré moi, revient mon rêve se poser,
Si douces que les mots ne peuvent pas le dire.

Lèvres, coupes d’amour après qui l’on aspire,
Désireux de l’ivresse et craignant d’y puiser ;
Le buveur délicat a peur de vous briser,
Et lentement avec extase vous attire.

Je veux tarir ma soif à vos calices clairs ;
A votre humide bord irradié d’éclairs
Je boirai comme on boit à l’eau d’une fontaine.

Versez-moi la caresse, irritante douceur,
Ô lèvres ! souvenir, espérance lointaine,
Dont je veux mordre encore la fragile épaisseur !

Albert Mérat.

Et nous nous promettions un éternel Amour

Publié le 19 avril 2016 par Pascal

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Carte Postale Ancienne-les amoureux – Et nous nous promettions un éternel Amour

Et nous nous promettions un éternel Amour

éditeur M.F Paris

§

Troisième carte d’une série de 5 cartes postales sur ce couple d’amoureux

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !

Victor Hugo.

Cpa – Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

Publié le 18 avril 2016 par Pascal

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Carte-Postale-Ancienne-les-amoureux Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

éditeur M.F Paris

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Deuxième carte d’une série de 5 cartes postales qui nous montrent un couple très romantique…! les lèvres se rapprochent et le rêve va certainement finir en réalité..!

Par un beau Soir – Sous les pales rayons de la Blonde Phoebée

Publié le 17 avril 2016 par Pascal

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Par un beau Soir – Sous les pales rayons de la Blonde Phoebée

éditeur M.F Paris

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Première carte d’une série de 5 cartes postales qui nous montrent un couple très romantique…! Mais, que va-t-il se passer entre ces deux amoureux …?

Cartes Postales Anciennes

Cartes Postales Anciennes de Bastille91

Archives par mot-clé : homme

Carte Postale Ancienne – Dans un tendre baiser

Dans un tendre baiser donnez moi votre coeur.

Et l’amour nous fera une vie de bonheur !

éditeur M.F Paris

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Cinquième et dernière cpa de cette série de 5 cartes postales des années 1900. Enfin le baiser sur la bouche… Et oui dans ces années 1900 il fallait au moins 5 cartes postales avant d’arriver au baiser… Aujourd’hui, très souvent 2 SMS suffissent.

Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi, je t’en prie,
Presse-moi, serre-moi ! À ce coup je me meurs !
Mais ne me laisse pas en ces douces chaleurs :
Car c’est à cette fois que je te perds, ma vie.

Mon ami, je me meurs et mon âme assouvie
D’amour, de passions, de plaisirs, de douceurs,
S’enfuit, se perd, s’écoule et va loger ailleurs,
Car ce baiser larron me l’a vraiment ravie.

Je pâme ! Mon ami ! mon ami, je suis morte !
Hé ! ne me baisez plus, au moins de cette sorte.
C’est ta bouche, mon cœur, qui m’avance la mort.

Ôte-la donc, m’amour, ôte-la, je me pâme !
Ôte-la, mon ami, ôte-la, ma chère âme,
Ou me laisse mourir en ce plaisant effort !

Rémy Belleau.

Un baiser – Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

éditeur MF Paris

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Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour…Voici la quatrième carte de cette série de 5 cartes postales…

Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanouit le rire,
Frais calice du souffle et rose du baiser,
Où, malgré moi, revient mon rêve se poser,
Si douces que les mots ne peuvent pas le dire.

Lèvres, coupes d’amour après qui l’on aspire,
Désireux de l’ivresse et craignant d’y puiser ;
Le buveur délicat a peur de vous briser,
Et lentement avec extase vous attire.

Je veux tarir ma soif à vos calices clairs ;
A votre humide bord irradié d’éclairs
Je boirai comme on boit à l’eau d’une fontaine.

Versez-moi la caresse, irritante douceur,
Ô lèvres ! souvenir, espérance lointaine,
Dont je veux mordre encore la fragile épaisseur !

Albert Mérat.

Et nous nous promettions un éternel Amour

Et nous nous promettions un éternel Amour

éditeur M.F Paris

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Troisième carte d’une série de 5 cartes postales sur ce couple d’amoureux

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !

Victor Hugo.

Cpa – Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

éditeur M.F Paris

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Par un beau Soir – Sous les pales rayons de la Blonde Phoebée

Par un beau Soir – Sous les pales rayons de la Blonde Phoebée

éditeur M.F Paris

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Dans un tendre baiser donnez moi votre coeur.

