Ravières – Le port du canal

Ravieres-le port du canal

Ravieres-le port du canal

Ravieres – Le port du canal
Chalard, éditeur
dos séparé – circulé à découvert en 1907
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Allons faire un petit tour vers le port du canal à Ravières dans les années 1910 le port du canal à cette époque est gardé par Monsieur Bouche, le maire de cette ville qui est située à 32 kilomètres de Tonnerre et qui comptait 1632 habitants en 1910 était Monsieur Camille Rizier.
À noter que cette carte postale a été envoyée à Monsieur Léon Adry, l’adresse indiquée est assez amusante car il est indiqué sur cette carte Monsieur Odry, Sur le bateau lavoir prés du pont Paulbert » à Auxerre… il faut espérer pour le facteur qu’il n’y avait pas trop de bateaux lavoirs prés du pont Paulbert.

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Carte postale Ancienne de Irancy – les vendanges

Irancy - les vendanges

Irancy – les vendanges

Irancy – les vendanges
éditeur Bertheau, Irancy
Dos séparé – circulé à découvert en 1910
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Voici une carte que de nombreux collectionneurs de la ville d’Irancy et collectionneurs du thème des vendanges vont vraiment apprécier.
Personnellement je n’avais jamais vu cette carte en salon ou sur des sites de vente, en plus de sa rareté je trouve cette carte particulièrement belle et reflète assez bien le travail traditionnel des vendanges à cette époque.
Irancy en 1910 est une petite ville de 670 habitants située à 16 kilomètres d’Auxerre et de 4 kilomètres de Vincelles, son maire à cette époque est monsieur Podor (L). Déjà renommés pour ses vins rouges, les commissionnaires en vin ne manquent pas à Irancy en 1910, voici leurs noms ; Charriat (C); Colinot (P); Cotin (A); Delingette (R); Guyard (L); Melou; Podor ( J); Rabiat (E).
Bien sur si vous connaissez le nom de cette famille de vendangeurs et viticulteurs ou si vous reconnaissez l’endroit exact où se trouvent ces personnes, merci de me laisser un commentaire.

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Carte postale Ancienne de Molesme – Vestige de l’ancienne abbaye

Molesme-vestige de l'ancienne abbaye

Molesme-vestige de l’ancienne abbaye

Molesme ( Cote-d’Or).
  Vestige de l’ancienne abbaye
S.Brunclar, Phot éditeur Troyes de Molesme fondée en 1075 par saint Robert.
Collection du Syndient 
dos séparé – circulé à découvert en 1916
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Restons aujourd’hui dans cette charmante ville de Molesme et devant le vestige de l’ancienne abbaye de Molesme fondée en 1075 par saint Robert.
Citons aussi quelques commerces en 1910 les aubergistes, Fays (Vve) Garnier, Maire-Pion; le boulanger, Thierry; les épiceries, Garnier et Goyard; Quincaillerie, Meunier et guillemot; la scierie mécanique de Monsieur Planson et le docteur Raymond Petit.

 

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Molesme – le Bureau de poste

21-Molesme-Bureau de poste

Molesme-Bureau de poste

Molesme ( Cote-d’Or). – Bureau de poste 
S.Brunclar, Phot éditeur Troyes
Collection du Syndient 
dos séparé -circulé à découvert en 1916
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Belle petite ville de la Côte-d’Or située à 24 kilomètres de Châtillon-sur-Seine et à 11 kilomètres de Laignes, Molesme compte en 1910 « 505 » habitants administrés par le maire Monsieur Petit.
À noter que l’expéditeur de cette carte a écrit le mot « autrefois » à la suite de la légende de cette carte pour préciser au destinataire que ce cliché est plus ancien que l’année 1916 date à laquelle cette carte postale a voyagé à découvert 

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Montceau-les-Mines – Des Mineurs de fond

Montceau-les-mines-mineurs de fond

Montceau-les-mines-mineurs de fond

4 . Montceau-les-Mines – (S.-et-L.) – Mineurs de fond
éditeur CLB  ( établisement C.Lardier -Besançon)
dos séparé – circulé sous enveloppe
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J’accompagnais une équipe de sauveteurs vers le lieu de l’explosion, et partout dans les galeries, je voyais des ravages qui témoignaient de la violence de cette explosion.
C’est un désordre inimaginable les chariots sont brisés et leurs débris sont en tas; des morceaux de rails sont tordus ; une lampe de mineur est incrustée dans le mur ; un pauvre cheval mort est sur le dos et ses jambes pendent brisées.
Nous croisons des équipes qui rapportent des morts.
« Depuis mon enfance je vis dans la mine eh bien, monsieur, j’ai trouvé cette vision épouvantable ! Et dire que c’est là le sort auquel, chaque jour, nous sommes exposés ! Un coup de mauvais air un crac ! un brave et vaillant ouvrier plein de force et d’entrain à l’ouvrage devient cette chose lamentable que des camarades rapportent avec précaution à travers les écoulements !
Et, encore heureux quand ils peuvent vous rapporter; savoir sur quelle tombe s’agenouiller pour pleurer.
Enfin, puisqu’il paraît que c’est notre destinée, que c’est la fatalité, passons. »
Nous arrivons près du montage où se trouvait un barrage. Le passage est difficile, dangereux ; les parois de la galerie, ravinées par l’explosion, menacent de s’écrouler; n’importe! Les sauveteurs ne songent pas au danger : il y a peut-être des camarades qui respirent encore des malheureux à dégager.

Voici ce que l’on pouvait lire le 5 février 1895 sur le Petit Parisien suite à l’épouvantable catastrophe qui fit 28 morts et 8 blessés et qui jetât la consternation dans toute la région minière de Montceau-les-Mines
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