Plaisance-du-Gers-Un coin de la grande place et Rue Centrale

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Plaisance-du-Gers-Un coin de la grande place et Rue Centrale

Dos séparé – circulé à découvert

§

Chef lieu de canton de 1500 habitants, Plaisance est située à l’Ouest du département du Gers,sur la route de Bordeaux à Tarbes,aux confins des Landes, des Hautes Pyrénées et des Pyrénées Atlantiques



Share Button

CORBEIL – Place du Marché

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

CORBEIL – Place du Marché

Édition A. Bonvalot ,Corbeil

Dos séparé – non voyagé

§

Longtemps, la place du Comte Haymon s’est appelée  place du marché avant de prendre le nom de Roger Salengro, ministre de l’Intérieur du Front populaire de 1936.

Share Button

Noyers

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images

37- Noyers – Un vieux coin – Petite Rue

Edit .Frontier,Tabac – Dos séparé

Circulé à découvert avec une franchise Militaire.

§

Noyers ,cité médiévale préservée dans le département de l’Yonne

On y compte pas moins de 78 bâtiments classés ou inscrits monuments historiques  datant pour la plus part du XVe siècle

Quelques places  du village, on garder des noms évocateurs comme la Place de la Petite-Étape-aux-Vins, Place du Grenier-à-Sel ou la Place du Marché-au-Blé,


Share Button

Paris-Rue du Temple -Place de la République

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

34 – Paris – Rue du Temple – Place de la République

Dos séparé – non circulé

éditeur . P.F.Paris

§

Au premier plan, l’entourage Guimard de la station Temple, cette station sera ouverte en 1904

Au loin le monument de la Place de la République.

En 1879 le préfet Hérold, organise un concourt pour édifier un monument à la gloire de la République dans la capitale, c’est Léopold Morice et son frère Charles qui  remporteront le concours, avec cette statue en bronze haute de 9.50m reposant sur un piédestal de 15.50m

Share Button

Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

Vous pouvez cliquer sur les cartes pour agrandir les images en 1024px

1702 Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain ,intérieur du caisson
éditeur ND Phot
Dos séparé – non circulé
§

la station Saint-Michel
de la ligne 4, en construction, au niveau du sol, Place Saint-Michel. La traversée de la Seine par la ligne 4, commencée en août 2005, et terminée en décembre 1909, était la première effectuée par le Métropolitain, et a exigé de la part des ingénieurs, la mise en œuvre de techniques originales, dont certaines ont été reprises d’ailleurs ces dernières années pour les prolongements en grande banlieue des lignes existantes.

Les stations Saint-Michel et Cité, à proximité immédiate de la Seine, ne pouvaient être construites par les moyens habituels (creusement en souterrain) en raison des risques d’infiltration des eaux de la Seine dans le chantier. On a donc construit les deux stations à l’air libre, au niveau du sol. Chaque station comprenait 3 caissons métalliques : le caisson central (représenté sur ta carte) de 66m de long, et à ses extrémités, deux caissons à axe vertical et base elliptique de petit axe 18,5m et grand axe 26m, qui recevront les escaliers et ascenseurs d’accès.

Tout cet ensemble a été construit au-dessus de son emplacement définitif. Du béton fut coulé à l’intérieur de l’ossature (entre parois extérieure et intérieure de la charpente), le poids total de l’ensemble atteignant 11000 tonnes. Ensuite ?

C’est tout simple! On creuse sous la station, et …. elle s’enfonce dans le sol jusqu’à atteindre son emplacement définitif. A Saint-Michel, l’altitude (cote) du rail est 18,55m, alors que la voie publique est à 34,02m soit 15 mètres plus haut.

Les ouvriers travaillaient dans une « chambre » à la base de la structure. Ils étaient « ravitaillés » en air frais au moyen de pompes maintenant une certaine pression dans la chambre de travail, à la fois pour permettre aux ouvriers de respirer, et pour éviter les infiltrations d’eau.

Le plus remarquable dans tout cela, c’est que la même méthode fut employée pour mettre en place les caissons qui permettent au métro de franchir la Seine.
Les caissons, d’abord « coulés » de façon à reposer sur le lit de la Seine, furent ensuite « foncés » dans le fond même du fleuve, de sorte qu’aujourd’hui, entre Cité et Saint-Michel, on a , au-dessus de la tête, une bonne épaisseur de terre, puis l’eau de la Seine, et enfin l’air libre et les petits oiseaux.

Texte:Dominique1594
Share Button