Le Perreux – Inondations 1910 – Les Zouaves donnant la chasse aux Pillards
Éditeur Fleury Fréres
Dos séparé – circulé à découvert
§
Le Perreux de 1910 était prisé par les parisiens relativement aisés qui souhaitaient s’installer à la campagne, au moment des beaux jours.
Les résidences secondaires, restaient souvent inoccupées durant la mauvaise saison.
Elles devenaient alors des proies faciles pour les pillards d’où l’habitude de les équiper sommairement, et parfois de les vider de leur mobilier à la fin de l’été.
Mais la crue de 1910 de la Seine et de ses affluents comme la Marne allait isoler encore plus ces résidences
Les pillards voulant profiter de cette situation redoublaient d’efforts pour les piller.
La municipalité dut faire appel à des détachements de zouaves stationnés au fort de Nogent, pour maintenir un semblant de sécurité.
Finalement, le niveau de l’eau se stabilisa le 27 janvier, et le « nilomètre » indiquait 39m07 (au pont de Bry, 39m26 à la passerelle), soit plus de 5m au-dessus du lit habituel de la Marne.
Il faudra pratiquement attendre la fin du mois de février, pour que la Marne retrouve son lit, et l’on mesura alors l’ampleur des dégâts.
•
Une deuxième carte nous montrant un Zouave montant la garde devant une belle villa rue des Fleurs au Perreux
Le Perreux – Inondation de Janvier 1910
Avenue des Fleurs
éditeur E.M. – dos séparé circulé à découvert en 1910
Superbes CPA.
Merci pour ce message
Cartophilement
Pascal