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Saint-Cyr-sur Mer – Représentation de Bienfaisance en1915

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Saint-Cyr sur Mer -Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Saint-Cyr-sur-Mer – Représentation de Bienfaisance en1915

Mme J.ISNARDON ,entouré (de gauche à droite ) de Mlle Gravier , Jacquemet , Tessier , J.Arnaud ,Estienne ,Mathieu ,Saurin ,L.Arnaud ,Ventre .

Imprimerie CATALA ,France – Paris –  31 rue de Bellefond

Dos séparé -Voyagé sous enveloppe .

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Le mot rarissime pour cette carte est peut être un peu fort  ,mais très peu courante certainement .
Mme J.ISNARDON devait avoir une grande renommée en 1915 à Saint-Cyr-sur-Mer, pour qu’elle soit représentée sur cette carte postale accompagnée de ces charmantes jeunes femmes.
Au verso de la carte ,on peut lire la correspondance de Madame J.ISNARDON envoyée à Monsieur L’Esculteur, lui annonçant qu’elle ira admirer ses œuvres dimanche à Bandol .Et bien voila une carte bien mystérieuse pour moi , mais si vous connaissez l’histoire de cette famille ISNARDON  à Saint-Cyr-sur-Mer ou si vous avez entendu parler d’un certain Monsieur L’Esculteur à Bandol, merci de me laisser un commentaire afin de comprendre un peu mieux cette carte postale .

Suite au message de Frédéric voici la preuve en image que Madame J.ISNARDON était aussi Lucy FOREAU

Soprano (1880- ? ). Débute, sous le nom de Lucy FOREAU, le 12 avril 1908 dans TANNHÄUSER (Vénus). Chante ensuite, sous le nom de Lucy Isnardon, MONNA VANNA (Monna Vanna, 1919), SALOMÉ (Salomé) de Mariotte (1919), PAILLASSE (Nedda, 1920), GOYESCAS (Rosario, 1920), LA DAMNATION DE FAUST (Marguerite, 1921), HERODIADE (Salomé, 1922), LA WALKYRIE (Sieglinde, 1923), LES MAITRES CHANTEURS DE NUREMBERG (Eva, 1923). Crée LES TROYENS (Cassandre).

ISNARDON Lucy -dite aussi Lucy FOREAU-Soprano

ISNARDON Lucy -dite aussi Lucy FOREAU-Soprano

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Marseille -Groupes de Pêcheurs dans le vieux Port

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Marseille- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

307  –  Marseille -Groupes de Pêcheurs dans le vieux Port

éditeur – E.L

Dos séparé – circulé à découvert en 1923

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Aujourd’hui ,le soleil n’étant pas au rendez ,partons faire un petit  tour à  Marseille ou normalement le soleil est très souvent présent.

Sur cette carte de l’éditeur E.L  ( E. Lacour Photographe installé 19  rue Thubaneau à Marseille) ,des pêcheurs s’activent autour de 2 barques de pêche.

Demain le soleil revient sur l’Yonne , nous irons faire un tour à Saint Florentin !!


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Nice – l’Église Saint-François-de Paul et l’Opéra

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Nice , Saint François de Paule - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

18   –   Nice – l’Église Saint-François-de Paul et l’Opéra

éditeur B.F,Paris

Dos séparé -circulé à découvert en 1905

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A quelques mètres des portes de l’opéra et de l’église Saint François de Paule cette rue était  bien connue aussi des niçois pour son célèbre marché aux fleurs.

Le petit garçon sur le devant de la carte attire tout de suite l’attention, mais derrière lui la vendeuse de fleurs parle à une femme portant une très chic tenue.

A la droite de cette femme tenant un panier d’osier marche à mon avis une domestique qui porte les courses de Madame.

Rien d’étonnant pour l’époque, de nombreuses familles aristocratiques ou bourgeoises se devaient d’avoir recours aux services de bonnes à tout faire et de domestiques divers. 

Ces bonnes à tout faire venaient très souvent du milieu paysan et c’est leur propre famille  qui pensait que la domesticité de leur fille pourrait les aider financièrement.

Il est vrai qu’à cette époque les salaires d’usines ou de fermes étaient peu élevés et l’idée d’être payée nourrie et logée attirait de nombreuses jeunes femmes à la ville.

L’idée d’un beau mariage avec une personne de la ville n’était pas à écarter, mais si un mariage ne se faisait pas il était toujours possible de revenir au pays pour se marier et aider la famille avec les économies de plusieurs années de servitudes de

« bonne à tout faire ».

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Marseille – la Corniche vue de chez Roubion

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Marseille - chez Roubion - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

53 bis Marseille – la Corniche vue de chez Roubion .
phototypie E. lacour – Marseille .
Dos séparé – circulé à découvert

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ROUBION , a été dés 1860  le propriétaire du  « Palace hôtel », l’établissement dominait la Corniche de l’anse dite ‘du prophète’.

Le restaurant de l’hôtel, « La Réserve » doit son nom aux grands viviers de crustacés et de coquillages qui avaient été construits directement dans la mer et qui servaient de garde manger au restaurant .

L’établissement ,aura ses heures de gloire et jouira d’une grande réputation pendant des décennies recevant le gratin de la bourgeoisie qui découvre les joies et les vertus des bains de mer et du thermalisme .

Dans les années 1960 les grands projets immobiliers et urbains  auront le dernier mot de cette corniche, le Palace Hôtel et son restaurant fermeront les portes et éteindront les fourneaux en 1969 ,laissant place à un complexe immobilier qui ne gardera que le nom du restaurant en souvenir de cette belle époque que fut la corniche et son restaurant !

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Régiment avant la revue

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555  –  Régiment avant la revue

Edition Gilletta ,phot,Nice

Dos simple – circulé à découvert en 1907

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La grande revue se prépare , Mais ou ?

Si vous avez une idée ,merci de me laisser un commentaire !

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