Menetou salon – La Place de la Mairie
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Située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire la commune de Menetou salon fait partie du canton de Saint-Martin-d’Auxigny.
Située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire la commune de Menetou salon fait partie du canton de Saint-Martin-d’Auxigny.
Située à 15 kilomètres de Mantes dans le département des Yvelines en région Île-de-France, la ville de Mulcent en 1900 compte 63 habitants administrés par le maire Monsieur Lacosse. l’agriculteur exerçant à Mulcent à cette époque était M. Lhopital. À deux kilomètres de Mulcent la ville de Montchauvet à la même époque compte 358 habitants et abrite les plus proches commerçants pour les Mulcentois et Mulcentoises. Citons quelques noms de ces commerces, les cafetiers Charvet et Chatenet, les épiceries, Bellanger et Chatenet. À noter le charron Descaves et la présence sur la commune du château des Trois Fontaines appartenant à la famille Martin.
Située à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France, Limours est en 1910 administrée par le maire Monsieur Criton (E). À cette époque les 1327 Limouriens et Limouriennes se rendent tous les jeudis sur la place du marché pour acheter les victuailles de la semaine. À noter quand 1910 le château de Limours est la propriété de Monsieur Gripon.
Commune française, située dans le département de la Marne en région Champagne-Ardenne. Saint-Vrain se situe à 12 kilomètres de Saint-Dizier et 28 km de Bar-le-Duc. En 1900 la ville de St-Vrain compte 234 habitants administrés par le maire M. Aubertin (A). A noter à cette époque les deux fabriques de bois de construction appartenant à M. Aubertin (A) et M. Gras (D) et le négociant en grain Mr Robert.
St-Vrain est petite commune française, située dans le département de la Marne en région Champagne-Ardenne. La mairie en 1911 est occupée par le maire M. Abel Gérard qui à la majorité des 211 habitants a été élu. À cette époque la vie est bien calme à St-Vrain et on attend avec impatience le jour de la « fête Dieu » pour faire venir s’amuser en ville. Ce jour-là, les 2 aubergistes Grandjean sortent les tables et les chaises pour faire la fête et boire des canons, comme de coutume à cette époque ou le vin était la boisson national.