Vacances de 1904 – l’Oeuvre des Pupilles de la Presse

Vacances-de-1904-Pupilles-de-la-Presse

Vacances de 1904 – l’Oeuvre des Pupilles de la Presse – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Vacances de 1904 – l’Oeuvre des Pupilles de la Presse 
Cliché Sartony – édition de la Presse – Phototypie Pierre Colman, Paris 
dos séparé – circulé à découvert en 1904 
§
Le Bien qu’on fait parfume l’âme, on s’en souvient toujours un peu …. Victor Hugo
l’Oeuvre des pupilles de la presse procure quinze jours de campagne, de grand air et de santé aux petits Parisiens des faubourgs. 

 Voici ce que l’on pouvait lire en 1905… Dans un beau mouvement de cha
rité, notre excellent confrère M. Léon Bailby, 
l’éminent directeur de la presse fondait en 1903 l’oeuvre des pupilles de la Presse. Cette idée depuis a fait son chemin. En envoyant chaque saison
 des milliers d’enfants de Paris passer plusieurs 
semaines au grand air, loin de la poussière et
 de l’air vicié des villes, la presse et son directeur ont fondé là une oeuvre , que chacun doit soutenir et encourager, selon ses moyens, et que nous ne désespérons pas de voir un jour reconnue d’utilité publique.  

Share Button

Le Petit Journal Grande cour des Expeditions et des Départs

Le-Petit-Journal-Grande-cour-des-Expeditions-et-des-Départs

Le Petit Journal Grande cour des Expéditions et des Départs – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Petit Journal Grande cour des Expéditions et des Départs

Dos séparé – non circulé 

§

Nous voici au beau milieu des poussettes et attelages hippomobiles du célèbre quotidien parisien républicain et conservateur du  » Petit Journal » créer en 1863 par Moïse Polydore Millaud (1813/1871) journaliste, banquier, grand entrepreneur de presse du XIX siècle. Voici ce que l’on pouvait lire en 1900 sur ce journal: « Le Petit Journal, quotidien est le plus répandu de tous les journaux du monde avec un tirage de plus d’un million d’exemplaires chaque jour ». Pour revenir à cette carte postale et aux poussettes que l’on voit au premier plan, j’ai bien écrit poussette, car c’est le nom exact que l’on donnait à ces engins de transport à trois roues en 1900 … à ne pas confondre avec la voiture à bras qui elle ne comportait que deux roues et une béquille.     

Share Button