Gournay – La Marne au Quai des Patis – Les pêcheurs

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377 . Gournay – La Marne au Quai des Patis
Gournay
Dos séparé – circulé en 1907

Gournay est située à 44 kilomètres de Pontoise dans le département de la Seine-Saint-Denis, la ville de Gournay en 1910 compte 341 habitants (et oui ) c’était une petite ville …!  C’est un pur hasard quand j’ai choisi cette carte postale  mais le Maire de cette époque s’appelait  Monsieur « Pécheux » ça ne s’invente pas..!

En ce qui concerne les commerces, citons le fabricant de chaussures Mr Bernard, l’épicier Mr Bourgois, les restaurateurs, maison Arnout fils, Bertrant, Bourgois, Lantrain, Regnier et Tassé. A noter aussi la présence à cette époque de l’établissement Poliet & Chausson spécialiste des plâtres pour la construction et des Arts, et où le siège social se situait au 131 Quai de Valmy à Paris.

Il n’y a rien à faire mais quand j’ai devant moi une carte postale représentant des pécheurs , mon cœur palpite et mes pensées vont à mon père qui était comme ces pêcheurs sur cette carte postale un passionné de cette discipline.

je n’ai pas eu beaucoup l’occasion de partir avec lui pêcher sur une barque mais je ne compte plus les parties de pêches sur les rives des nombreuses rivières ou lacs de France et nos bourriches remplies d’ablettes et de gardons.

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Reims – Rue de Vesle – Vue de la Passerelle du Canal

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3  –  Reims  – Rue de Vesle – Vue de la Passerelle du Canal

éditeur S.D.T

Dos séparé – circulé à découvert en 1907

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Tout est calme dans la rue de Vesle dans les années 1910, Reims est une belle et grande ville de 109859 habitants administrée par le maire de l’époque Mr Langlet (JB).

Le nationaliste serbe, Gavrilo Princip n’a pas encore abattu l’archiduc d’Autriche à Sarajevo et la grande guerre de 1914/1918 n’a pas encore commencé..!

Je parle de cet attentat car la ville de Reins ne sera pas épargnée par cette guerre , en aout 1914 les Allemands obligent l’armée Française à se replier Reins est alors à la merci des ennemis de la France.

L’occupation de la ville sera de courte durée et le 13 septembre l’armée Française défile dans la ville, mais pendant près de quatre ans Reins sera bombardée presque sans interruption.

En octobre 1918, la ville martyre est quasiment détruite et sur les 14 000 immeubles que comptait la ville de Reims une cinquantaine d’habitations sont encore habitables.  

Voici une photo de la Rue de Vesle – Vue de la passerelle du Canal après le passage des Allemands …. c’est impressionnant…!

La rue de Vesle après le départ des allemands

La rue de Vesle après le départ des allemands

 

 

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Ville de Vertus – Marne – Place de la Grande-Fontaine

51-Vertus-Place de la grande-Fontaine – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Vertus – Marne – Place de la Grande-Fontaine

édition J.D

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

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Aujourd’hui, direction la Champagne-Ardenne sur la place de la Grande Fontaine à Vertus.

Située à 32 kilomètres de Châlons et 164 kilomètres de Paris, Vertus est en 1900 une ville de 3000 habitants administrée par le maire Monsieur Bonnet (C. C).

Bien sur en 1900 Vertus ne manque pas de commerces et d’artisans, pas moins de 5 boucheries, 6 boulangeries et le nombre faramineux de 12 épiceries pour 3000 habitants.

Mais aujourd’hui citons quelques noms de métiers que l’on ne retrouve quasiment plus dans nos villes françaises..

Les Bourreliers de Vertus étaient, Mr Crété , Mr Guillaume (G) et (P), Mr Madelena, MrMichelet ; Le Chapelier Mr Durant; Les Charrons Mr Bonhomme, Mr Crété et Renault (L);  Les Couteliers Mr Gratiot et Reuter; Les Ferblantiers Mr Bassing, Mr Charoy, Mr Chenayer et Mr Rémy; Les Perruquiers Mr Bonnet, Mr Guerrin , Veuve Radet, Mr Sibille et Mr Sire.

Retrouvons cette place 100 ans après grâce à Google-Maps, accompagnée d’un petit montage photo pour le plaisir. 

Vertus la place de la Grande Fontaine 100 ans Après – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Gournay en 1900 – la Marne au Quai des Patis

Gournay la Marne au quai des Patis – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

377 . Gournay  –  la Marne au Quai des Patis

E.M ( éditeur Malcuit,phot.édit.Paris

Dos séparé – circulé à découvert en 1907

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On peut difficilement imaginer que Gournay-sur-Marne en 1901 ne comptait que 282 habitants.

Les pêcheurs en barques à cette époque sont nombreux à être au rendez-vous des gardons et brochets de la Marne.

 Situé à 50 kilomètres de Pontoise le Maire de cette époque est Monsieur Roger-Ballu.

Les restaurateurs sont nombreux à Gournay en 1901, certainement les bords de Marne y sont pour quelque chose.

Pas moins de 5 restaurants : la Maison Arnout (fils) ; Danquigny ; Régnier; Roux et Sevin. 

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Châlons sur Marne l’école d’Arts et métiers promotion 1908-1911

Chalons sur Marne école d'Arts et métiers - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

École d’Arts et métiers de Chalons-sur-Marne Promotion 108-111   ( 1908 / 1911)

G.Durant, Photo, Chalons-sur-Marne

Dos séparé circulé à découvert en 1909

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Au verso de cette carte postale un conscrit de la 108-111 écrit à un camarade de l’école nationale d’Arts et Métiers à Lille.

 L’histoire des Arts et Métiers commence à Châlons en 1806, mais La première école des arts et métiers est fondée en 1780 à liancourt par   le duc de la Rochefoucauld-Liancourt.

De  nombreux ‘Gadz’Arts ou Gadzarts’ ( nom donné aux élèves)  laisseront leur nom dans l’histoire en révolutionnant l’industrie française par leur génie.

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Texte sur le site de l’association des élèves de l’école de Châlons en Champagne

« Châlons sur Marne en 1806

Vers la fin de 1805 Napoléon 1er allant visiter les camps de Compiègne et de Boulogne sur Mer, s’arrêta au château de Compiègne où il avait fait installer, quelques années auparavant, l’Ecole de Liancourt devenue alors Ecoles d’Arts et Métiers. L’Empereur examina avec intérêt le casernement de l’Ecole, assista aux exercices des élèves dans les classes et dans les ateliers, il se promena sur la magnifique terrasse qui domine la forêt. Considérant la résidence de Compiègne, il se dit que l’Ecole n’était pas à sa place dans un palais et que le château lui-même avec sa forêt mérovingienne, son site enchanteur, ses environs admirables devrait souffrir de la présence de cette école industrielle.

Aussi, dès le 5 septembre 1806, l’ancien grand séminaire de Châlons, le couvent de la Doctrine et le couvent de Toussaint furent mis par décret à la disposition de l’Ecole qui devait s’y transporter rapidement et qui s’y installa dans le courant du mois de décembre de la même année.

Les bâtiments de l’ancien séminaire furent affectés au casernement des élèves et à l’installation des études et des classes. Les annexes du couvent de la Doctrine furent consacrés en grande partie aux ateliers, aux communs et aux magasins de l’Ecole. Enfin les constructions du couvent de Toussaint reçurent les bureaux de l’Administration et furent aménagés, pour servir d’habitation aux principaux fonctionnaires de l’Ecole. »

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