Ourville-en-Caux – La Rue Des Dames en 1901

Publié le 22 avril 2013 par Pascal

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1100 . Ourville – Rue-des-dames
Le Littoral (Seine-Inférieure) éditeur L.J.
dos séparé – circulé à découvert en 1907
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Ourville en 1901 est une charmante ville de 1105 habitants, située à 18 kilomètres d’Yvetot.
Le Maire à cette époque est le Conte d’Arantot et son juge de paix s’appelle Monsieur Hamel.En 1901 les commerces sont nombreux, pas moins de 7 épiceries; Chénu (Vve); Defrêne (Vve); Duvey; Lefebvre; Manoury (Vve); Ménard et Toulain; 3 boulangeries; Breton, Deschamps et Follet; 2 boucheries ; Dutot (A), Leclerc; Je serais curieux de savoir combien il y a aujourd’hui de petits magasins à Ourville ?
Comme toujours les enfants sont au rendez-vous du photographe, à gauche de la carte une fillette pousse un landau, d’autres sont sagement assis attendant que le photographe finisse cette séance de photos.
J’ai essayé avec google-maps de voir ce qu’était devenu cet endroit, malheureusement la voiture Google n’est pas passée par cette rue des dames … alors si vous avez l’occasion de prendre un jour une photo de cet endroit …merci d’avance de me la communiquer.

Le Gers à Vic-Fezensac – Rue d’armagnac

Publié le 9 avril 2013 par Pascal

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Le Gers à Vic-Fezensac – Rue d’armagnac

éditeur Buscail au paradis des Dames

Dos séparé – circulé sous enveloppe

Un petit tour à Vic-Fezensac dans le Gers, dans les années 1900 la ville est administrée par le Maire Monsieur Darroux-Brice.

La ville se situe sur la rive gauche de l’Osse à 28 kilomètres d’Auch et à 20 kilomètres de Mouchan, les 3508 habitants de cette époque ont la chance d’avoir 3 grandes foires par an (le 8 mai ,17 aout et le 6 novembre.

L’éditeur de cette carte postale est M.Buscail, propriétaire de la « Mercerie Modes » déjà en activité en 1900.

Dans ce beau pays du Gers , il était normal de trouver des fabricants D’alambic à Vic-Fezensac, ce sont les maisons Dubin et Jaret-Jeune qui tenaient ces commerces, mais il fallait bien ensuite mettre le nectar sorti des alambics dans des tonneaux … et c’est les maisons Baron et Barthe qui avec des vieux bois sélectionnés avec passion qui les confectionnaient.

Sartrouville – l’Avenue de la Gare en 1910 et aujourd’hui

Publié le 22 mars 2013 par Pascal

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Sartrouville – l’Avenue de la Gare

éditeur -Marceline Bourbon – Journaux

Dos séparé – circulé à découvert

Face à nous une automobile fonce à toute vitesse en direction de la poste qui se trouve à quelques mètres dans le dos du photographe.

L’avenue de la Gare, aujourd’hui l’avenue Jean Jaurès était un axe important en 1910 pour les 2550 habitants de cette charmante ville située à 23 kilomètres de Versailles.

Le Maire à cette époque est Monsieur Lecavelé (je pense qu’il était architecte de profession).

En 1910 les Sartrouvillois et Sartrouvilloises ne manquent pas de commerçants et artisans en tous genres, pas moins de 5 bouchers : Maisons, Boufard,Nicolas,Ribeyre (G), Rémond et Simon.

Trois boulangeries sont installées à Sartrouville, les maisons; Baudo, Brizous et Despres; Huit épiceries sont là pour approvisionner les 2550 habitants, les maisons; Bouchet, Bourbon (certainement l’éditeur de cette carte postale), Chauvigné, Driant, Hervé, Lecreux, Maire et Schwartz.

A citer à cette époque la fabrique de Fécule de pomme de terre, Maison ‘Riché’, le mécanicien et constructeur de pressoirs, Mr Piquet, le marchand de charbon Mr Marie et pour finir la liste aujourd’hui des petits commerces et métiers de Sartrouville en 1910 … l’homme qui soignait tous ces braves gens, le médecin monsieur Nouet.

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Voici une vue (google-maps) de l’avenue Jean Jaurès avec un montage photo de l’avenue de la Gare

D’hier à Aujourd’hui – 100 ans après l’édition de la carte postale

Sartrouville-Avenue de la Gare- 100 ans après – d’hier a aujourd’hui – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Thizy – Rue du Bourg en 1910 – éditeur Muzeau

Publié le 18 mars 2013 par Pascal

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Thizy – Rue du Bourg – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

28 – Thizy – Rue du Bourg

Muzeau, éditeur à Thizy

dos séparé – circulé à découvert en 1910

Nous voici à Thizy dans les années 1900, située à 52 kilomètres de Villefranche cette ville de 4892 habitants en 1900 est réputée par ses fabriques très importantes de cotonnades, cretonnes, flanelles, doublures et couvertures.

Chaque premier mercredi de chaque mois , les Thizerots et Thizerotes se retrouvent à la Foire et le mercredi au Marché, le Maire à cette époque est Monsieur Moncorgé (L) en 1911 c’est le docteur Fustier qui occupera cette place.

Sur cette carte postale on peut voir sur la gauche le café de la Croisé-Boizet et le tonnelier Picard, sur le mur on peut lire « Md Vins en gros », vous verrez que cette inscription est encore visible plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale.

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Grâce à Street View de Google Maps, voici une image de la rue Alexandre Cherpin et la rue Saint Roch à Thizy 100 ans après l’édition de cette carte postale.

Thizy – 100 ans après l’édition de la carte postale – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chose quand même assez rare l’inscription Marchand de vin en gros est encore visible plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale.

Marchand de Vin en gros

Paris – Vieux Montmartre – La rue Saint-Vincent en 1900

Publié le 5 mars 2013 par Pascal

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205 – Paris – Vieux Montmartre – La rue Saint-Vincent

éditeur P.P.C Paris

dos simple – circulé à découvert en 1906

Restons à Paris dans le XVIIIe arrondissement.

Ancienne voie de la commune de Montmartre, la rue Saint-Vincent commence rue de la Bonne et finit Rue Girardon et place Constantin-Pecqueur.

Elle provient d’un sentier mentionné en 1325, c’était la « sente » du jardin de l’Abbesse, en 1672 elle est mentionnée comme chemin et en 1825 elle devient le chemin des Ruelles Saint-Vincent, du prénom d’un certain Compoint (propriétaire).

Le célèbre chansonnier Aristide Bruant (1851/1925) habita au numéro 30 de cette rue et composa en 1909 la célèbre chanson rue Saint-Vincent (ou Rose Blanche).

Mais bien sûr d’autres chansons parlent de la rue Saint-Vincent, comme celle écrite en 1955 par Jean Renoir sur une musique de Georges van Parys pour le film French Cancan, cette complainte de la butte sera interprétée par de nombreux chanteurs et chanteuses … mais j’ai choisi l’interprétation de serge Mouloudji

Cartes Postales Anciennes

Cartes Postales Anciennes de Bastille91

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Ourville-en-Caux – La Rue Des Dames en 1901

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