Paris – Rue de Charonne,vue prise de la rue trousseau

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Paris – Rue de Charonne,vue prise de la rue trousseau

Photo-Phono Paris

Dos séparé – circulé à découvert le 19/08/1906

§

Une partie de mon quartier ou j’ai passé mon enfance ,comme on disait « LA rue de charonne »

la, ou JoJo les grande paluches jouait à la belote avec mon père.

La rue des fournisseurs des tapissiers , le café de « l’armagnac » avec son billard et les partie interminable de casin ou de trois bandes.

Le magasin de couleur ,avec sa vitrine remplie de petits soldats et de petites voitures qui valent si chères aujourd’hui.

Mon quartier , ma jeunesse !!


Share Button

Paris – La Halle Aux Cuirs Incendiée

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Paris – la halle aux cuirs Incendiée les 11 et 12 mais 1906

Édition; Marmuse

Dos séparé – non circulé

§

Dans la nuit du Vendredi 11 mai 1906, les 15 000 m2 de la halle aux cuirs brûlent, dans le quartier du jardin des plantes, une odeur pestilentielle réveille les habitats.

Les gens se lèvent et se dirige vers la rue Censier, les flammes dépassent 40 mètres de haut.

Les habitants de Paris arrivent de toute part pour voir ce feu gigantesque, les étincelles projetées s’éparpillaient en fusées d’artifice, une fumée noire de plus de 200 mètres de haut envahit le quartier.

Le feu va couver pendant une semaine, il n’y aura aucune victime mais le bilan financier est lourd plus de 10 millions de dégâts .

Share Button

Montmartre – Une après-midi-sur la bute

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Montmartre – Une après-midi-sur la bute

éditeur G.C.A.,paris

Dos séparé – circulé à découvert le 06/05/0905

le timbre est  collé au trois quart sur le  verso de la carte.

§

Agrandissez la carte ,et regardez ces visages d’ enfants ,c’est tout !!

Share Button

Paris -Rue Jean Nicot

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

895 – Paris -Rue Jean Nicot

Éditeur, ND phot

Dos séparé – circulé a découvert le 31/10/ 1907

§

Si il y a une rue bien  populeux dans paris c’est bien la rue Jean Nicot .

Les soldes existe déjà , au loin à droite sur la façade d’une petite maison un panneau indiquant les soldes .

Encore plus loin et plus haut une publicité peinte sur la façade d’un immeuble   pour la moutarde Diaphane.

La « moutarde Diaphane » fut lancée sur le marché vers 1865. Elle connut un vif succès et sa fabrication atteignit jusqu’à 5 millions de pots par an.


Share Button

Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

1702 Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain ,intérieur du caisson
éditeur ND Phot
Dos séparé – non circulé
§

la station Saint-Michel
de la ligne 4, en construction, au niveau du sol, Place Saint-Michel. La traversée de la Seine par la ligne 4, commencée en août 2005, et terminée en décembre 1909, était la première effectuée par le Métropolitain, et a exigé de la part des ingénieurs, la mise en œuvre de techniques originales, dont certaines ont été reprises d’ailleurs ces dernières années pour les prolongements en grande banlieue des lignes existantes.

Les stations Saint-Michel et Cité, à proximité immédiate de la Seine, ne pouvaient être construites par les moyens habituels (creusement en souterrain) en raison des risques d’infiltration des eaux de la Seine dans le chantier. On a donc construit les deux stations à l’air libre, au niveau du sol. Chaque station comprenait 3 caissons métalliques : le caisson central (représenté sur ta carte) de 66m de long, et à ses extrémités, deux caissons à axe vertical et base elliptique de petit axe 18,5m et grand axe 26m, qui recevront les escaliers et ascenseurs d’accès.

Tout cet ensemble a été construit au-dessus de son emplacement définitif. Du béton fut coulé à l’intérieur de l’ossature (entre parois extérieure et intérieure de la charpente), le poids total de l’ensemble atteignant 11000 tonnes. Ensuite ?

C’est tout simple! On creuse sous la station, et …. elle s’enfonce dans le sol jusqu’à atteindre son emplacement définitif. A Saint-Michel, l’altitude (cote) du rail est 18,55m, alors que la voie publique est à 34,02m soit 15 mètres plus haut.

Les ouvriers travaillaient dans une « chambre » à la base de la structure. Ils étaient « ravitaillés » en air frais au moyen de pompes maintenant une certaine pression dans la chambre de travail, à la fois pour permettre aux ouvriers de respirer, et pour éviter les infiltrations d’eau.

Le plus remarquable dans tout cela, c’est que la même méthode fut employée pour mettre en place les caissons qui permettent au métro de franchir la Seine.
Les caissons, d’abord « coulés » de façon à reposer sur le lit de la Seine, furent ensuite « foncés » dans le fond même du fleuve, de sorte qu’aujourd’hui, entre Cité et Saint-Michel, on a , au-dessus de la tête, une bonne épaisseur de terre, puis l’eau de la Seine, et enfin l’air libre et les petits oiseaux.

Texte:Dominique1594
Share Button