Et l’amour nous fera une vie de bonheur !

éditeur M.F Paris

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Cinquième et dernière cpa de cette série de 5 cartes postales des années 1900. Enfin le baiser sur la bouche… Et oui dans ces années 1900 il fallait au moins 5 cartes postales avant d’arriver au baiser… Aujourd’hui, très souvent 2 SMS suffissent.

Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi, je t’en prie, Presse-moi, serre-moi ! À ce coup je me meurs ! Mais ne me laisse pas en ces douces chaleurs : Car c’est à cette fois que je te perds, ma vie.

Mon ami, je me meurs et mon âme assouvie D’amour, de passions, de plaisirs, de douceurs, S’enfuit, se perd, s’écoule et va loger ailleurs, Car ce baiser larron me l’a vraiment ravie.

Je pâme ! Mon ami ! mon ami, je suis morte ! Hé ! ne me baisez plus, au moins de cette sorte. C’est ta bouche, mon cœur, qui m’avance la mort.

Ôte-la donc, m’amour, ôte-la, je me pâme ! Ôte-la, mon ami, ôte-la, ma chère âme, Ou me laisse mourir en ce plaisant effort !

Rémy Belleau.

Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour

éditeur MF Paris

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Le mien est trop profond pour ne durer qu’un jour…Voici la quatrième carte de cette série de 5 cartes postales…

Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanouit le rire, Frais calice du souffle et rose du baiser, Où, malgré moi, revient mon rêve se poser, Si douces que les mots ne peuvent pas le dire.

Lèvres, coupes d’amour après qui l’on aspire, Désireux de l’ivresse et craignant d’y puiser ; Le buveur délicat a peur de vous briser, Et lentement avec extase vous attire.

Je veux tarir ma soif à vos calices clairs ; A votre humide bord irradié d’éclairs Je boirai comme on boit à l’eau d’une fontaine.

Versez-moi la caresse, irritante douceur, Ô lèvres ! souvenir, espérance lointaine, Dont je veux mordre encore la fragile épaisseur !

Albert Mérat.

Et nous nous promettions un éternel Amour

éditeur M.F Paris

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Troisième carte d’une série de 5 cartes postales sur ce couple d’amoureux

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire, Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre, Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire, Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes, Les anges, les démons courbés devant ma loi, Et le profond chaos aux entrailles fécondes, L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes, Pour un baiser de toi !

Victor Hugo.

Je rêvais aux côtés de ma belle adorée

éditeur M.F Paris

§

Par un beau Soir – Sous les pales rayons de la Blonde Phoebée

éditeur M.F Paris

§

Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi, je t’en prie,
Presse-moi, serre-moi ! À ce coup je me meurs !
Mais ne me laisse pas en ces douces chaleurs :
Car c’est à cette fois que je te perds, ma vie.

Mon ami, je me meurs et mon âme assouvie
D’amour, de passions, de plaisirs, de douceurs,
S’enfuit, se perd, s’écoule et va loger ailleurs,
Car ce baiser larron me l’a vraiment ravie.

Je pâme ! Mon ami ! mon ami, je suis morte !
Hé ! ne me baisez plus, au moins de cette sorte.
C’est ta bouche, mon cœur, qui m’avance la mort.

Ôte-la donc, m’amour, ôte-la, je me pâme !
Ôte-la, mon ami, ôte-la, ma chère âme,
Ou me laisse mourir en ce plaisant effort !

Ô lèvres, fleurs de sang qu’épanouit le rire,
Frais calice du souffle et rose du baiser,
Où, malgré moi, revient mon rêve se poser,
Si douces que les mots ne peuvent pas le dire.

Lèvres, coupes d’amour après qui l’on aspire,
Désireux de l’ivresse et craignant d’y puiser ;
Le buveur délicat a peur de vous briser,
Et lentement avec extase vous attire.

Je veux tarir ma soif à vos calices clairs ;
A votre humide bord irradié d’éclairs
Je boirai comme on boit à l’eau d’une fontaine.

Versez-moi la caresse, irritante douceur,
Ô lèvres ! souvenir, espérance lointaine,
Dont je veux mordre encore la fragile épaisseur !

Enfant ! si j’étais roi, je donnerais l’empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d’or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j’étais Dieu, la terre et l’air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L’éternité, l’espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !