Archives de catégorie : Histoire de l’aviation

histoire de l’aviation de Clément Ader à 1910

Histoire de l’Aviation – En 1909 le premier Maurice Farman

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Histoire de l'Aviation - En 1909 le premier Maurice Farman

Histoire de l’Aviation – En 1909 le premier Maurice Farman

Histoire de l’Aviation – En 1909 le premier Maurice Farman
Carte N° 46 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Maurice Farman, le frère du célèbre aviateur Henri Farman, sportsman fameux, lui aussi, dans l’histoire du cyclisme et de l’automobilisme, aborde à son tour l’aviation, avec le concours de M. Neubauer, son associé du Palais de l’automobile le nouvel aéroplane que viennent de lui construire les grands ateliers aéronautiques Maurice Mallet, est actuellement en essai à l’aérodrome de Bue. L’aéroplane Maurice Farman est un biplan à queue stabilisatrice et gouvernail de profondeur à l’avant, avec gauchissement des plans. Les premiers vols et les essais du Maurice Farman ont commencé à Continuer la lecture →

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l’Histoire de l’Aviation – Le Triplan de Henri Farman

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l’Histoire de l’Aviation – Le Triblan de Henri Farman 
Carte N° 45 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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L’aéroplane d’Henri Farman a subi une modification importante dont l’aviateur parait très satisfait : de biplan, il a été transformé en triplan, par l’addition d’un panneau entoilé supplémentaire de 6 m. 50 d’envergure sur 1 m. 50 de longueur antéro-postérieure, pesant 25 kilogrammes. Monté au-dessus de la partie antérieure de l’ancien plan porteur supérieur. Pour rétablir le parfait centrage de l’appareil, la cellule stabilisatrice d’arrière sera Continuer la lecture →

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Histoire de l’aviation – 1908 – l’Antoinette

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Histoire de l’aviation – l’Antoinette 
Carte N° 44 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le 9 octobre 1908, la société d’aviation Antoinette, fondée par messieurs Léon Levasseur et Jules Gastambide, fait voler pour la toute première fois le dernier appareil sorti de ses ateliers de Puteaux, à savoir le monoplan Antoinette n° 4 affichant 11,30 mètres d’envergure pour 27 mètres carrés de surface portante, dénommé ainsi en l’hommage de la fille de Jules Gastambide. Un vol inaugural qui va se dérouler dans le ciel d’Issy-les-Moulineaux. L’Antoinette n° 4, appareil monoplace de 480 kilogrammes, est en fait une évolution du monoplan Gastambide-Mangin, qui dispose alors d’ailes médianes à double courbure : ventrale mais également dorsale et d’ailerons mobiles. Cet aéroplane, qui est équipé d’un moteur de huit cylindres Antoinette de pas moins de 50 chevaux et qui présente une vitesse de croisière de 75 kilomètres à l’heure, sera quelques mois plus tard utilisés par Hubert Latham pour une tentative de traversée de la Manche (malheureusement infructueuse) dans le cadre du prix du Daily Mail à l’été 1909. ( source: http://www.air-journal.fr/)

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l’Histoire de l’Aviation l’Aéroplane Antoinette 5

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l'Histoire de l'Aviation l'Aéroplane Antoinette 5

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l’Histoire de l’Aviation en 1908 l’Antoinette 5
Carte N° 43 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Après avoir fourni aux aviateurs de France, le fameux moteur extra-léger qui permit leurs premiers succès et qui contribua jusqu’à ce jour aux plus remarquables de leurs performances, la Société Antoinette a abordé l’étude et la construction d’aéroplanes complets. A vrai dire, ce n’était là qu’un retour naturel à l’idée qui précéda à sa création. C’est en effet, en vue d’une machine volante de son invention, essayée il y a plusieurs années, que Levavasseur, l’éminent ingénieur de la Société, avait Continuer la lecture →

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l’Histoire de l’Aviation – Le monoplan REP le samedi 21Novembre 1908 gagne le dernier prix des 200 mètres

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Le monoplan REP en 1908 – l’Histoire de l’Aviation
Carte N° 42 – Photo S.A.F.A.R.A reproduction interdite
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Le monoplan REP gagne le dernier prix des 200 mètres. On sait que l’Aéro-club de France a créé pour cette année trois prix de 200 mètres à parcourir en ligne droite pour les aéroplanes. Les deux premiers de ces prix furent gagnés par H. Farman et Legagneux le troisième et dernier prix a été remporté samedi dernier par le monoplan REP de M. Esnault-Pelterie. Donc samedi, à 11h et 12 minutes, l’aéroplane REP 2 bis partait du hangar et filait rapidement dans un de 40 à 45 kilomètres à l’heure. Il passa en plein vol sur la ligne de départ et prit terre 12 à 15 secondes plus tard, ayant parcouru 316 mètres, de 4 à 7 mètres de hauteur, ainsi que le constatèrent les officiels, MM. Tissandier, Jacques Balsan et Zem, qui étaient accompagnés de MM. Robert Esnault-Pelterie et Goupy. L’équilibre de l’aéroplane est parfait en tous sens malgré le vent, le moteur extra-léger REP s’est fort bien comporté. 

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