Paris-au bord de la Seine -le pont Carrousel

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Pécheurs et badauds sont les animateurs tranquilles de ce beau cliché pris sur les bords de Seine.

En arrière plan le pont du carrousel comme vous ne pourrez plus jamais le voir, imaginé  par  l’ingénieur des ponts et chaussées Antoine Rémi Polonceau,  il fut détruit en 1936.

Ce pont était situé dans le prolongement de la rue des saints pères et aurait du s’appeler le  Pont des Saints pères, mais le jour de l’inauguration  en 1834, le roi louis Philippe Ier le baptise Pont du Carrousel.

D’une conception innovante pour l’époque, Rémi Polonceau a réussi à imposer un pont qui ne soit pas un pont suspendu.

Le pont était constitué  de trois arches égales de 47,70m , d’ouverture formées chacune de 6 fermes espacées de 2,80m, les tympans extérieurs étaient constitués d’anneaux de fonte de diamètre décroissant des piles vers le centre, anneaux qui étaient appelés par les Parisiens « ronds de serviette ».

Malgré plusieurs réparation successives le pond est trop étroit pour le trafic parisiens qui s’amplifie, il bouge et devient dangereux, on le juge aussi d’une hauteur insuffisante pour la navigation fluviale.

Enfin, toutes ces raisons sonnent la destruction de ce pont en 1936, qui sera remplacé par un nouvel ouvrage en béton, situé un peu plus en aval.

Seul rescapé de cette destruction, Les quatre statues en marbre du  sculpteur Louis Petitot qui décoraient  l’entrée sur chaque rive de l’ancien pont ,après quelques  hésitations elle seront  conservées pour décorer le nouveau pont.


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Paris – la Bourse

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Paris – la Bourse

BBB

Dos séparé – non circulé

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C’est napoléon Ier qui confie en 1807 l’architecte Alexandre Théodore Brongniart  la construction de ce palais.

Mais Théodore Brongniart meurt en 1813 avant l’achèvement des travaux, c’est finalement Elio Labarre qui prend  la succession de cette mission.

Le 4 novembre 1826  sera inauguré l’édifice qui verra pendant plus d’un siècle les activités boursières françaises et les échanges à la criée.

Ce n’est que le 13 juillet 1987 que sera démonté l’immense corbeille qui était la raison d’être des lieux et l’endroit symbolique ou les cotations se faisaient à la criée avant de  laisser la place à l’informatisation.

la Bourse n’est plus à la Bourse , même les ordinateurs qui font les cotations en temps réel ne sont plus à Paris !

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PARIS – gare du Point du Jour

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PARIS – gare du Point du Jour

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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En 1865, construction du viaduc du Point du Jour .

La petite ceinture est née de la nécessité de faire transiter les marchandises entre les différentes gares parisiennes non reliées entre elles.

Construite de 1852 à 1869, elle sera (comme le métro beaucoup plus tard) victime de son succès et devra s’ouvrir aux voyageurs.

A son apogée en 1900, elle comporte une trentaine de gares, réparties autour de Paris, peu ou prou sur les boulevards des maréchaux.

Le succès du Métro va entraîner sa fermeture en 1934 et la création d’une ligne de bus : le « PC » qui reprendra à peu près le même itinéraire.

Un tronçon (Pont-Cardinet –> Auteuil) est maintenu en service jusqu’en 1985.

texte Dominique
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Croix Rouge Française-Société de Secours aux Blessés Militaires

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Société de Secours aux Blessés Militaires

191. – Hôtel Camastra ,magasin généraux,Vêtements.

Dos séparé – Circulé le 26 juillet 1915

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Le 25 mai 1864, Henri Dunant crée la Société de Secours aux Blessés Militaires (S.S.B.M.) pour venir en aide aux blessés militaires en campagne.

Peu de temps après, a son initiative, le 22 août 1864 est signé La convention de Genève par 16 Pays.

Durant la guerre franco-allemande de 1870-1871 des organisations publics et privés ont créées des groupements appelés « Ambulances » (ex : Ambulances de la presse, ambulance de Bretagne, ambulances municipales, etc…) pour assister les victimes civiles et militaires du conflit. Ces ambulances n’étaient pas affiliées à la Croix Rouge, ce qui a posé des problèmes sur les champs de bataille et a rapidement restreint leurs interventions à Paris et aux arrières. En 1872, la guerre étant terminée, ces ambulances ont été dissoutes ou on rejoint la S.S.B.M.

En 1876, création de cours publics et gratuits pour dames infirmières.

En avril 1877, Création de la 1ère école d’ambulancières des Dames Françaises à Paris.

Quelques années plus tard deux autres sociétés sont fondées dans le même but :
– en 1879, l’Association des Dames de France (A.D.F.) par le docteur Duchaussoy, d’obédience catholique,
– en 1881, l’Union des Femmes de France (U.F.F.) par Mme Koechlin-Schwartz et M. Douglas-Hogg, d’obédience protestante, scission d’une partie de l’A.D.F.

En 1884, édition du premier Manuel de l’Infirmière par l’U.F.F.

En 1895, création du premier hôpital école à Paris par l’A.D.F.

En février 1907, ces trois sociétés créèrent un Comité Central de la Croix Rouge Française sous la présidence du président de la S.S.B.M. car cette dernière était la seule reconnue par le Comité International de la Croix Rouge à Genève. Chaque société gardait son autonomie de gestion.

En 1913, création des premières écoles d’infirmières visiteuses (ancêtres des assistantes sociales).

Pendant la 1ère guerre mondiale ces trois Sociétés ont gérées des hôpitaux auxiliaires, cependant pas avec les mêmes prérogatives. La S.S.B.M.A.D.F. et L’U.F.F. ne pouvaient gérer des hôpitaux auxiliaires que dans la zone de l’intérieur et n’étaient pas autorisées à prêter leur concours à d’autres activités. avait une certaine dépendance vis-à-vis de l’Etat et, de ce fait, autorisée à prêter son concours dans les services avancés de la zone des armées ; elle pouvait y installer des formations auxiliaires, concourir au service des trains sanitaires et les infirmières de gare dépendaient de cette société. L’

En 1916 création du statut d’infirmière de guerre plus communément appelé « auxiliaire ».

Un service de propagande C.R.F. est créé, il est en charge de l’organisation des « Journées Nationales » (quête, affichage, vente d’insigne, etc…).

En 1922, La Croix-Rouge Française de la Jeunesse est fondée dans le but d’enseigner aux enfants l’entraide et l’hygiène.

En 1922, création du diplôme d’état d’infirmière et du diplôme d’état de visiteuse d’hygiène sociale.


Texte : Historique de la Croix Rouge Française

et de la Défense Passive.



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Billancourt – Bords de seine

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Billancourt – Bords de seine

P.Marmusse,Paris

Dos séparé – non circulé

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Tout naturellement une petite ballade en petit  voilier sur la seine ,elle est pas belle la vie !!!

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