Pêcherie Steck – Auenheim – Matelote et Friture à toute heure

Pêcherie Steck - Auenheim - Matelote et Friture à toute heure

Pêcherie Steck – Auenheim – Matelote et Friture à toute heure

Pêcherie Steck – Auenheim (Bas-Rhin) – Matelote et Friture à toute heure
Photo Lehmann – Soufflenheim ( B.-Rh.) 
Dos séparé – non circulé 
§

Voici une carte bien sympathique et peu courante d’Auenheim, petite commune du nord-est de la France, située dans le département du Bas-Rhin et de la région Alsace. Nos pêcheurs ont tendu leur filet certainement dans la Moder, petite rivière de 82 km et affluent du Rhin. Ma recherche sur la famille Steck dans les pêcheries n’ayant rien donné, j’ai quand même fini par trouver le vrai métier qu’exerçait cette famille de pêcheurs. En définitive la pêcherie était le bon moyen d’alimenter leur hôtel-restaurant, spécialiste de la matelote et de la friture à toute heure. Ci-dessous l’hôtel-restaurant Steck installé à Auenheim. 

Hotel restaurant Steck-Auenheim-Bas-Rhin

Hotel restaurant Steck-Auenheim-Bas-Rhin

Share Button

Olivet-Les bords du Loiret-Pavillon Bleu-Cycle Nautique

Olivet-Les bords du Loiret-Pavillon Bleu

Olivet-Les bords du Loiret-Pavillon Bleu

Olivet – Les bords du Loiret – Pavillon Bleu – Maison Grenier – Hôtel Restaurant – Téleph.44 – Cycle Nautique 
éditeur Lenormand, orléans 
Dos séparé – circulé à découvert le 29 Juillet 1929 
§

Le Loiret n’est pas seulement un but d’excursion pour les amateurs d’art et pour les poètes: C’est aussi la rivière joyeuse où viennent se délasser et rire les jeunes gens, les jeunes filles, les enfants, les parents et les amoureux. Nul Orléanais qui ne conserve dans sa mémoire le souvenir d’une promenade en barque ou d’un joyeux diner dans les célèbres restaurants qui bordent la rivière, là où l’on boit les vins des coteaux d’Olivet, Là où l’on fait sauter les bouchons de Vouvray et l’on chante, et on danse, et l’on mange les bonnes fritures parfumées de romarin ! Voilà ce que l’on pouvait lire et écrire dans les années 1920 sur ces endroits magiques qui bordaient nos rivières et qui sentaient bon la joie de vivre en France quelques années après la terrible guerre de 1914/1918. 

Share Button

Carte postale ancienne – Soissons – l’Avenue de la gare et son train à vapeur

Carte postale ancienne-Soissons-Avenue de la gare

Soissons – Avenue de la gare

Soissons – Avenue de la Gare
Berth, édit, Soissons 
dos séparé – non circulé 
§

Gros plan sur le train à vapeur arrivant place de la gare de Soissons. Dans les années 1910 Soissons est déjà une grande ville de plus de 14000 habitants administrée par le maire Mr Becker. Très ancienne ville située dans un vallon agréable et fertile, sur la rive gauche de l’Aisne, à 32 kilomètres de Laon et à 105 kilomètres de Paris. Soissons en 1910 est un grand centre de commerce de blé pour l’approvisionnement de Paris. Soissons est aussi à cette époque une ville ayant de nombreuses fabriques d’instruments aratoires, de pétrins mécaniques, fonderies de seconde fusion, sucreries, distillerie, Verrerie, sans compter son commerce d’industrie du bois et son grand jardin botanique. A noter les 4 châteaux à cette époque; Chevreux appartenant à la comtesse de Sieyès, Maupas appartenant à Jodon de Villeroché; St Crépin appartenant à (Vve) Pincherat et le château de Ste Geneviève appartenant à Mr Guillemot (G).     

Share Button

St-Barthélemy-d’Argenais – Le départ des courses de vélos – Circuit du Barry

St-Barthélemy-dArgenais - Fête du Quartier du Barry - Le départ des courses de vélos - Circuit de Barry

St-Barthélemy-dArgenais – Fête du Quartier du Barry – Le départ des courses de vélos – Circuit de Barry

St-Barthélemy-d’Argenais  ( Lot-et-G)
Fête du Quartier du Barry – Le départ des courses de vélos – Circuit de Barry
édition Gerbaud – cliché A.Guignard, Duras 
Dos séparé – non circulé
§

Commune du sud-ouest de la France, en région d’Aquitaine Saint-Barthélemy-d’Agenais est située dans le département de Lot-et-Garonne. Difficile de dater exactement cette carte postale de St-Barthélemy-d’Argenais, certainement dans les années 1920 /1930. la course la plus connue aujourd’hui de cette ville est le Grand Prix de l’Ascension, cette course date de 1932 et demande aux participants de parcourir 11 tours d’un circuit de 9 kilomètres.
Est-ce le départ de cette course que l’on voit sur cette carte postale ?
Si vous avez la réponse à cette interrogation, merci de me laisser un message.

Share Button

Paris 1910 – La grande crue de la seine – Rue Bellechasse – Secouristes militaires portant secours aux habitants

07arrt-paris-La grande crue de la seine- secouristes militaires portant secours aux habitants

La grande crue de la seine- secouristes militaires portant secours aux habitants

Paris 
La grande crue de la seine  (janvier 1910)
Inondation de la rue Bellechasse – Secouristes militaires portant secours aux habitants
éditeur ND Phot. 
Dos séparé – circulé à découvert
§

Les militaires portent secours aux habitants de la rue de Bellechasse, le 28 janvier 1910 le Petit Parisien nous retrace les péripéties de nombreux Parisiens pris par les eaux de la Seine.

L’immeuble portant le numéro 15 de la rue de Solférino qui fait face au ministère de la Guerre a dû être évacué dans la matinée. Une excavation profonde s’est en effet produite devant la porte d’entrée de la maison. L’eau s’y engouffre avec un bruit effrayant.
Le  spectacle  est   vraiment  tragique.
On entend, en effet, dans le lointain, des cris angoissants.
Ce sont les locataires d’un hôtel de la rue Bellechasse qui, à leur réveil, se sont vus bloqués par les eaux. Depuis le matin — il est alors près de deux heures de l’après-midi — ils n’ont rien mangé.
 
On les entend crier : « du pain ! Au secours ! »
Enfin, une barque peut parvenir jusqu’à eux. Un agent arrive les bras encombrés de longues miches de pain. Les « affamés » l’acclament longuement et battent en son honneur un triple ban d’allégresse.
Le lieutenant-colonel Lenfant arrive bientôt sur les lieux avec une compagnie d’infanterie, il essaye de réquisitionner auprès d’un chef de chantier plusieurs paires de bottes d’égoutier. Mais on lui répond qu’il faut… l’autorisation de la Ville de Paris… le visa du préfet, l’enregistrement dû… etc…Bref l’officier supérieur comprend qu’il n’aurait peut-être l’autorisation que dans une huitaine de jours.

Continuer la lecture

Share Button