Héron ou Cigogne à comportement humain – Caricature de Staub

Héron à comportement humain - Caricature de Staub

Héron ou Cigogne à comportement humain – Caricature de Staub

Héron ou Cigogne à comportement humain – Caricature de Staub
dos simple – circulé et posté à Pau le 8 septembre 1902 
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Voici la première carte postale d’une petite série de 3 Cpa de l’illustrateur et caricaturiste Staub. Aujourd’hui Héron ou Cigogne à vous de choisir. À noter que ces cartes portent un petit texte rajouté par un certain Henry qui savait manier la plume en jouant avec les mots. « Le Malade (anxieux) – l’Esculape (rassurant)- Tout ça docteur ? Tranquillisez vous… ce n’est pas avec le nez que j’opère.! »  ‘Esculape dieu romain de la médecine’

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Un Bonjour du Boulevard Poissonnière – Oiseaux et panier de Fleurs

Un Bonjour du Boulevard Poissonnière - Oiseaux et panier de Fleurs

Un Bonjour du Boulevard Poissonnière – Oiseaux et panier de Fleurs – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Un Bonjour du Boulevard Poissonnière – Oiseaux et panier de Fleurs
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Voici une belle colombe pourtant un petit panier rempli de fleurs et une lettre…Le tout est décoré de petits noeuds en tissus bleus. Ces cartes fantaisies sont souvent appelées aussi cartes à systèmes ajouti.

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Carte Postale Ancienne – Tout Paris – Le Charmeur d’Oiseaux du Parc Monceau

Carte-Postale-Ancienne-Tout-Paris

Carte Postale Ancienne – Tout Paris – Le Charmeur d’oiseaux du Parc Monceau

 

Tout Paris – 1628 –  Le Charmeur d’Oiseaux du Parc Monceau
Collection F.Fleury
Dos séparé-circulé à découvert en 1908
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Cette collection Tout Paris est vraiment exceptionnelle, à chaque fois que l’on rencontre ces cartes on ne peut pas s’empêcher de rêver au Paris des années 1900. Aujourd’hui un charmeur d’oiseaux qui s’était installé dans le parc Monceau. Dès qu’il arrivait dans une des allées du jardin, Pierrots et Pierrettes, ces gamins de l’air, se précipitaient vers le charmeur, abandonnant les arbres sur lesquels ils étaient perchés. Ils les connaissaient si bien ! D’abord, ils s’emparaient des miettes que le charmeur jetait de côté et d’autre, puis ils s’enhardissaient, ils sautillaient sur ses épaules, sur ses bras, sur sa tète même, et ils lui arrachaient les boulettes de pain qu’il roulait entre ses doigts, que parfois il tenait entre ses lèvres. Et vous pensez si, pendant ce banquet pittoresque, les oiseaux piaillaient, hochaient la queue, battaient des ailes ! Et on voyait les passants aussitôt arrêtés, émerveillés et souriants, regardant avec admiration, au milieu de cette ronde de moineaux en l’été, ce brave homme qui, d’un geste de semeur, jetait à ses convives ailés les miettes du festin !  

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Paris – Le Charmeur d’oiseaux – Monsieur Pol aux Tuileries

01arrt-le Charmeur-d'oiseaux Monsieur Pol aux tuileries  - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

01arrt-le Charmeur-d’oiseaux Monsieur Pol aux tuileries – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 614  –  Paris – Les Tuileries, le Charmeur-d’oiseaux
éditeur ND Phot
dos séparé – circulé à découvert en 1907
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Durant plus de quarante ans Monsieur Henri Pol était, pour les petits oiseaux des Tulleries, une espèce de providence. Chaque matin, on pouvait le voir, penché sur la margelle du petit bassin, de l’ancien jardin du Prince impérial, dans l’eau duquel il trempait du pain pour préparer la pâte de ses petits pensionnaires qui,  posés sur les gazons, tout près de lui, pépiaient avec impatience.
Tous les petits amis de ce brave homme avaient leur nom et tous répondaient à sa voix,« Blanchette », une petite Pierrette qui, douze années durant, fut habituée à son restaurant; de M. Toto, qui s’égara et revint après plusieurs années à l’appel de son nom ; de Chamberlain, qui était chargé de « passer à Tabac » les autres moineaux qu’il désignait ; de Joseph le danseur et tous les autres.

De très nombreuses cartes postales ont été éditées par de multiples éditeurs, car en plus d’etre charmeur d’oiseaux, Monsieur Pol était aussi un poète qui accompagnait ces cartes postales de poèmes dédiés à l’amour des oiseaux.

Ces oiseaux des tuileries étaient sa famille depuis qu’il avait quitté l’administration des postes, où il avait été employé durant quarante ans, à sa mort en 1918 La revue du petit parisien lui fit un hommage en écrivant ceci : 

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Un Coin du marché aux Oiseaux – Place Louis Lépine en 1900

Marché aux oiseaux – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

90 . Paris . Un Coin du marché aux Oiseaux

éditeur : MASSIAS  Paris

Dos simple – Non voyagé

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Une autre carte de l’éditeur Masias du marché aux Oiseaux situé depuis 1808 sur la Place Louis Lépine et Quai de Corse.

Cette carte nous montre une autre vue que la carte postale d’hier le photographe s’est rapproché des pavillons métalliques placés vers la rue Aubé .

En premier plan notre vendeur d’oiseaux est venu accompagné de trois petites biquettes, une blanche qui se tient debout, une noire et une autre petite blanche assise au fond de la poussette.

(Pour les intrigués du mot poussette … c’est bien le nom que l’on donnait à ces engins de transport à trois roues en 1900 … à ne pas confondre avec la voiture à bras qui elle ne comportait que deux roues et une béquille.)

Encore une petite carte postale qui va faire remonter à la mémoire d’une amie … de trés bons souvenirs d’enfance …!

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