543 – Montmartre – Journée du 18 mars 1871.
éditeur G.C.A , Paris
dos séparé – non circulé
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Le 18 mars 1871 les généraux Clément Thomas et Jules Lecomte sont fusillés rue des Rosiers N°6 ( rue de la Barre actuellement) à Montmartre.
543 – Montmartre – Journée du 18 mars 1871.
éditeur G.C.A , Paris
dos séparé – non circulé
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Le 18 mars 1871 les généraux Clément Thomas et Jules Lecomte sont fusillés rue des Rosiers N°6 ( rue de la Barre actuellement) à Montmartre.
Pyrénées-Ariégeoises
364 — Massat – Place et Avenue de St-Girons
Phototypie Labouche Frères, Toulouse
Dos séparé – non circulé
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Massat, située à 650 mètres d’altitude et à 27 kilomètres de St-Girons est en 1911 une commune de 3267 habitants administrée par le Maire Monsieur Galy-Gasparrou (L.).
Rien ne manque dans cette ville où les magasins et artisans sont nombreux, pas moins de 6 cafetiers; Les maisons, Amiel, Claustre (L), Claustre (P), Dedieu (J), Espaignac et Piquemal.
4 boulangers, Icart, Laffont, Talieu et Troisrieux; 7 épiceries, L’épargne, Gally, Piquemal, Rougé, servat, la Veuve Soula et Vandernoot.
2 pharmaciens, Grasset et Serva (A) attendent les clients du médecin Anel ou des deux Sages Femmes de Massat, Madame Garrabé et Madame Rivière.
Bien sûr d’autres commerces sont installés dans la ville, mais cela me fera l’occasion de refaire un nouveau post avec une prochaine carte de la ville de Massat.
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Un petit tour avec Google maps à Massat 100 ans après que le photographe ait pris ce cliché de cette carte postale.
Un petit montage photo d’avant et de maintenant ou de maintenant et d’avant ..?
Les Pyrénées Ariègeoises
366 – Soulan – Route de Massat
Phototypie Labouche Frères, Toulouse
Cliché Janson
Dos séparé – non circulé
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Un cliché du photographe Janson pour le célèbre éditeur de cette région « Labouche Frères »
Peu de chose à lire dans les bottins des années 1900 sur la commune de Soulan.
Située à 17 kilomètres de la gare de Saint-Girons, cette ville de 1680 habitants en 1911 est administrée par Monsieur le Baron De-Bardies Maire de son état, officier de la Légion d’Honneur et titulaire des Palmes Académiques.
La fabrique de beurre appartient à madame Veuve Barrat, la mercerie et quincaillerie sont aussi tenues par la famille Barrat.
A noter un hôtel appartenant à la famille Morère.
Mais rendons à Castet d’Aleu ce qui est à Castet d’Aleu, car en cherchant une vue sur Google maps, je viens de m’apercevoir que cette vue n’est pas de la ville de Soulan mais bel et bien de la ville de Castet d’Aleu.
Soulan étant situé à environ 4 kilomètres de Castet d’Aleu.
Voici une petite preuve avec une image Google maps et un montage photo où l’on retrouve tous les bâtiments de notre carte postale des années 1900.
Comme quoi il est toujours intéressant de contrôler les légendes des éditeurs..!
Fleville – Vue de Grandpré
éditeur Vve Ravariny – Cliché Durand
Phototypie Combier, Macon
Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1925
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On a plus l’habitude de trouver des cartes de Fléville venant de Saint Juvin que de Grandpré mais le photographe Mr durand en avait décidé autrement.
Fléville est une petite ville des Ardennes située à 10 kilomètres de Grandpré et de 5 kilomètres de Saint Juvin.
Mais allons faire faire un petit tour en 1911 à Fléville … Le maire est Monsieur Levasseur (A), agriculteur de son métier.
Le bon pain est fait par les boulangers Gérard et Mater, le petit café ou le verre de rouge se boivent chez Bigault (Cel), Dromart, Gillet et Morin.
les Flévilloises font leurs courses dans les épiceries Bigault ( C) et Dartois et achètent les plats et moules à gâteaux chez le ferblantier Bourgrain.
Pour la laine mérinos passons voir Mr Lesage, Mr Levasseur Célestin et Levasseur Mabille.
Bien sur, pas de ville dans les années 1900 sans maréchal-ferrant, les maisons Estennevin et Montchot s’occupent bien des chevaux pendant que le charron Mr Prioux se charge des attelages en tous genres.
Citons avant de partir de Fléville, les cordonniers Mr dartois et Mr Touly, les menuisiers Mr Albert, Mr Collinet et le tailleur Mr Gilbin.
718 – Paris Vieux Montmartre – La Rue du Mont-Cenis
éditeur LL. (Levy Lucien fils )
Dos séparé – non circulé
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Allons faire un petit tour dans le célèbre quartier de Montmartre, mais plus exactement rue du Mont-Cenis.
Cette rue Mont-Cenis provient d’un vieux chemin très abrupt accessible aux piétons, ânes et mulets pour accéder à la butte Montmartre par son versant nord.
Reliant ainsi l’abbaye de Saint-Denis à celle de Montmartre le chemin était emprunté tous les sept ans par les moines de Saint-Denis pour la procession.
Tout naturellement ce chemin fut appelé « Chemin de la Procession », on le nomma plus tard « Petite rue Saint-Denis « dans sa partie comprise entre les rues Norvins et Marcadet, « Chaussée Saint-Denis » au-delà et « rue Mont-Cenis » vers 1868.
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Source: Dictionnaire historique de Jacques Hillairet