L’éclairage électrique – épuisement de la Chaufferie après l’inondation

L'éclairage électrique - épuisement de la Chaufferie  inondation de 1910

L’éclairage électrique – épuisement de la Chaufferie après l’inondation

Atelier de la Société L’éclairage électrique – épuisement de la Chaufferie après l’inondation du 28 janvier 1910
dos séparé – non circulé
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Après l’installation des compteurs voyons les dépenses de Consommation : Au prix de vente du courant à u c. l’hectowatt-heure. Une lampe de 5 bougies revient de 0fr 017 à 0fr. 020 l’heure ; une lampe de 10 bougies revient de 0fr.033 à 0 fr. 040 l’heure ; une lampe de 16 bougies revient de o fr.055 à 0fr. 060 l’heure. La carcel-heure vaut environ 10 bougies, elle a un pouvoir éclairant équivalent à celui d’un bec à gaz Bengel brûlant 180 litres à l’heure et qui coûtera 0fr.054 par heure, aux prix du gaz à Paris. Le prix du carcel-heure du bec Auer revient Continuer la lecture

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Ateliers de la société L’éclairage électrique – Inondation du 28 Janvier 1910

l'éclairage - électrique  de 1910

l’éclairage – électrique de 1910

Ateliers de la société « L’Eclairage Electrique » Inondation du 28 Juillet 1910
dos séparé – non circulé
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Voici la première carte d’une série de sept Cpa des ateliers de la société de l’éclairage Électrique. Ces cartes vont illustrer un texte qui expliquera comment fonctionnait l’électricité à Paris en 1900. En ce qui concerne ces ateliers inondés en 1910 ils étaient situés au 364 rue Lecourbe à Paris. 

PARIS a donné le premier exemple de l’Eclairage électrique public. En 1877, l’Av. de l’Opéra était éclairée par des bougies Jablochkoff. La ville anglaise de Godalming inaugura  l’éclairage des rues et maisons en Continuer la lecture

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Paris-Inondation de janvier 1910 – Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris-Innondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

Paris – Inondation 1910-Les Pontonniers rue de Bourgogne

5 – Paris-Inondation de janvier 1910
 Les Pontonniers rue de Bourgogne
éditeur M.M 
dos séparé – circulé à découvert
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Le Gaulois du 3 février 1910 par un article ‘Tout-Paris, rend hommage à ces Pontonniers, en voici le texte.

NOS PONTONNIERS
Les pouvoirs publics ont déjà rendu un éclatant Hommage au dévouement, à l’héroïsme simple dont nos petits troupiers ont fait preuve au cours des jours sinistres que nous venons de traverser;

Paris et sa banlieue leur conserveront une éternelle reconnaissance pour le secours qu’ils ont apporté sans compter aux sinistrés, pour les vies innombrables qu’ils ont préservées, pour les catastrophes plus épouvantables encore qu’ils ont conjurées. Partout, sur les joints les plus menacés de la grande ville et des environs, on les a vus à l’œuvre jour et nuit, alertes, infatigables, conservant malgré tout leur bonne humeur native, cette qualité nationale de notre armée qui l’a si heureusement soutenue en tant de circonstances difficiles.

Parmi les troupes qui ont pris part a la lutte, contre la terrible inondation, nous devons mettre au premier rang les pontonniers dont le dévouement a été au-dessus de tout éloge
A Alfortville, à Gennevilliers, dans les quartiers les plus atteints de Paris, ils ont fait merveille. Un habitant d’une des communes les plus éprouvées de la banlieue nous racontait hier avec quelle activité, quelle prestesse ils rétablissaient les communications, ils jetaient en une heure à peine des ponts de fortune que n’eût pas désavoués le plus habile des ingénieurs.

Nos pontonniers n’en sont pas, on le sait, a leur coup d’essai. Il a un siècle a peine qu’ils existent en tant que corps spécial.et pourtant nul corps de troupe ne peut présenter un historique plus glorieux, plus abondant en actions d’éclat !  il nous faudrait un gros volume pour en refaire même succinctement, les annales. On a vu des pontonniers pendant les grandes guerres de la Révolution et de l’Empire, aux fameux.passages du Rhin, du Danube, de la Vistule, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Russie. C’est pendant cette dernière campagne qu’ils nous donnèrent les preuves  les plus éclatantes de leur indomptable courage et de leur savoir faire, comme l’atteste le nom glorieux de la Bérézina inscrit en lettres d’or sur leur drapeau  

 

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Paris- inondation de janvier 1910 – Rue de l’hotel Colbert – Un escalier original

Paris- inondation de janvier 1910 - Rue de l'hotel Colbert - Un escalier original

Paris- inondation de janvier 1910 – Rue de l’hôtel Colbert – Un escalier original

171  – Paris- inondation de janvier 1910 – Rue de l’hôtel Colbert
Un escalier original
éditeur C.M
dos séparé – circulé à découvert
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Restons dans le cinquième arrondissement de Paris en janvier 1910 et plus précisément le 31 janvier.
Voilà ce que l’on peut lire en ce jour du 31 janvier sur le « Petit Parisien »

Maintenant, les heures les plus poignantes étant passées, on peut, en quelque sorte dresser le bilan moral de cette dure semaine de janvier 1910. Plus tard et toujours trop tôt à coup sûr, on établira le bilan matériel.

Si l’on n’a pas recensé plus de victimes, si celles-ci se comptent par unités, si Paris n’a pas été affligé par de terribles pertes de vies humaines, on le doit certainement à l’organisation des secours, à la rapidité du sauvetage. Il convient de rendre à chacun ce qui lui appartient. La solidarité nationale s’est affirmée au-dessus des partis : tous les citoyens sincères, quelle que soit leur opinion politique, s’accorderont à dire que tous firent leur devoir ; les pouvoirs publics et le préfet de police, comme le gouvernement militaire de Paris. Civils et soldats furent également admirables, et ce devoir fut accompli par tous, du haut en bas de la hiérarchie administrative, avec une ardeur civique que nul, sans injustice, ne pourrait méconnaître. Le résultat est là. Lorsqu’on saura à l’étranger qu’un fléau effrayant et presque sans précédent est passé sur une agglomération de quatre millions d’habitants sans avoir, pour ainsi dire, laissé de morts derrière lui, on sera stupéfait de la grandeur de l’effort déployé, émerveillé aussi de la qualité de cet effort!…

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Inondations – Paris Janvier 1910 – Avenue Ledru-Rollin

12arrt-inondations-Paris -avenue Ledru-Rollin - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

12arrt-inondations-Paris -avenue Ledru-Rollin – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Inondations – Paris Janvier 1910  –  402 Avenue Ledru-Rollin

éditeur C.M

Dos séparé – non circulé

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Il fallait avoir de l’équilibre dans ces moments difficiles de l’inondation de Janvier 1910. 

Ce cliché a été pris à la hauteur du numéro 56 de l’avenue Ledru-Rollin, à gauche sur la carte le magasin  Le Roy spécialiste de Sièges en cuirs repoussés.

Sur de nombreuses cartes de cette époque de l’inondation de janvier 1910, on peut voir comme sur cette carte postale des planches sur des trépieds de bois afin de faciliter le passage d’une rue à l’autre, ces passerelles de fortune ou pontons pour les plus sophistiqués étaient l’œuvre le plus souvent de Pontonniers.

Le Gaulois du 3 février 1910 par un article ‘Tout-Paris, rend hommage à ces Pontonniers, en voici le texte.

NOS PONTONNIERS
Les pouvoirs publics ont déjà rendu un éclatant Hommage au dévouement, à l’héroïsme simple dont nos petits troupiers ont fait preuve au cours des jours sinistres que nous venons de traverser;

Paris et sa banlieue leur conserveront une éternelle reconnaissance pour le secours qu’ils ont apporté sans compter aux sinistrés, pour les vies innombrables qu’ils ont préservées, pour les catastrophes plus épouvantables encore qu’ils ont conjurées. Partout, sur les joints les plus menacés de la grande ville et des environs, on les a vus à l’œuvre jour et nuit, alertes, infatigables, conservant malgré tout leur bonne humeur native, cette qualité nationale de notre armée qui l’a si heureusement soutenue en tant de circonstances difficiles.

Parmi les troupes qui ont pris part a la lutte, contre la terrible inondation, nous devons mettre au premier rang les pontonniers dont le dévouement a été au-dessus de tout éloge
A Alfortville, à Gennevilliers, dans les quartiers les plus atteints de Paris, ils ont fait merveille. Un habitant d’une des communes les plus éprouvées de la banlieue nous racontait hier avec quelle activité, quelle prestesse ils rétablissaient les communications, ils jetaient en une heure à peine des ponts de fortune que n’eût pas désavoués le plus habile des ingénieurs.

Nos pontonniers n’en sont pas, on le sait, a leur coup d’essai. Il a un siècle a peine qu’ils existent en tant que corps spécial.et pourtant nul corps de troupe ne peut présenter un historique plus glorieux, plus abondant en actions d’éclat !  il nous faudrait un gros volume pour en refaire même succinctement, les annales. On a vu des pontonniers pendant les grandes guerres de la Révolution et de l’Empire, aux fameux.passages du Rhin, du Danube, de la Vistule, en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Russie. C’est pendant cette dernière campagne qu’ils nous donnèrent les preuves  les plus éclatantes de leur indomptable courage et de leur savoir faire, comme l’atteste le nom glorieux de la Bérézina inscrit en lettres d’or sur leur drapeau  

 

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